Racisme antimusulman en Suisse
Grâce à une étude essentielle, on sait désormais que les Musulmans ont une mauvaise image en Suisse. Cela serait dû à des facteurs extérieurs sur lesquels la communauté n’exerce aucune influence. On pense à l’attaque terroriste du 7 octobre 2023, aux attentats islamistes en Allemagne et en Autriche. Les roumis seraient donc incapables de faire la part des choses et de rendre à César ce qui est à César. Serait-ce si simple ? Rappelons que le rôle du Centre Suisse Islam et Société est de culpabiliser la population suisse en l’accusant de racisme afin de faciliter le remplacement des valeurs chrétiennes par l’islam. N'y aurait-il pas ici-même quelques exemples peu flatteurs pour les Croyants ? Cherchons bien.
Abu Ramadan, prêcheur de Bienne qui appelle Allah à détruire les Juifs, les Chrétiens, les Russes, les Américains et quelques autres, qui vit aux crochets de la société depuis des lustres, qui n’a pas été expulsé malgré ses appels à la haine, malgré le fait qu’il se rende en Syrie, son pays d’origine sans être inquiété le moins du monde.
Hani Ramadan, directeur du centre islamique de Genève, défenseur de la lapidation des femmes adultères, voyant dans le SIDA un châtiment divin frappant les déviants, considérant une femme sans voile comme une pièce de 2 euros qui passe d’une main à l’autre. L’homme estime que la cause du coronavirus et autres maladies nouvelles « est le fait que les hommes se livrent ouvertement à la turpitude, comme la fornication et l'adultère, ce qui déclenche des maladies et des épidémies nouvelles. »
Tariq Ramadan, frère du précédent, islamologue de pacotille brandi par une gauche hypnotisée en tant que symbole d’un Islam raisonnable et compatible, promoteur des valeurs sacrées aujourd’hui en délicatesse avec la justice, fortement soupçonné de s’être comporté comme le premier queutard venu, au besoin par la force.
Nadia Karmous, rouge égérie du Musée des Civilisations de l’Islam à La Chaux-de-Fonds proclamant qu’il n’y a pas un centime d’argent qatari dans le financement de son institution, prise en flagrant délit de mensonge par deux courageux journalistes français.
Mohamed Karmous, mari de la précédente, discret personnage actif au sein de la Ligue des Musulmans de Suisse, organe ayant attaqué notre pays devant la Cour européenne des Droits de l’Homme par suite de l’acceptation de l’interdiction des minarets. L’homme pourtant proche des Frères musulmans s’est fait prendre en vidéo, occupé à forniquer tel un vil mécréant. On lui accorde volontiers les circonstances atténuantes mais ça n’aide pas à améliorer l’image.
De tout cela les auteurs de l’étude ne parlent pas. Aucune responsabilité des Musulmans dans la piètre image qu’ils renvoient. La faute incombe exclusivement aux infidèles. C’est vrai, c’est leur faute si ce qui vient d’être évoqué ne leur donne pas une vision coruscante de l’Islam. La partialité évidente de cette étude suffit largement à la discréditer, ses auteurs avec. Nous avons affaire à une nouvelle attaque de nos valeurs en conformité avec la stratégie victimaire adoptée depuis fort longtemps par les islamistes.
Ils se disent persécutés et tentent d’obtenir un assouplissement du vivre-ensemble pour faire passer leur vision moyenâgeuse du monde. Cela fonctionne malheureusement assez bien, la gauche, le centre tombant régulièrement dans le panneau.
L’étude présente néanmoins un intérêt majeur. Elle montre que l’islam politique avance et peut compter sur l’Université de Fribourg et d’autres pour combattre le christianisme. Nous sommes avertis. Nul racisme face aux islamistes, juste de la légitime défiance.
Yvan Perrin, 28.02.2025
Et vous, qu'en pensez vous ?