Ndlr. Les « faits divers » de ce genre sont de plus en plus nombreux. On provoque, on crée la polémique, on fait parler de soi, on joue aux innocents, on cache la vérité ( la taqiya) en disant vouloir juste affirmer une particularité culturelle qui ne devrait gêner personne, émouvoir, jouer aux pleureuses, espérer un peu de solidarité, même si elle est limitée ; une telle attitude trouvera toujours un écho, surtout médiatique, un autre effet recherché. Culpabiliser les Suisses, les faire passer pour intolérants, monter les uns contre les autres, en espérant que finalement on cèdera; on peut aussi jouer sur nos valeurs de tolérance pour imposer des valeurs à l’opposé total des nôtres. L’intolérance au nom de la tolérance. On trouvera toujours un minimum de solidarité dans des sociétés comme les nôtres. Ainsi avance par exemple l’islamisation. De cas particulier en cas particulier, les faits divers deviennent des faits de société. Et surtout ne jamais parler de la façon dont sont traités notamment les chrétiens dans certains pays musulmans, ne pas dire ouvertement que les chrétiens sont parfois considérés comme des citoyens de seconde zone (la dhimmitude), parfois persécutés par millions. Dans les cas limites, certains imams extrémistes disent explicitement dans leurs prêches que les apostats peuvent éventuellement même être tués. L’islamisation peut compter sur notre lâcheté, le manque de courage, notre facilité à nous laisser culpabiliser, pour s’imposer petit à petit. Des rapports officiels, en France récemment, mais pas en Suisse, montrent la profondeur et l’étendue de la pénétration de l’islamisation en Europe. Nous sommes parmi ceux de plus en plus nombreux qui tentons d’illustrer et de critiquer depuis des années ces phénomènes. Avec quel résultat? Accusation d islamophobie, suprême supercherie, mais efficace pour les aveuglés qui ne veulent rien voir, rien entendre, rien dire, pour “avoir la paix”; quelle paix?
Plus généralement, Solijenitsyne était reparti d’Occident en déplorant notre lâcheté et notre manque de courage.
Polémique du voile à Eschenbach: L'enseignante s'exprime
«Cette image de moi me blesse»
L'enseignante voilée rejetée d'une école suisse brise le silence
L'école de la ville d'Eschenbach (SG) souhaitait engager une nouvelle enseignante musulmane. Mais de nombreux parents d'élèves se sont opposés à cette décision, avec succès. A la suite de cette polémique, l'enseignante a décidé de prendre la parole.
Le voile à l'école? Cette question suscite régulièrement des débats enflammés. (Image prétexte).
Johannes Hillig
Elle voulait juste porter son voile en enseignant. Mais ce simple morceau de tissus a provoqué toute une polémique chez plusieurs parents de l'école de la ville d'Eschenbach, dans le canton de Saint-Gall. Après que ces derniers ont fait remonter leur mécontentement, le verdict est tombé: l'enseignante n'exercera pas ici.
Les parents concernés ont pris position publiquement et ont déclaré à Blick qu'ils n'étaient pas racistes. «Il y a des différences culturelles, et quand on confie son enfant à quelqu'un, on doit pouvoir faire confiance à cette personne à 100%», avait déclaré une mère.
Mais que dit l'enseignante? Après être restée silencieuse, elle donne aujourd'hui son point de vue sur la situation. Elle affirme tout d'abord être triste au journal «St. Galler Tagblatt». «C'est le seul sentiment que j'ai. J'ai fait trois ans d'études pour pouvoir travailler comme enseignante. C'était un rêve pour moi de me tenir un jour devant une salle de classe», explique-t-elle. Avant de postuler à l'école d'Eschenbach, elle avait déjà reçu d'autres réponses négatives.
«Cette image de moi me blesse»
La jeune femme ne comprend pas les réserves émises à son encontre, d'autant plus qu'elle n'a même pas pu tenter sa chance. Selon elle, certains parents l'ont présentée comme une fanatique. «Cette image de moi me blesse. Il n'est pas non plus vrai que je porte un voile qui descend jusqu'aux jambes, comme l'a apparemment affirmé une mère sans m'avoir rencontrée.»
Elle regrette aussi que la société suisse ne soit pas plus avancée sur cette question et qu'elle n'ait même pas eu droit à une discussion avec les parents. Mais surtout, elle se sent désolée pour les enfants. «Ils seront peut-être bientôt assis dans une salle de classe sans enseignant. Je ne connais personne qui cherche un poste actuellement.» La jeune enseignante n'abandonnera pas. Elle souhaite enseigner et continuera à postuler dans d'autres écoles.
PS (Ndlr) : de nombreuses autres cas du même genre sont peu à peu signalés dans d'autres endroits de Suisse. Faits divers ou faits de société?

on aimerais bien avoir son avis , si une none aura l’autorisation d’enseigner le français ou l’anglais au collège dans un pays islamique appliquant la charia…?
Pas de voile à l`école point barre !
Nos valeurs ne sont pas négociables !
L’islamisation fonctionne effectivement de cette façon : on tolère le voile, on tolère le burkini et en réalité on tolère un système fasciste et intolérant. Il y a de plus en plus de kebabs et de barbiers. Les musulmans se sentent supérieurs aux autres hommes ! De là leurs demandes incessantes et permanentes pour le respect de leurs valeurs, pourtant incompatibles avec la liberté et la démocratie. Il faut relire René Marchand, “Pourquoi interdire l’islam”, pour bien comprendre le danger mortel auquel nous sommes confrontés. L’islam nous a déclaré la guerre, c’est un adversaire à abattre.
Elles veulent “juste” faire du sport. Elles veulent “seulement” enseigner… Et la sphère des médias s’émeut et fait sa une pendant plusieurs jours. Il y aura toujours un écho favorable pour traiter la Suisse de pays intolérant, pour porter l’idéologie woke et faire avancer la cause mahométane. Mais pourquoi précisément choisir autre chose qu’une de ces merveilleuses terres islamiques pour promouvoir la bonne parole ?