Islamisme dans les quartiers : à Chambéry, les Frères musulmans avancent masqués avec la bénédiction du député LFI Jean-François Coulomme

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Enquête après les révélations du JDD sur l’entrisme islamiste : à Chambéry, le collectif “Chambéry à venir” soutient du député Jean-François Coulomme illustrent une réalité trop longtemps niée.

Les révélations du Journal du Dimanche sur la stratégie d’entrisme des Frères musulmans dans les quartiers populaires n’ont surpris que ceux qui ferment les yeux depuis trop longtemps. Dans de nombreuses villes françaises, les organisations islamistes s’appuient sur des relais associatifs, culturels et parfois politiques pour étendre leur influence. Chambéry ne fait pas exception.

« Fraternité, écologie, justice sociale » : derrière la façade lisse du collectif “Chambéry à venir”, on retrouve tous les codes du clientélisme communautaire.

Porté par Jean-François Coulomme, député LFI et soutien local de l’extrême-gauche et de la Jeune Garde, ce mouvement donne depuis plusieurs années des signes d’accointance idéologique avec les mouvances islamistes, dans une ville minée par la montée du séparatisme.

Leur méthode ? L’infiltration douce, le contrôle des associations, l’habillage progressiste.

À Chambéry, c’est exactement ce qu’on observe : un tissu associatif très actif, où les revendications communautaires se mêlent à une rhétorique “inclusive” et victimaire. En toile de fond : la banalisation du voile, la remise en cause du modèle laïque, et un discours insidieux contre “l’islamophobie d’État”.

Dans ce contexte, Jean-François Coulomme se distingue non pas par sa vigilance, mais par sa complaisance.

Soutien affiché de certaines figures locales du “vivre ensemble” communautarisé, il n’hésite pas à relayer des initiatives portées par des structures aux liens troubles, souvent en lien avec l’islam politique ou ses relais associatifs.

“Chambéry à venir” se présente comme un collectif citoyen et progressiste. Mais derrière le vernis se cache une réalité plus préoccupante.

“Chambéry à venir”, ou la fabrique du communautarisme municipal créé autour des élections de 2026.

Selon plusieurs sources locales, le mouvement a bénéficié du soutien de figures connues pour leurs positions ambiguës vis-à-vis de la laïcité, certaines proches de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF, aujourd’hui “Musulmans de France”), longtemps considérée comme la vitrine hexagonale des Frères musulmans.

Les interventions publiques du collectif sur les questions de sécurité ou de laïcité sont rares, souvent floues, quand elles ne versent pas dans le déni.

En revanche, la dénonciation “des discriminations” et “des stigmatisations” contre “les jeunes des quartiers” y est récurrente, en écho parfait avec la rhétorique des réseaux islamistes qui exploitent ces discours pour avancer leur agenda.

À l’instar de nombreux élus des grandes villes, le député Jean-François Coulomme (LFI) semble avoir troqué la vigilance républicaine contre le clientélisme électoral.

En participant à des événements organisés par des associations marquées par l’influence islamiste, ou en entretenant le flou autour de ses soutiens locaux, le député de Chambéry contribue à la banalisation de l’islamisme dans les sphères locales. Et ce, alors même que les services de renseignement alertent depuis des années sur le rôle crucial des territoires dans la progression de l’islam politique.

 

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