[Exclusif] Européennes : « Pourquoi je rejoins la liste Reconquête de Marion Maréchal », Jean Messiha explique les raisons de son retour en politique

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Valeurs actuelles. Vous serez présent en 8ème position sur la liste de Marion Maréchal pour les élections européennes. Pourquoi revenir en politique, et à Reconquête, deux ans après avoir quitté le parti ?
Jean Messiha. La politique ne vous quitte jamais et surtout quand on y entre comme moi par convictions et non par opportunisme. Cela étant, il y a différentes façons de faire de la politique : de façon partisane, en portant les couleurs d’un parti, ou de façon non-partisane en défendant des idées dans le débat public. Il se trouve que j’ai fait successivement les deux.

C’est par conviction que j’ai rejoint le Front national en 2015, au prix de ma carrière de haut fonctionnaire. C’est encore par conviction que je l’ai quitté en 2020, en sacrifiant des années de militantisme et de travail, pour créer un cercle de réflexion national identitaire, l’Institut « Vivre Français ». C’est toujours par conviction que j’ai soutenu la candidature d’Éric Zemmour à l’élection présidentielle en 2022 mais sans devenir un cadre de Reconquête et sans me présenter aux législatives. C’est encore pour défendre mes convictions dans le champ médiatique que j’ai repris mon activité de chroniqueur. Et c’est aujourd’hui encore par conviction que je reviens dans l’arène politique, mais cette fois-ci en m’engageant vraiment dans l’appareil du parti, en étant candidat à une élection majeure sous sa bannière, aux côtés d’Éric Zemmour et de notre tête de liste, Marion Maréchal.

Vous me direz qu’en 8ème position, à l’heure où l’on se parle, je ne suis pas en position éligible et donc il n’y pas de quoi fanfaronner. Raison de plus pour me croire quand je vous dis que mon combat est bien celui des convictions. Pour paraphraser Georges Bernanos, « l’Espérance est un risque à courir ». J’ai décidé de le courir. Passionnément et vigoureusement. Avec l’ambition de le réussir pour Reconquête et pour la reconquête. Marion Maréchal martèle que nous serons la surprise de cette élection. Je la rejoins totalement sur ce point.

Les derniers sondages créditent Reconquête d’un score plutôt décevant (entre 5,5 et 8 %). Comment l’expliquez-vous ? Dans ce contexte, votre retour n’est-il pas risqué ?
Dans une société ultra-consumériste, massivement préoccupée par le pouvoir d’achat, porter le combat civilisationnel est toujours plus difficile que de promettre plus d’argent et de temps libre. Se battre sur l’être a toujours été plus ardu que de convaincre sur l’avoir.

Loin de nous de nier l’angoisse massive de millions de Français face au déclassement social pour ne pas dire à la misère. Car même si « l’Homme ne vit pas seulement pas de pain », comme nous le dit Jésus dans les Évangiles, il en vit quand même. D’ailleurs Eric Zemmour a des mesures extrêmement pertinentes et efficaces en faveur du pouvoir d’achat des Français. Des mesures endogènes qui passent par une baisse des charges sociales et donc une hausse du salaire net et non par une multiplication aussi intempestive que ponctuelle de chèques financés par l’argent public.

Éric Zemmour a une proposition simple et lisible : la baisse de la CSG, qui est une taxe sur le travail des classes populaires et des classes moyennes, afin d’améliorer le bas de la fiche de paie. Mais également une baisse massive des « impôts de production » pesant sur nos entreprises, qui sont bien plus élevés que chez nos grands concurrents allemands.

Notre programme économique est ainsi fondé sur un postulat très simple. On ne peut pas distribuer une richesse que l’on ne crée plus assez, car on ne travaille plus assez et que l’on taxe trop ceux qui travaillent dur, les salariés et les indépendants, et ceux qui entreprennent.

Mais plus encore et comme l’a si pertinemment théorisé Éric Zemmour, le « grand déclassement » est aussi l’une des conséquences majeures du « grand remplacement » qui en est la cause.

A Reconquête, la question du pouvoir d’achat est donc également capitale. Mais elle ne peut pas être honteusement instrumentalisée pour écraser la question vitale de la menace existentielle, comme le système antinational l’a encore fait pendant la présidentielle de 2022, réussissant le tour de force de faire endosser au RN l’abandon de la question identitaire et sécuritaire au profit de celle du pouvoir d’achat.

