Ludovic Malot, juillet 2025
🇨🇭 Suisse piégée : vers une soumission à l’UE au nom du marché ?
Après plus de dix ans de négociations laborieuses, la Suisse a conclu en décembre un
accord avec l’Union européenne, désormais présenté au public. Objectif : pérenniser et
améliorer l’accès de la Confédération au marché unique européen. Mais à quel prix ?
Le texte de près de 1 000 pages engage la Suisse dans une intégration profonde et
contraignante, avec six nouveaux accords-cadres qui s’ajoutent à plus de 120 traités
bilatéraux existants. En contrepartie d’un accès maintenu au marché, Berne devra :
Aligner automatiquement ses lois sur les évolutions du droit européen dans des domaines
clés (biens, électricité, transport, sécurité alimentaire, mobilité).
Payer une contribution annuelle de 375 millions d’euros au budget de l’UE.
Accepter un rôle accru de la Cour de justice de l’UE (CJUE), via un mécanisme d’arbitrage
qui semble n’être qu’un vernis juridique.
Céder sa souveraineté législative sans droit de codécision, sous peine de sanctions.
Cet accord ravive les tensions sur la perte de souveraineté et la fragilisation du modèle
suisse de démocratie directe, qui garantit aux citoyens leur mot à dire sur chaque
changement majeur. L’obligation d’adopter les lois européennes sans vote populaire est
perçue par beaucoup comme une trahison de l’indépendance helvétique.
Des parallèles avec le Brexit sont faits tout au long du texte, tant sur les enjeux de
souveraineté que sur les pressions économiques et géopolitiques. Derrière le vernis
économique, l’adhésion rampante à des structures politiques et juridiques européennes
inquiète. D’autant plus que le rejet de l’accord lors du référendum prévu (au plus tôt en
2027) pourrait entraîner de lourdes représailles, comme l’éviction de programmes de
recherche ou d’échange (Horizon, Erasmus, Euratom), déjà expérimentée en 2021.
Les milieux souverainistes, à droite comme à gauche, dénoncent un accord déséquilibré. La
dynamique imposée par Bruxelles laisse peu de place à une alternative, et certains voient
déjà cet accord comme un cheval de Troie vers une intégration de facto dans l’Union
européenne.
Source: https://ludovicmalot.com/
🇨🇭 La Suisse, ce miracle industriel que l’UE ne veut surtout pas que vous
regardiez
Voici probablement le graphique qui claque le plus fort depuis dix ans
📈 Depuis 2011, le franc suisse s’est apprécié de +25 % face à l’euro.
📊 Et pourtant, la production industrielle helvétique a bondi de +40 % sur la même période !
Pendant ce temps, l’Allemagne — pourtant pilier industriel de la zone euro — a vu sa
production reculer de 5 %, et le reste de l’Union stagner ou décliner.
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Comment expliquer ce paradoxe apparent ?
Pendant que les pays européens démantelaient avec zèle leurs outils industriels au nom du
“tout-services”,
espérant que l’ancrage à l’euro et la proximité allemande suffiraient à garantir leur
prospérité…
👉 La Suisse disait non.
Non à l’Union européenne (77 % des Suisses ont rejeté l’adhésion),
non à l’euro,
non à la dilution de sa souveraineté économique et monétaire.
Et elle disait oui à l’excellence.
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L’arme suisse ? L’ultra-compétence.
La Suisse n’a jamais cherché à concurrencer les pays à bas salaires. Elle n’en avait ni
l’intérêt, ni les moyens.
Alors, elle a concentré ses forces sur ce qu’elle fait de mieux — et que peu de pays savent
faire aussi bien :
• 💊 Pharmacie et biotechnologies
• ⚙ Machines-outils de très haute précision
• 🩺 Instruments médicaux de pointe
• ⌚ Horlogerie de luxe
• 🧩 Composants techniques de niche
Des secteurs à forte valeur ajoutée, peu sensibles au coût du travail, mais exigeants en
capital humain, rigueur, innovation et savoir-faire.
