NDLR. Islamophobie, islamisme, racisme, wokisme, censure, liberté d’expression ?
Un important contingent de politiciens de l'UDC devait comparaître lundi après-midi devant la commission de l'immunité du Conseil national. Le chef du groupe parlementaire Thomas Aeschi et les conseillers nationaux Michael Graber et Andreas Glarner. Le Conseil des Etats et l'ancien président du parti Marco Chiesa ainsi que l'ancien conseiller national et secrétaire général de l'UDC Peter Keller ont également été convoqués. La commission a dû décider si leur immunité parlementaire devait être levée en raison de diverses plaintes pénales.
À Glarner, un article critique de l’Islam sur Platform X a donné lieu à une publicité. Aeschi et Graber ont cependant défié les instructions de la police d'utiliser un escalier dans le bâtiment du Parlement. Le parquet fédéral a ouvert une enquête ici. Chiesa et Keller craignent de violer la norme anti-discrimination.
Cet activisme judiciaire est le résultat de la folie de la gauche verte visant à annuler le genre, dirigée contre tous ceux qui s’expriment clairement politiquement. Ils veulent la faire taire.
Eh bien, la commission a décidé de ne pas lever l'immunité du conseiller aux États Marco Chiesa et de l'ancien conseiller national Peter Keller. Dans le cas d'Aeschi et Graber, des éclaircissements supplémentaires doivent être apportés, tandis que le conseiller national Glarner a été autorisé à être limogé. La Commission a clairement indiqué que son tweet critique à l’égard de l’islam n’était pas couvert par l’immunité parlementaire. Cette explication est extrêmement bizarre. Toutefois, la Commission juridique du Conseil des Etats doit également approuver la décision.
Et il n’y a pas de fin en vue à ces accusations criminelles insensées contre des politiciens impopulaires. Ces derniers jours, on a appris que le conseiller du gouvernement bernois Pierre Alain Schnegg se trouvait désormais également dans le viseur des moralistes de gauche verte. Il y a quelque temps, il a expliqué dans une interview que le statut de protection S était « de plus en plus abusé ». Ce sont surtout les Roms qui viennent en Suisse, «et beaucoup d'entre eux ne parlent ni ukrainien ni russe. C'est suffisant pour une enquête criminelle. Quelle perte de temps.
Et vous, qu'en pensez vous ?