Mais plus encore et comme l’a si pertinemment théorisé Éric Zemmour, le « grand déclassement » est aussi l’une des conséquences majeures du « grand remplacement » qui en est la cause. La France s’appauvrit d’accueillir tous les pauvres du monde qui ont tout à prendre en France et quasiment rien à apporter. Quand l’immigration coûte chaque année entre 50 et 80 milliards d’euros pour 500 000 entrées supplémentaires légales et illégales, le fardeau est gigantesque et il est porté à bouts de bras par le contribuable. Pas étonnant que les bras lui en tombent et qu’il vive de plus en plus chichement…

Dans cette perspective, le pouvoir d’achat n’est qu’une diversion, comme l’atteste l’indigence des solutions qui sont proposées par le système pour le traiter. En réalité, à chaque élection ces dernières années, le pouvoir d’achat permet l’achat du pouvoir. En clair, en promettant de faire du pouvoir d’achat la priorité et en distribuant des tombereaux de pognon public pour ce faire, le système antinational achète sa propre perpétuation pour continuer l’invasion et l’islamisation de la France.

Il convient de sortir de cette escroquerie en réveillant les Français. Ça n’est pas une mince affaire, j’en conviens. Il n’est jamais facile de parler de verticalité quand on est envahi par l’horizontalité angoissante de la matérialité de son existence. Mais notre combat est noble. Comme il l’a toujours été avant nous.

Souvenez-vous, sous l’Occupation allemande dans les années 40, la grande majorité des Français se souciaient d’abord et avant tout de ce qu’on appelait alors le ravitaillement. Les Français étaient alors majoritairement obnubilés par leurs garde-mangers et cherchaient pour tous les moyens à contourner le rationnement. Pendant ce temps, la Résistance, qui parlait à la France de la France, de sa liberté, de son honneur et de la défense de son identité, n’avait pas la tâche facile. Jusqu’en 1943, la Résistance peinait à convaincre et recruter.

Toutes proportions gardées, 80 ans plus tard, nous vivons une invasion grandissante et une occupation croissante et de plus en plus violente de larges portions de notre territoire national. Et de la même manière que Vichy demandait aux Français de rester les yeux rivés sur leurs assiettes en leur assénant que la présence allemande était au mieux une fatalité, au pire une nécessité (dans la victoire contre le bolchévisme notamment), le système antinational actuel anesthésie les Français en leur disant que l’invasion est une fatalité écologique et toutes les religions sont compatibles avec la France, tout en leur promettant que tout ça va s’arranger en mettant plus de pognon. On voit bien que rien n’y fait et que tout empire.

35% des électeurs d’Éric Zemmour à la présidentielle pourraient voter pour Jordan Bardella et le RN. Comment les convaincre de choisir Marion Maréchal ?
Vous avez une drôle de manière de présenter les choses. Vous auriez pu commencer en disant que 65% des électeurs d’Éric Zemmour à la présidentielle sont certains de voter pour la liste conduite par Marion Maréchal. Je veux dire aux électeurs que le vote pour la liste RN conduite par Jordan Bardella est le vote inutile par excellence.

Il faut rappeler qu’au Parlement européen, le groupe ID du RN, dans lequel figure un parti allemand à la limite du néonazisme, l’AfD, est isolé et n’a aucun allié. Le RN affirme que pour changer un certain nombre de choses importantes en France, il faut passer par l’Europe. Il a raison. Mais comment le RN parviendra-t-il à changer l’Europe de l’intérieur si à l’intérieur il est seul et isolé ?

Le seul vote utile dans le camp national c’est le vote Reconquête. C’est même un vote indispensable. Car si nous voulons que le camp national dispose d’une épine dorsale identitaire solide, il faut que nous soyons forts. Et un RN seul, même ultra majoritaire, c’est le risque d’accommodements que l’on dit raisonnables, mais qui sont en réalité déraisonnables avec l’islamisation de la nation.

Mieux encore, au Parlement européen, Reconquête fait désormais partie du groupe des Conservateurs et Réformistes Européens (ECR), qui compte 68 députés mais qui est le seul opposant à Ursula von der Leyen. C’est le seul groupe qui, s’il est majoritaire, sera capable de donner à l’Union européenne le virage souverainiste et identitaire que les peuples européens appellent de plus en plus de leurs vœux.

