L’audiovisuel public, et notamment France Inter qui, rappelons-le, fonctionne avec nos impôts, vient de nous offrir son lot d’absurdités, débité par l’une de ses journalistes (de qualité, paraît-il), Sonia Devillers, à qui avait été confiée, il est vrai, une interview particulièrement difficile : celui de s’opposer à Marion Maréchal, leader du Parti Reconquête!Sa question (totalement absurde) : Quelle différence y-a-t-il entre la défense de la famille française que vous proposez, vous, et celle du maréchal Pétain ?
https://reseau-libre.org/site/wp-content/uploads/2024/05/FqqFO5H7Ne3mjOsn.mp4
Apparemment cette Sonia Devillers estime qu’il y aurait une différence entre une famille française actuelle et une famille française sous le maréchal Pétain. Vous en voyez une, vous ? Moi pas. Une famille française, quelle que soit l’époque, c’est un père, une mère et des enfants, non ?C’est d’ailleurs la réponse immédiate de Marion Maréchal : « Votre question est bête, dingue et outrancière. Vous voyez, quand j’entends une telle question je me rappelle pourquoi j’ai tant envie de privatiser l’audiovisuel public. »La « journaliste » répond : « C’est simplement que quand on écoute le maréchal Pétain (il m’étonnerait fort qu’elle ait pu l’écouter !) la famille française, c’est la cellule de base de la France. »
Ce qui, selon Sonia Devillers, ne serait pas le cas : la famille française ne serait en aucun cas la cellule de base de la France. Merci de nous l’apprendre !Marion Maréchal a jugé bon de lui répondre ironiquement : « Vous aimez la confiture de fraises ? Si c’est le cas, dites-moi, je crois que Hitler aimait la confiture de fraises. Vous seriez un peu hitlérienne, non ?Nous pouvons nous poser cette question : pourquoi Reconquête! aurait-elle besoin de se distancier ou non de la doctrine pétainiste sur ce point bien particulier ? Que vient faire une telle affirmation 80 années plus tard sur une question concernant la famille française ?Pourquoi la société aurait-elle dû évoluer depuis cette époque concernant justement la famille française et admettre que les enfants sont toujours faits par des hommes et des femmes.
Apparemment, pour Sonia Devillers, être pour la famille française et estimer qu’un enfant est bien conçu par un homme et une femme « ce serait fasciste », et la « nature serait donc fasciste ».Je ne sais pas si l’audiovisuel public devrait être privatisé ou non, mais que des Sonia Devillers n’apparaissent plus sur nos écrans serait déjà un énorme progrès.
Un dernier mot sur le Prix d’interprétation féminine offert à un homme transgenre, devenu femme, Karla Sofia Gascon. Chacun pensera ce qu’il voudra, tel n’est pas mon propos, mais il faut tout de même que toutes les athlètes femmes, quelle que soit la discipline qu’elles pratiquent, sachent qu’un jour il sera impossible pour elles de remporter une seule victoire aux JO ou aux championnats du monde si les transgenres hommes devenus femmes obtenaient le droit de participer aux épreuves féminines.Manuel Gomez
Extrait de: Source et auteur
La question de La Devillers est un brin (noter le subtil jeu de mots brin … vilers) bête et outrancière, mais elle est surtout vicieuse et la marque d’un esprit déviant !
Mme Brin Devillers, la famille depuis Cromagnon , c’est un père (sexe masculin), une mère (sexe féminin) et des enfants. Point. Cela n’a pas changé même si des hommes veulent se faire couper leur service trois pièces ou se faire pousser des seins, et si des femmes veulent se faire greffer un organe viril ou se laisse pousser la barbe. Par contre, un homme ne peut toujours pas accoucher car la nature a réservé ce privilège aux femmes. Toute autre considération est le fruit de cerveaux profondément malades.
Visiblement la gauche Française recrute ses partisans dans les cancres du fond de la classe , ceux celles qui sont a coté du radiateur et de la fenêtre a regarder les oiseaux volé.
Le service dit publique d’information doit être privatiser au plus vite, il coute une fortune aux français françaises pour permettre a des ignares de vivre sur leur dos , en débitant a longueur de temps des absurdités plus grosse les unes que les autres.