Les dysfonctionnements de l’asile. Vidéo de Thomas Matter, conseiller national UDC zurichois, 16.05.2024, trad.
Depuis que le conseiller fédéral en charge de la question de l’asile, Beat Jans (PS), a annoncé un traitement des demandes en moins de 24 heures, le nombre de ces dernières a reculé, parfois de plus de 60 pour cent.
Le Conseiller fédéral a surpris en déclarant qu’il voulait que les demandeurs d’asile n’ayant que peu de chances d’être acceptés reçoivent la décision des autorités en 24 heures, pour être rapidement fixés sur leur sort. Une très bonne idée : les vrais réfugiés sauraient qu’ils peuvent rester, les autres sauraient qu’ils doivent repartir. Ce délai s’est avéré irréaliste et a été rallongé à 12 jours. Cela représenterait toujours une amélioration par rapport aux dysfonctionnements actuels.
Les conséquences de ces annonces peuvent elles aussi surprendre : dans toute la Suisse, les demandes vouées à l’échec déposées par des réfugiés économiques en provenance du Maroc, de Tunisie, d’Algérie et de Lybie ont diminué de 40 pour cent. Au centre fédéral d’asile de Zurich, qui traite la plupart de ces dossiers, leur nombre a même reculé de 62 pour cent !
Si tant de soi-disant demandeurs d’asile renoncent face à la perspective d’un traitement rapide, c’est que quelque chose cloche dans notre droit d’asile. Un examen plus rapide des cas ne dissuade pas les vrais réfugiés, ceux dont la vie ou l’intégrité est réellement menacée dans leur pays. Ceux-ci devraient même se réjouir que leur situation soit vite clarifiée. Au contraire, les migrants économiques (au mieux) mais aussi les criminels (au pire), c’est-à-dire les cambrioleurs, délinquants, escrocs ou violeurs, ont tout à craindre d’une procédure express. Malheureusement, la plupart disparaissent dans la nature au lieu de rentrer chez eux. Le mieux reste de les intercepter directement à la frontière suisse et de les renvoyer immédiatement après une procédure courte.
Traduction-adaptation : Caroline
totalement d’accord… les immigrés du continent africain racontent parfois des histoires fabuleuses sur leurs vies en Europe, ce qui excite l’appétit. Traitement rapide, cela remet de l’ordre. C’est du rêve à profusion que procurent les immigrés quand ils descendent au pays, surtout avec les vols low cost, habillés à chaque fois comme pour un mariage. Avec la force de l’Euro ou du Franc Suisse, les dépenses ostentatoires ne manquent pas. Et, le summum, c’est de revenir avec une Géraldine, une Monique ou une Thérèse, conquise par le côté impétueux de son partenaire rencontré par hasard sur un site de rencontre ou à la Migros alors qu’elle noyait sa tristesse après être devenue transparente. Vous avez vus les femmes de SOS Méditerranée danser avec les nouveaux venus marbrés, à Lampedusa??? “if you try black, you never come back”… elles se sont passées le mot..