Ancien ingénieur logiciel dans un grand groupe de télécommunications, Bernard Germain est l’auteur de nombreux ouvrages dont le dernier en date : "Démasquer la gauche, cette imposture permanente", un livre vivifiant et revigorant, aux Editions Synthèse.
La gauche est apparue comme courant politique durant la seconde moitié du XIXème siècle, en relation avec la révolution industrielle et la création conjointe d’un prolétariat principalement concentré dans les usines, dans les centres urbains. Exprimant au départ des sentiments et des objectifs respectables, l’Histoire a montré que ceux-ci furent rapidement oubliés, voire violés purement et simplement. L’utopie s’est transformée en un véritable cauchemar. Toute l’action de la gauche fut donc, dès le début, un phénoménal mensonge, une idéologie qui trompe les gens en prétendant défendre certains principes mais en pratiquant une réalité bien différente.
Le livre de Bernard Germain reprend, un par un, les grands thèmes mobilisateurs des gauches françaises (immigration, écologie, féminisme...) et démontre l’imposture, le mensonge, l’ignorance, l’escroquerie, l’arnaque de ce courant de pensée. Et l’auteur n’oublie pas de rétablir les vérités, chiffres à l’appui. Quiconque veut cesser d’être manipulé par cette idéologie nauséabonde a intérêt à écouter la mise en garde de Bernard Germain.
Extrait de: Source et auteur
L’imposture ce n’est pas la gauche mais bien la ou les idéologies que propagent ceux se prétendant de gauche cela du marxisme su socialisme en passant par toutes ces entités dérivées telles le trotskisme ou le maoïsme et tant d’autres prônant la dictature du
prolétariat génératrice de guerres civiles et de dictatures comparables au fascisme et souvent pires si l’on se réfère su nombre de déportations et de mort. Et pourtant il existe malgré tout une vraie gauche saine et indispensable et comme exemple je citerai Victor Hugo.
La gauche est indispensable mais seulement si elle est capable de reconnaître le bon du mauvais patron. D’ailleurs les salariés savent, sans idéologie, reconnaître ceux qui les exploitent de ceux qui leur fournissent un travail de qualité. Pour être objectif je sais bien qu’il existe dans les partis de gauche des adhérents ayant compris cela, malheureusement leur parti est toujours encore dans l’ideologie.