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Résultat ? Un modèle souverain… et prospère
En 2024, la Suisse affiche un excédent commercial de +60 milliards de francs,
soit plus de 10 000 € par actif.
Un record pour un petit pays enclavé de 9 millions d’habitants, sans matières premières,
sans dette excessive, sans plan de relance public massif.
Et tout cela, sans :
• Rapport de la Commission européenne,
• Commissariat au Plan,
• Subvention miracle de la BPI,
• Plan stratégique “Made in Europe 2030”…
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Conclusion limpide : la liberté économique produit la richesse. Pas la planification
centralisée.
La Suisse est prospère parce qu’elle n’est pas dans l’Union européenne.
Elle échappe au carcan réglementaire, à la dette mutualisée, aux normes uniformisées, et au
dirigisme bureaucratique de Bruxelles.
Elle démontre, par les faits, qu’un pays peut réussir hors du système, à condition de miser
sur l’excellence, la responsabilité, et la souveraineté.
👉 Et si, pour relancer notre industrie, on commençait par sortir de l’assistanat d’État et de
la tutelle technocratique ?
🇨🇭 Suisse–UE : une manipulation en règle – Comment le Conseil fédéral
désinforme pour faire passer la pilule européenne
Par Reiner Eichenberger, économiste (Université de Fribourg) – Analyse commentée
Le Conseil fédéral prétend qu’un abandon des Bilatérales I ferait chuter la prospérité suisse.
Pour appuyer ce récit, il s’appuie sur une étude commandée à Ecoplan. Problème : les
projections sont biaisées et les effets exagérés.
L’étude évoque une baisse de 340’000 personnes d’ici 2045 sans libre circulation. Soit une
population suisse inférieure de 3,4 %. Ce chiffre est présenté comme un drame
économique.
Mais comme le rappelle Eichenberger :
« Moins de population = PIB plus faible, mais pas de perte de prospérité individuelle. »
💡 En effet :
• Le PIB par habitant reste stable, voire progresse.
• Les immigrés bénéficient d’abord à eux-mêmes via leurs salaires.
• Les effets nets sur la richesse nationale sont quasiment nuls.
• Les coûts liés à l’immigration (logement, infrastructures, pression salariale) sont absents
du calcul.
📉 Effet sur les revenus des Suisses ?
Presque négligeable :
• Baisse de 1,08 % pour les moins qualifiés.
• Baisse de 0,27 % pour les plus qualifiés (plus de la moitié des actifs).
➡ Perte moyenne : 0,51 % d’ici 2045, alors que les revenus augmenteront de 15 % sur la
période.
Eichenberger note :
« Une simple réforme fiscale bien pensée aurait plus d’impact positif. »
🎯 En réalité, cette étude vise surtout à faire peur, pour justifier un nouvel accord avec
Bruxelles… et une reprise automatique du droit européen.
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Conclusion : Le vrai danger n’est pas la fin des Bilatérales.
Le vrai danger, c’est la fin de la souveraineté suisse par la ruse et la manipulation.
🇨🇭 Franc fort, production forte : le cas suisse démolit les dogmes européens
C’est un chiffre qui fait trembler tous les dogmes européens :
+40 % de croissance industrielle en volume depuis 2011 pour la Suisse,
alors même que le franc s’est apprécié de +25 % face à l’euro.
Pendant ce temps, l’Allemagne perd –5 %,
et le reste de la zone euro stagne ou régresse.
📊 Indice de production industrielle (base 2015=100) :
Suisse début 2011 : ~94
Suisse fin 2023 : 131,7
➡ Soit +40 % en volume réel.
Et sans plan de relance magique, ni dette mutualisée, ni subventions massives.
Qui profite de cette croissance ? PME ou multinationales ?
