Non à la tutelle de Bruxelles : l’accord-cadre qui vassalise la Suisse

 

Ce prétendu « paquet d’accords bilatéraux » n’est rien d’autre qu’une version édulcorée (et encore plus sournoise) de l’accord-cadre institutionnel abandonné en 2021 par le Conseil fédéral. En fait, il ne s’agit plus d’un accord bilatéral, comme on tente de le faire croire, mais d’un véritable traité d’adhésion à l’UE. Qui soutient cet accord-cadre envoie directement la Suisse dans l’Union européenne.

Un alignement automatique sur le droit européen, au détriment de notre démocratie directe
Derrière des formulations technocratiques, cet accord implique l’alignement automatique de notre droit sur celui de l’UE, la soumission à la Cour de justice de l’Union européenne et la reprise obligatoire de directives européennes dans des domaines cruciaux. En d’autres termes : une perte nette de souveraineté.

Ce projet prévoit notamment :

  • un accord sur l’électricité qui nous ferait dépendre de la politique énergétique désastreuse de Bruxelles et qui signera la mort de barrage ;
  • un accord sur la sécurité alimentaire qui ouvrirait encore plus nos frontières à des normes étrangères ;
  • un mécanisme de règlement des différends où le dernier mot reviendrait, in fine, à l’UE.

Et pour faire passer la pilule, plusieurs partisans de cet accord osent user de terme comme « dialogue social structuré » et parler de mesures d’accompagnement pour protéger nos salaires. Mais chacun sait que c’est du vent : dans les faits, ce sont les travailleurs suisses qui paieront la facture, avec une pression accrue sur les salaires, une immigration de masse facilitée, et un droit du travail affaibli.

Le Conseil fédéral veut livrer notre souveraineté à Bruxelles, contre la volonté du peuple
Il ne faut pas se tromper : l’UE veut faire de la Suisse un État vassal, un satellite institutionnel, un fournisseur docile d’énergie, de richesses et de main-d’œuvre bon marché. Et les partis europhiles au Conseil fédéral sont prêts à sacrifier notre démocratie directe et notre neutralité pour un siège à la table de Bruxelles.

L’UDC s’y oppose fermement. La Suisse n’a pas besoin de cet accord-cadre. Nous avons bâti notre prospérité sans faire partie de l’Union, en restant indépendants, libres, souverains. Ce n’est pas le moment de brader ce modèle unique au monde sur l’autel de la soumission technocratique.

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