La RTS interview Sandrine Rousseau au lendemain des élections européennes

Forum du 11.06.2024 : Interview de Sandrine Rousseau, députée écologiste
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La France Insoumise confirme sa bonne dynamique 9,89%

Après une campagne presque exclusivement tournée vers Gaza, avec 9,89% La France insoumise gagne 3 points par rapport à 2019 (6,31%) et ravit 9 sièges. La formation mélenchoniste perd de fait son leadership à gauche. La sulfureuse Rima Hassan fait son entrée au parlement européen. (source)

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La stratégie « antisioniste » payante des Insoumis

LFI a récolté de bons scores dans les banlieues aux européennes. Sa ligne ne semble plus être une ligne rouge à gauche qui inclut le mouvement dans son « front populaire » en vue des législatives.

Par Michel Revol et Erwan Seznec, le 11/06/2024

 

La tête de liste Manon Aubry et Rima Hassan, septième sur la liste, désormais députée européenne, lors de la soirée électorale, à Paris, le 9 juin 2024. © LP/Fred Dugit

Ça n'a pas raté. Dès l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale, dimanche 9 juin au soir, une foule de jeunes gens se précipite place de la République, à Paris, pour un No pasaran ! face au Rassemblement national. La foule est gaie, on chante et on tape dans ses mains, on agite des drapeaux aux couleurs de LFI, du NPA ou encore du PS. Mais, au sommet de la statue de la République, c'est un jeune hardi qui grimpe et déploie un drapeau… palestinien. Il n'y a aucun rapport, évidemment, avec la cause défendue par la foule, mais c'est ainsi depuis le début de la campagne des européennes : la Palestine a été l'unique combat, ou presque, de La France insoumise. [...]

abonnés: https://www.lepoint.fr/politique/la-strategie-antisioniste-payante-des-insoumis-11-06-2024-2562670_20.php?Social#11

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RTS info: Un parcours d'obstacles attend Ursula von der Leyen pour être reconduite à la tête de la Commission européenne

Tractations en vue de la nomination à la présidence de la Commission européenne / La Matinale / 1 min. / hier à 06:25
Au lendemain des élections européennes, place aux grandes manoeuvres à Bruxelles pour désigner les prochains "visages" de l'UE. L'Allemande Ursula von der Leyen semble en bonne posture pour un nouveau mandat à la tête de la Commission, mais les jeux sont encore loin d'être faits.

"Nous avons gagné les élections européennes, les amis!", s'est exclamée dimanche soir Ursula von der Leyen, qui est aussi vice-présidente du Parti populaire européen (PPE, centre-droit), arrivé en tête du scrutin. Mais si l'ancienne ministre allemande de la Défense veut rester cinq ans de plus à Bruxelles, elle va devoir convaincre et faire preuve d'habileté politique.

Les tractations européennes, qui ont commencé lundi, se jouent d'abord à l'interne pour former les groupes politiques, voire les modifier, pour l’extrême droite qui espère étendre son influence par de nouvelles alliances. Leurs choix doivent être figés pour la première session plénière qui aura lieu du 16 au 19 juillet.

Dans le même temps, le processus de nomination des quatre futurs dirigeants (appelés "top jobs") est lancé, en particulier à la présidence de la Commission européenne, avec Ursula von der Leyen qui est candidate à sa propre succession.

Les "top jobs" conditionnés à la montée de l'extrême droite

C'est au chef du Conseil européen, le Belge Charles Michel, d'orchestrer les discussions sur les postes de président de la Commission européenne, du Parlement européen et de Haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité. Le quatrième "top job", le président de la Banque centrale européenne, sera choisi plus tard par les chefs d’État ou de gouvernement des pays de la zone euro, le Conseil européen et le Parlement européen.

Les "top jobs" devront être répartis entre les trois partis (PPE, Socialistes et Démocrates européens et Renew) qui ont obtenu le plus de voix lors du scrutin européen du 9 juin. Mais la montée de l'extrême droite pourrait changer les choses.

https://www.rts.ch/info/monde/2024/article/un-parcours-d-obstacles-attend-ursula-von-der-leyen-pour-etre-reconduite-a-la-tete-de-la-commission-europeenne-28534507.html

> Lire aussi : La percée de l'extrême droite est le résultat des crises qui traversent l'Europe, estime l'ex-ministre espagnole Arancha Gonzalez

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