Deux évêques polonais ont suscité l’ire du gouvernement de centre gauche de Donald Tusk. Varsovie a même protesté auprès du Saint-Siège contre les propos jugés « inacceptables » de deux de ses prélats. Leurs déclarations, en plus de marquer « un soutien à des milieux nationalistes » remettent en question la « réconciliation germano-polonaise après la Seconde Guerre mondiale ».
Dans un contexte favorable à la droite dure avec l’élection à la présidence de Karol Nawrocki, la semaine dernière, Antoni Dlugosz a ouvertement soutenu un mouvement ultranationaliste autoproclamé de « Défense des frontières » qui organisait des « patrouilles citoyennes » destinées à contrôler les passages à la frontière polono-allemande, le gouvernement soulignant leur caractère illégal.
De son côté, l’évêque de Wloclawek, Wieslaw Mering, a traité le pouvoir en place de « gangsters politiques » et cité un poète polonais du XVIIe siècle excluant à jamais une entente possible entre Polonais et Allemands.
Le hiérarque a mis aussi sur le pied d’égalité la situation à la frontière polono-allemande et celle avec de la Biélorussie, alors que Varsovie accuse Minsk et Moscou d’organiser un afflux de migrants à sa frontière orientale dans le cadre d’une opération hybride destinée selon elle à déstabiliser l’UE.
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Tusk devrait prendre sa retraite d;européiste fanatique et prendre chez lui quelques migrants; mais comme tous ceux qui veulent nous refiler le cadeau empoisonné il ne fait que prêcher par idéologie gauchiste cad “Faites ce que je dis mais pas ce que je fait!” C ‘est un digne ex représentant de l;UERSS