Ndlr. A propos. Une hypothèse “complotiste” : Et si le prochain assassiné n’était autre que le deuxième individu, Ryan Wesley Routh, qui a tenté d’assassiner l’ancien Président D. Trump? Pour rappel: l’assassin du Président J. F. Kennedy le 22 nov. 1963, Lee Harwey Oswald, a lui-même été assassiné par Jack Ruley, ainsi de suite? Ou, pourquoi pas une autre victime, à savoir le premier à avoir tenté d’assassiner D. Trump, soit Thomas Matthew Crooks, par exemple. Mais ce ne sont là que des hypothèses, en plus “complotistes”!
La sympathie des honnêtes citoyens pourrait aller vers un homme sur lequel des tueurs s’acharnent. Aussi les médias mainstream ont déployé tout un brouillage sémantique pour essayer de faire douter de la réalité des faits. Voire pour suggérer avec une insistance odieuse, que Trump aurait pu organiser lui même une mise en scène.
La détestation de Trump par l’État profond a atteint un tel degré de haine qu’ils ne se soucient plus de vraisemblance
Ainsi ils ont parlé d’abord de coups de feu éloignés, relatifs à une banale querelle près du terrain de golf de Trump, sans lien avec sa personne. Puis ils ont évoqué un « incident qui pourrait être un tir proche de l’ancien président ». Avant de se reprendre pour employer, à la quasi-unanimité des médias mainstream l’expression « tentative d’attentat présumé sur Trump ».
Les médias locaux, avant les chaînes nationales réticentes, ont rapporté qu’un suspect avait été identifié et arrêté comme étant un individu qui avait guetté sa cible pendant des heures, avant de prendre la fuite lorsqu’il eut été repéré. Mais les grands médias n’étaient pas sûrs qu’avec un AK-47 à lunette de tir pointé en direction de l’ex-président, Ryan Wesley Routh nourrissait de mauvaises intentions à son égard. Mieux, ils n’avaient aucune idée du mobile de l’attentat éventuel présumé.
Lorsque le FBI a divulgué le fait que le tueur, membre du parti démocrate, s’était rendu plusieurs fois en Ukraine et avait tenté de recruter aux USA des mercenaires pour aider la dictature de Kiev, les médias menteurs ont changé de braquet. L’individu fut présenté comme un hurluberlu aux convictions politiques fumeuses.
Les journaleux français qui ont repris servilement cette rhétorique ont dû confondre Trump avec François Mitterrand qui avait organisé le 15 octobre 1959 le faux attentat de l’observatoire.
Depuis le 15 septembre, l’enquête a confirmé les intentions homicides de Routh, mais le poison du doute est entretenu
Si l’instigateur du crime n’avait pas proclamé ses intentions homicides, les médias continueraient à affirmer crânement qu’on continue à chercher ses mobiles et qu’on ne comprend pas bien ce qui s’est passé.
Ryan Wesley Routh, un militant excité de 58 ans aux engagements violemment anti-Trump, a laissé derrière lui une lettre indiquant qu’il avait l’intention de tuer l’ancien et sans doute futur président. On a trouvé aussi dans sa voiture une liste manuscrite détaillée des lieux, dates et heures où Donald Trump était apparu depuis quelques jours, et où il aurait dû être présent au cours de la semaine suivante.
Comment Routh s’est-il procuré des informations aussi précises alors que celles-ci ne sont détaillées qu’à l’attention des services de sécurité et des autorités locales ? Et qu’on ne les divulgue plus aux médias de façon aussi complète pour des raisons évidentes de sécurité, après l’attentat du 13 juillet qui l’a manqué de peu. Questionné sur ce point troublant, le lundi 23 septembre, le ministère de la Justice US a refusé de répondre.
En vue d’un « attentat présumé éventuel » auquel il ne pensait sûrement pas, Routh était en possession de six téléphones portables, dont certains avaient conservé en mémoire des recherches Google sur les itinéraires possiblement empruntés par Trump, en fonction de ce qu’il savait de ses déplacements. Un de ces appareils affichait aussi un réseau routier d’exfiltration permettant de gagner le Mexique par les voies les moins fréquentées.
Heureusement que « le tueur présumé » a éclairé sur ses intentions tous ces médias aveugles et obtus
Il n’a pas avoué sous la contrainte. Plusieurs mois avant les faits, il avait déposé chez une connaissance une boîte contenant des munitions et des carnets de notes, ainsi qu’une lettre à ne lire qu’en cas d’urgence.
