L’excision, “une barbarie qui n’a que trop duré” : un plan de lutte contre les mutilations sexuelles féminines lancé en Île-de-France

post_thumb_default

 

Campagnes de prévention, formation des enseignants et des soignants… À l’occasion de la Journée internationale de la tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, Aurore Bergé a signé un plan de mesures pour l’Île-de-France. 7 000 filles vivant en région parisienne “sont aujourd’hui menacées d’excision”, alerte la ministre.

L’objectif est de “ne laisser aucune place” à “une barbarie qui n’a que trop duré”, “sous couvert de coutumes”, selon Aurore Bergé. Jeudi à la préfecture d’Île-de-France, dans le 15e arrondissement de Paris, la ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes a présenté avec Marc Guillaume, le préfet de région, le premier “plan francilien de lutte contre les mutilations sexuelles féminines”. Rectorats, cours d’appel, Agence régionale de santé (ARS), Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), préfecture de police, police nationale… Le document a également été signé par les représentants de nombreux établissements et institutions.

[…]

France3

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Un commentaire

  1. Posté par Radar le

    Nous ne sommes pas des barbares, nous laissons à tout un chacun pratiquer ses coutumes sur son sol. Si nous tentions, ne serait-ce que de prévenir ou d’informer, notre action serait qualifiée d’ingérence blasphématoire. La Suisse prend en charge tous les soins relatifs à de telles abominations. C’est la seule chose que nous sommes autorisés de dire.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.