Contrairement aux idées reçues, le tissu industriel suisse repose massivement sur les PME :
99 % des entreprises suisses ont <250 salariés
85 % des membres Swissmem sont des PME industrielles
Forte spécialisation : machines-outils, medtech, composants, horlogerie…
Mais les multinationales jouent aussi un rôle central :
30 000 entreprises suisses sont liées à un groupe international
Elles emploient 1,4 million de personnes (près d’1 actif sur 3)
Elles portent l’essentiel de l’excédent commercial record (+60 Mds CHF en 2024)
👉 La croissance industrielle suisse repose donc sur un équilibre rare :
des PME ultra-spécialisées + des géants exportateurs.
Pas de cannibalisation. Une synergie.
📉 Faillites et 📈 créations d’entreprises (2011–2024)
➡ Faillites :
2023 : 15 447 procédures (+2,9 %)
2024 : entre 6 047 (toutes entreprises) et 11 506 (faillites “pures”)
Surtout dans la construction, le commerce et l’ingénierie
➡ Créations :
2023 : 52 973 entreprises créées (+3 %)
2024 : ~53 000 (+2 %)
Taux de survie : 84 % à 1 an, ~50 % à 5 ans
Malgré un environnement exigeant, l’esprit entrepreneurial reste fort, notamment dans les
services, la tech et l’industrie de niche.
🧩 Ce que la Suisse montre au monde :
✔ On peut croître en volume avec une monnaie forte,
✔ Sans délocaliser son industrie,
✔ En misant sur la qualité, la précision, l’innovation,
✔ Et sans intervention massive de l’État.
Ni euro, ni Commission européenne, ni “plan souveraineté industrielle”.
Juste de la compétence, de la liberté d’entreprendre, et un environnement stable.
Conclusion : La Suisse réussit non pas en dépit de son indépendance vis-à-vis de l’UE,
mais grâce à elle.
Et si nous avions tout simplement misé sur les mauvais leviers depuis 20 ans ?
🇨🇭 Le “franc suisse fort” : une illusion dans un monde de monnaies faibles
On entend souvent que le franc suisse (CHF) est une “valeur refuge” ou une “monnaie
forte”. Comparé à l’euro ou au dollar, c’est vrai : depuis 2008, l’EUR a perdu plus de 40 %
face au CHF. Mais cette lecture du taux de change bilatéral masque une vérité plus
profonde : le franc suisse ne s’est pas vraiment “apprécié”, il s’est simplement déprécié
plus lentement que les autres.
Prenons un exemple simple :
Si l’euro perd 50 % de son pouvoir d’achat réel,
Et le CHF “se tient” avec une perte de 25 %,
➡ alors il n’y a pas de victoire monétaire, juste une moindre défaite.
Toutes les monnaies fiat sont aujourd’hui engagées dans une spirale de dévalorisation, du
fait de l’émission monétaire excessive, des taux d’intérêt réels négatifs et d’un système
basé sur la dette perpétuelle. Le CHF n’échappe pas à cette logique — il est simplement le
dernier de la classe à couler.
La Banque nationale suisse (BNS) elle-même a considérablement gonflé son bilan ces
dernières années, accumulant des actifs en euros, en dollars, voire en actions
américaines… Autrement dit, même la Suisse a dû abandonner toute discipline monétaire
classique pour suivre le rythme des autres banques centrales.
Pourtant, il existe un repère intemporel : l’or.
En 2000, 1 franc suisse valait environ 0,17 gramme d’or.
En 2025, il n’en vaut plus que 0,01 à 0,015 g.
➡ Le “franc fort” a perdu plus de 90 % de sa valeur en or en 25 ans.
Ce constat invite à revoir nos étalons de mesure :
Ce n’est pas le CHF qui se renforce, c’est l’euro qui s’effondre encore plus vite.
Et ce n’est pas le dollar qui résiste, c’est l’or qui expose leur faiblesse commune.
Moralité ?
