Violeurs pakistanais en GB : Gangs de violeurs pakistanais au Royaume-Uni: les excuses de l’Etat, c’est un peu tard

Gangs de violeurs pakistanais au Royaume-Uni: les excuses de l'Etat, c'est un peu tard
Durant au moins 15 ans, des milliers de mineures blanches britanniques ont été abusées sexuellement par des gangs d'origine pakistanaise. Le gouvernement britannique fait enfin des excuses officielles. Mais c'est un peu tard, non?
Mieux vaut tard que jamais, serait-on tenté de dire. Mais en fait: il est difficile de pardonner. Au Royaume-Uni, le gouvernement a enfin reconnu les cas de «grooming gangs», c'est-à-dire de gangs pédocriminels, qui ont sévi (et sévissent toujours en partie) dans plusieurs villes du pays. Entre 1997 et 2013 au moins, ils ont violé des milliers (oui, des milliers) de mineures et commis d'innombrables tortures.
La grande majorité des criminels concernés sont d'origine pakistanaise et ont opéré parfois au nez et à la barbe des services britanniques. La raison? Leurs victimes, des petites blanches de la classe ouvrière, vivaient dans la peur et lorsqu'elles allaient parler aux autorités, n'étaient pas prises aux sérieux. Des mots mêmes de la première ministre Yvette Cooper, le sujet a été sciemment mis sous le tapis par différentes niveaux des autorités «par crainte de paraître racistes ou de susciter des tensions communautaires».
On aura rarement fait plus clair. Le rapport de police publié lundi est édifiant et évoque clairement une «surreprésentation de suspects d'origine asiatique et pakistanaise». Cette reconnaissance est d'autant plus marquante qu'elle provient d'une ministre et d'un gouvernement travaillistes. Serait-il enfin temps de devenir de gauche au Royaume-Uni?
Mais Londres indique que certains gangs sont encore actifs. Mais lutter contre la pédocriminalité n'est pas chose facile et le vrai scandale n'est pas là. Le scandale absolu, c'est d'avoir passé sous silence la douleur des victimes car celles-ci n'étaient pas les bonnes aux yeux des autorités. Le «racisme anti-blanc» n'existe toujours pas aux yeux de nos élites progressistes bien-pensantes. Pour les condamnations par nos féministes de gauche radicale et autres célébrités bobo bien au chaud dans leur tour d'ivoire, promptes à aboyer pour la moindre main au fesse sur un plateau de cinéma, on repassera.
Le serrage de vis des autorités britanniques est bienvenu, mais il arrive un peu tard. Il montre surtout que l'anti-racisme d'Etat des années 1990 et 2000 aura fait beaucoup plus de victimes que prévu. Il s'agit de ne pas l'oublier.
Source : article de référence à la base du développement : https://www.20min.ch/fr/story/royaume-uni-londres-veut-eradiquer-le-fleau-des-gangs-pedocriminels-103365574,  ASVI, Samuel Gonzalez, (Association suisse vigilance islam)

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