Alexandre Del Valle – C’EST QUOI L’ÉTAT PROFOND ? : DÉCRYPTAGE

Carla Montet: Nous avons un exemple local qui semble bien correspondre à la description du deep state selon Del Valle.
Non, ce n'est pas le WEF de Klaus Schwab, ni l'OMS, mais simplement la ville de Lausanne qui a pu placer ses hommes durant des décennies de règne sans partage, non seulement dans l'administration, l'enseignement, le domaine de la santé, les médias, la culture, mais aussi la justice et indirectement par les mandats attribués par la ville.
Sans oublier un large assistanat créant de futurs électeurs reconnaissants n'allant surtout pas mordre, en quoique ce soit, la main qui les nourrit si copieusement.
Dans de telles conditions, chaque année passée, renforce le nombre et la force des obligés attendant tout, ou presque, des services tentaculaires des pouvoirs publics. Ces derniers se renvoyant mutuellement cette manne dont ils vivent et qui fait fonctionner l'usine à gaz, en croissance perpétuelle, dont chacun dépend toujours davantage.
Dans cet état des choses, les chances d'un changement nous semblent proche de zéro pour cette ville à quatre milliards de dettes.
En effet, même les débâcles ne pouvant être dissimulés accentuent encore le nombre des tentacules de la pieuvre en question, via des audits, des expertises, de nouvelles couches de contrôleurs.

 

 

 

Un commentaire

  1. Posté par antoine le

    Il n’est jamais trop tard pour faire le ménage.
    Revoir la péréquation financière et surtout mettre Lausanne sous TUTELLE.
    D’autres communes ont été mise sous tutelle pour bien moins que ça !
    Les con-tribuables vaudois aimeraient bien savoir où passe tant d’argent … !!

Et vous, qu'en pensez vous ?

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