Tant que nous mesurerons les monnaies les unes par rapport aux autres, nous
entretiendrons l’illusion de leur solidité. Il est temps de réintroduire un ancrage réel,
incorruptible, basé sur des actifs tangibles — et en particulier l’or — pour restaurer la
confiance et la stabilité à long terme.
Le retour à une forme d’étalon or n’est pas nostalgie du passé, mais nécessité pour l’avenir.
🇨🇭 Suisse : le dernier bastion que l’Europe rêve d’abattre
Au cœur d’une Europe en décomposition lente, un petit pays continue d’irriter les élites
technocratiques. Son crime ? Avoir gardé un sens aigu de la liberté, de la souveraineté et du
bon sens économique. Ce pays, c’est la Suisse. Et il dérange.
Pendant des décennies, le franc suisse fut adossé à l’or. Non comme un fétiche, mais
comme un rempart contre la folie inflationniste et le vol légal de la monnaie par la dette.
Même après l’abandon officiel de cette couverture, l’or reste profondément ancré dans la
culture monétaire helvétique, symbole de solidité et d’indépendance. À l’inverse de la BCE,
dont la mission implicite est désormais de monétiser l’incompétence budgétaire des États.
Mais la force de la Suisse ne s’arrête pas là. Elle repose sur un véritable fédéralisme, où la
subsidiarité est réelle, pas incantatoire. Le citoyen a voix au chapitre, les décisions se
prennent au plus proche du terrain, et le pouvoir central ne s’arroge pas le droit de dicter
chaque aspect de la vie quotidienne. C’est tout l’inverse de l’Union européenne, cette
pyramide bureaucratique où la norme écrase la réalité.
Autre différence fondamentale : la Suisse fonctionne avec des politiciens de milice. C’est-à-
dire que beaucoup d’élus ne vivent pas de la politique, mais la vivent comme un service, à
temps partiel. Loin des carriéristes professionnels de Bruxelles ou Paris, le conseiller suisse
sait qu’il ne vaut pas plus que le paysan de son canton. Cela change tout.
Ajoutons-y une fiscalité modérée, un État mesuré, une neutralité historique, et nous avons là
un modèle que d’aucuns qualifieraient de « rétrograde », tant il ne correspond plus aux
canons globalistes du moment. Mais c’est justement parce qu’il fonctionne qu’il dérange.
Car il prouve, par l’exemple, qu’un autre chemin est possible : celui de la responsabilité, de
la liberté et de la souveraineté populaire.
Face à cela, les pressions s’intensifient. Bruxelles rêve d’arrimer la Suisse à son édifice
technocratique : accords-cadres, exigences judiciaires, alignement réglementaire, tentations
numériques… tout est bon pour faire plier le dernier bastion. L’UE, elle, avance masquée
mais armée : pandémie, climat, sécurité, monnaie… chaque crise est une opportunité de
plus pour étendre son empire.
Mais qu’on se le dise : la liberté ne se négocie pas. Vos traités en mode Covid-19 ne
contamineront jamais nos âmes libres.
Source: https://ludovicmalot.com/
🇨🇭 La Suisse trahie de l’intérieur : il est
temps de regarder le Conseil fédéral en
face
23 juillet 2025
Par-delà les menaces extérieures, une vérité dérangeante s’impose peu à peu à qui observe
lucidement l’évolution politique de notre pays : la souveraineté suisse ne s’effrite pas tant
sous la pression de Bruxelles que sous l’effet des renoncements successifs de notre propre
Conseil fédéral.
Alors que la démocratie directe, la neutralité armée et la subsidiarité faisaient jadis la fierté
helvétique, une lente mais profonde dénaturation institutionnelle est en cours. Ce ne sont
plus les électeurs suisses qui orientent le destin national, mais une élite technocratique hors
sol, mue par l’obsession de rester « alignée » sur les grandes structures internationales,
même au prix d’une trahison du pacte fondateur.
I. La souveraineté législative bradée : l’exemple de l’accord-cadre
L’accord-cadre institutionnel négocié avec l’Union européenne entre 2014 et 2021 illustre
cette dérive de manière frappante.
