Selon Le Figaro, le haut fonctionnaire Céline Cléber publie sous pseudonyme Douce France (Toucan), un roman de politique-fiction où la France bascule « progressivement, sous les coups de boutoir d’une petite minorité d’extrémistes violents », tandis que « les autorités, paralysées par la peur, ne parviennent pas à endiguer le conflit ». L’autrice explique vouloir « faire pénétrer le lecteur dans les arcanes de la vie politique et administrative » et alerte sur la fragilité institutionnelle face au « danger islamiste ». Le récit débute avec l’assassinat d’un prêtre par un islamiste, précipitant des émeutes qui virent à la guerre civile ; seuls un conseiller de l’Élysée, un sénateur et un préfet tentent d’enrayer la chute. Cléber présente son livre comme « le roman vrai de la guerre civile à venir », fustige la culture du « pas de vagues » dans une haute fonction publique peuplée de « bêtes à concours », et rappelle, citant Léonard de Vinci, que « ne pas prévoir, c’est déjà gémir ». Selon elle, la violence est déjà « larvée » dans certains territoires, et l’avenir dépendra « du courage, de la vertu de ceux qui dirigeront le pays ».
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Il faut être aveugle ou de mauvaise foi pour refuser de voir la réalité en France. “La disparition de notre belle culture ne fait plus aucun doute. Simple question de temps. Récit “les corps indécents”. Le face à face prédit par Gérard Collomb est inéluctable. Il se profile à l’horizon. Alors, à l’image des deux jeunes gens de ce récit, l’exil vers un pays aux valeurs traditionnelles chrétienne est bien la seule planche de salut pour échapper au pire. On en est là .