À titre personnel, que souhaitez-vous apporter à la campagne ?
Parmi les huit premiers de la liste je suis le seul Français issu de l’immigration et en plus de l’immigration non-européenne. Je pense incarner cette France qui n’est pas de souche mais qui doit tant à ce pays. Pour reprendre la très belle confidence du général de Gaulle, toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. A travers mon parcours tant académique, professionnel que politique, j’ai toujours eu à cœur de rendre ne serait-ce qu’une partie de la dette morale que je dois à la France.

Par ailleurs, je suis titulaire d’un doctorat en sciences économiques avec une spécialité sur la macroéconomie des finances publiques européennes. J’ai une véritable expertise économique européenne acquise au cours de dix années d’enseignement et de recherche, expertise que je souhaite mettre au service de la campagne et au service de notre groupe quand nous serons élus au Parlement européen. J’ai également une solide expérience internationale et de travail dans des équipes plurinationales, ayant travaillé aux Nations-Unies dans les années 90 et représenté, au cours des années 2007 à 2012, la France dans les instances régionales du FMI et de la Banque mondiale quand j’étais conseiller financier pour le Proche-Orient (Direction Générale du Trésor).

Mon rôle dans cette campagne sera de mobiliser tous les déçus, les perclus, les perdus, les abattus, qui pensent que tout est foutu et qui veulent passer leur tour le 9 juin.

On dit aux Français depuis des décennies que la France n’existe pas, que l’identité nationale n’existe pas, que le peuple de souche n’existe pas. Je souhaite, par ma propre trajectoire d’assimilation, apporter un flagrant et retentissant démenti à ce mensonge d’Etat. Au cours de cette campagne je dirai aux Français un message simple : « La France existe, je l’ai rencontrée. » Et peut-être que cette belle histoire d’un enfant arrivé d’Égypte à l’âge de huit ans et devenu fervent défenseur de la France quelques décennies plus tard changera le cœur de pierre d’une majorité de Français pour leur pays en cœur de chair.

Mon rôle dans cette campagne sera de mobiliser tous les déçus, les perclus, les perdus, les abattus, qui pensent que tout est foutu et qui veulent passer leur tour le 9 juin. A tous les désespérés, les angoissés, les oubliés, je leur dis aujourd’hui avec gravité, solennité mais aussi enthousiasme : oui, il y a un espoir de reconquête de la France ! C’est avec votre bulletin de vote que vous allez la mener pour que vive la France ! C’est avec ce bulletin que vous allez donner plus de sens à votre propre vie. En d’autres époques, nos ancêtres ont pris les armes contre les ennemis de notre pays. Ils ont su braver le froid, la faim et la mitraille. Ils estimaient qu’aucun prix n’était assez cher à payer pour rester des êtres libres.

Nos ancêtres nous regardent, là-haut. Eux qui sont tombés à Crécy, qui ont chargé au pont d’Arcole, qui ont maintenu notre étendard au vent jusqu’au dernier homme au Chemin des Dames. Nos ancêtres nous regardent. Eux qui affrontèrent la soldatesque nazie pour expirer, en héros, dans les geôles de la Gestapo sans avoir parlé. Les Résistants de Nuit et Brouillard et de l’armée des ombres, qui furent animés par une seule et unique espérance et par une seule gloire : la gloire de ceux qui n’ont jamais cédé. Eux qui entrèrent à Paris par la Porte d’Orléans, juchés sur les chars de la 2ème Division Blindée du général Leclerc et des Français Libres. Libres, nous nous battons pour l’être et Français, nous nous battons parce que nous voulons le rester !

Votre décision est-elle motivée par la décision de l’Arcom, en janvier dernier, de décompter votre temps de parole ?
Je vais être très transparent. La décision de l’Arcom a été un coup de tonnerre dans ma vie. Il s’agit d’une décision politique par laquelle le système antinational et son mandataire, à savoir Emmanuel Macron, entendent me punir pour la cagnotte que j’ai lancée au mois de juin de l’année dernière en faveur de la famille du policier Florian. Cette initiative a fait rager le gouvernement et jusqu’au président de la République. Rendez-vous compte : juste après la mort de Nahel, Macron avait affirmé que le geste de policier était « inexcusable », endossant la toge magistrale et foulant aux pieds l’indépendance des pouvoirs chère à l’État de droit.