Ce projet visait à soumettre le droit suisse aux évolutions du droit européen, sans
contrepartie démocratique. La reprise automatique de directives, la limitation du rôle des
votations, la soumission à la CJUE comme arbitre suprême… Tout cela s’est discuté sans
consultation du peuple, ni même des cantons.
Il a fallu une résistance civile et politique massive pour forcer l’abandon de cet accord. Mais
le Conseil fédéral n’a jamais exprimé de regret. Pire : les discussions reprennent
discrètement sous d’autres noms, par d’autres voies.
II. L’abandon de la neutralité : une fracture historique
La décision de reprendre, dès 2022, les sanctions économiques de l’UE contre la Russie
constitue une rupture historique : jamais la Suisse n’avait pris parti dans un conflit
international de cette manière.
Cette soumission à la ligne euro-atlantique a fait perdre à notre pays son rôle de médiateur
crédible, au point de n’être même plus convié à des négociations de paix. L’image de la
Suisse neutre, respectée et utile sur la scène internationale, est en ruine — et cela, par la
décision unilatérale de sept personnes.
III. Le secret bancaire et la souveraineté fiscale : capitulation en chaîne
Sous la pression de l’OCDE, du GAFI et de Bruxelles, la Suisse a détruit elle-même son
modèle bancaire, en supprimant le secret bancaire, en acceptant l’échange automatique
d’informations, et en multipliant les concessions fiscales.
Le Conseil fédéral a justifié ces renoncements par une volonté de “normalisation” — sans
jamais mesurer le prix humain, économique, et identitaire de ces abandons.
Aujourd’hui, des milliers d’entreprises et de capitaux quittent la Suisse. Et personne n’a
jamais demandé au peuple s’il voulait sacrifier son avantage compétitif pour plaire à Paris
ou à Berlin.
IV. Numérisation monétaire et contrôle social : vers un avenir orwellien ?
Dans l’ombre, le Conseil fédéral et la BNS étudient la mise en place d’une monnaie
numérique de banque centrale (MNBC).
Officiellement destinée à “moderniser le système de paiement”, elle ouvrirait la voie à un
contrôle total des transactions, à l’extinction du cash, et donc à une perte majeure de liberté
individuelle.
Là encore, aucun débat national. Aucune votation. Le peuple est spectateur d’une bascule
civilisationnelle.
V. Une gouvernance déconnectée, une démocratie affaiblie
Dans tous ces domaines — fiscalité, droit, diplomatie, finance, environnement — une
constante se dégage :
Le Conseil fédéral agit comme gestionnaire de la conformité internationale.
La volonté populaire est ignorée, contournée ou déformée.
La gouvernance suisse se bureaucratise. La démocratie directe devient décorative. Et
pendant ce temps, les élites s’alignent sur des modèles qui ne sont ni les nôtres, ni ceux de
notre histoire.
Il est temps de tirer la sonnette d’alarme.
La Suisse ne réussit pas malgré sa différence : elle réussit parce qu’elle est différente.
Elle n’a pas besoin de se soumettre pour exister. Elle doit au contraire retrouver la fierté de
son modèle : décentralisé, neutre, indépendant, libre.
Nous appelons à :
§ Une réaffirmation claire de la souveraineté suisse, dans la Constitution comme dans
les actes.
§ Le renforcement du référendum obligatoire pour toute cession de compétences à
des organisations internationales.
§ Une réforme du Conseil fédéral pour restaurer le lien entre gouvernants et
gouvernés.
§ Une vigilance citoyenne accrue face aux projets d’alignement systématique.
La Suisse ne doit pas être dirigée par ceux qui ont honte de ce qu’elle est.
Elle doit être gouvernée par ceux qui l’aiment, la comprennent et osent la défendre.
Source: Souveraineté Suisse http://www.souverainete-suisse.ch/

Et vous, qu'en pensez vous ?