Cette boîte a été ouverte par le dépositaire après avoir entendu que Ryan Wesley Routh avait été placé en garde à vue, rapporte The Associated Press. Cette personne a ensuite contacté les forces de l’ordre. La missive était une sorte de texte revendicatif, à la fois un manifeste et un exutoire, au cas où la tentative d’assassinat longuement préméditée n’aboutirait pas.
« J’ai fait de mon mieux pour exécuter Trump, j’ai donné tout le courage dont j’étais capable, mais j’ai échoué. C’est à vous maintenant de finir le travail, et j’offrirai 150 000 dollars à celui qui pourra le faire », est-il écrit dans ce texte divulgué par les procureurs.
Parmi son « legs » lui permettant, pensait-il, de passer à la postérité, un livre publié en février 2023 à compte d’auteur, sur la guerre en Ukraine. Ryan Routh y écrivait froidement : « Vous êtes libres tout comme moi d’assassiner Trump pour ses erreurs de jugement et le démantèlement de l’accord avec l’Iran puisque personne aux États-Unis ne semble avoir les couilles de faire marcher la sélection naturelle ou même non naturelle ».
Enfin, les relevés de téléphone portable indiquent que l’assassin manqué s’est rendu à la mi-août depuis Greensboro, en Caroline du Nord, jusqu’à West Palm Beach soit 728 miles US ou 1171 km. Et qu’il est resté près du club de golf de Donald Trump et de sa résidence Mar-a-Lago pendant plusieurs jours pour un repérage des lieux avant la tentative d’assassinat.
Les attentats renforcent l’aura de Trump et l’État profond enrage de ne savoir comment y répondre
Non seulement cet imbécile de sniper à la noix l’a loupé, comme l’autre avant, mais de ce fait il a accru son capital de sympathie, après le débat truqué où Donald avait dû affronter trois adversaires coalisés contre lui. La technique française de saturation par des journalistes militants, dont les Ricains se sont inspirés. Perçue à juste titre comme déloyale aux USA.
Le deep state ne sait plus comment contrer Trump autrement qu’en le tuant, puisque les procès abusifs en série ont échoué. Or celui-ci se bat pour gagner. Avec ses propres armes. Dans sa campagne électorale, il surjoue le combat du bien contre le mal, de l’Amérique profonde authentique contre les charognards dégénérés qui veulent la dépecer.
Il n’a pas besoin de l’approbation des geeks de la Silicon valley, pas plus que des applaudissements des bonimenteurs du show business. Et je ne pense pas qu’il craigne grand-chose du film« The apprentice » qui retrace son irrésistible ascension. Avec cette réplique de son mentor qui résume tout : « Une seule règle. Attaque, attaque, attaque ! »
Ce biopic qui se veut à charge risque d’avoir l’effet inverse de celui escompté, dans une Amérique qui aime les winners et méprise les losers. Les bobos du festival de Cannes qui l’ont boudé ont peut-être eu la même impression. En tout cas, ce n’est pas un hasard si la date de sortie en salle est fixée au 9 octobre, 4 semaines avant l’élection.
Les trumpistes sont des patriotes qui aiment Superman
Les États-Unis ont besoin de héros. Des preux chevaliers pourfendant les ennemis de la Nation. C’est un facteur psychologique qui renforce Donald. Et le fait détester par ses concurrents. Engoncés dans des discours tièdes et convenus, incapables de prendre des initiatives hardies, inaptes à adopter des positions tranchées, ils ne savent pas enthousiasmer les foules en leur proposant des lendemains meilleurs.
Son discours électoral simplifié ne doit pas faire oublier qu’il est capable de subtilités et de réalisme. Avec Poutine, bien qu’adversaires au plan mondial, ils s’apprécient mutuellement comme deux champions. Et il a rabattu le caquet de Kim Jong Un. Mais les arcanes de la politique internationale ne passionnent pas ses électeurs.
Leur intérêt se porte sur les éléments concrets qui étayent sa crédibilité tels que la croissance économique lors de son premier mandat, avec la hausse du pouvoir d’achat, la diminution du chômage, la baisse des impôts et la création de nombre d’entreprises nouvelles, malgré la grippette du pangolin.
C’est pourquoi, faute de pouvoir le contrer par des arguments pertinents, surtout portés par l’insignifiante Kamala, et vu la difficulté cette fois à organiser une fraude monumentale, les progressistes ne voient pas d’autre solution pour s’en débarrasser que de l’assassiner. Mais que c’est dur de le reconnaître pour ces chochottes de la bonne société !
Christian Navis
Extrait de: Source et auteur
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