A peine trois jours plus tard, quand la cagnotte a dépassé le million d’euros, Emmanuel Macron s’est cru obligé de se précipiter dans un commissariat pour dire aux policiers qu’il les aimait… Plus généralement, cette cagnotte fut une nasse terrible pour un gouvernement aux abois. Sommés par les journalistes de la commenter, les ministres les plus importants du gouvernement jusqu’au premier étaient piégés : s’ils soutenaient la cagnotte, ils soutenaient leur ennemi juré, à savoir le camp national ; et s’ils ne la soutenaient pas, ils ne soutenaient ni les forces de l’ordre, ni les Français qui en ont fait un succès historique.

C’est pour cette cagnotte et uniquement pour elle que le système antinational a décidé de me priver d’antenne, comme en atteste de manière tout à fait claire la lettre que m’a adressée l’Arcom, où son président me reproche noir sur blanc « la cagnotte que vous avez lancée en faveur de la famille d’un policier ». Quand Éric Zemmour et Marion Maréchal m’ont proposé de les rejoindre pour cette élection capitale, je me suis dit que cela me donnait la possibilité de continuer mon combat pour la France et en adéquation avec mes idéaux.

Pourquoi restez-vous persuadé que l’avenir de la droite et de la France se trouve chez Reconquête et pas au RN ?
Ce qui m’intéresse ce n’est pas l’avenir de la droite mais l’avenir de la France. Je ne me définis d’ailleurs pas comme un homme de droite. J’ai de nombreuses convictions de droite mais je ne suis pas à proprement parlé un pur libéral. Je crois beaucoup au rôle de l’État mais un État bien géré et qui ne prétend pas intervenir dans tous les domaines, tout le temps et quoiqu’il en coûte.

Pour qui se demande si l’avenir de la France est au RN, j’ai une question à poser : qui peut aujourd’hui nous dire ce que pense véritablement le RN ? Quand j’ai rejoint le RN fin 2015, Marine le Pen était contre le mariage pour tous, et par extension, contre tout le « progressisme » sociétal comme la PMA pour toutes, la GPA… La présidente du RN d’alors était pour la sortie de l’énergie nucléaire et se disait être très inquiète du « grand remplacement ». Elle affirmait que l’islam n’était pas compatible avec la République. Elle affirmait en outre vouloir sortir de l’Union européenne et de la zone euro (Frexit), et sortir de la CEDH afin de reprendre le contrôle de notre politique migratoire.

Reconquête est le parti où je me reconnais le mieux et qui est resté constant, droit dans ses bottes, malgré les oukases et les fatwas du système à son encontre.

Près de dix années après, que reste-t-il de ces môles programmatiques ambitieux ? Rien d’autre qu’une volte-face à 180 degrés. Pour complaire au système antinational, le RN a jeté par-dessus bord tous les combats qui furent les siens pendant plus d’un demi-siècle : l’islam est désormais tellement compatible avec la République que Marine le Pen prend des selfies avec des femmes voilées (tout en prétendant vouloir interdire le voile dans l’espace public) ; elle tient le « grand remplacement » pour « une théorie complotiste d’extrême droite » et ne veut plus sortir ni de l’UE, ni de l’euro – ce qui est plutôt raisonnable – pas plus que de la CEDH qui pourtant établit de nombreux obstacles pour tout changement de politique migratoire. Elle a adoubé le mariage pour tous et ne se prononce pas sur la GPA (plusieurs de ses cadres ont même hurlé avec les loups contre Marion et son désormais célèbre « où est la maman ? »). A ce rythme quel sera le prochain renoncement du RN : dire que l’immigration est une chance pour la France ?

Au fond, ce que l’on a appelé la dédiabolisation du RN ou sa normalisation n’est autre que ce grand exercice d’élagage et d’effeuillage idéologique par lequel sont passés les deux grands courants qui ont gouverné la France ces 50 dernières années. La gauche et l’extrême gauche ont jeté par-dessus bord tout l’héritage des luttes sociales pour l’amélioration des conditions de vie du travailleur français. La droite dite de gouvernement a jeté par-dessus bord tout l’héritage de la lutte pour l’indépendance et l’identité de la France. On peut dire que le RN a entamé, dix à vingt ans après ses homologues de gauche et de droite, le même exercice de renoncement à son ADN historique de lutte contre le remplacement et l’islamisation.

Reconquête est le parti où je me reconnais le mieux et qui est resté constant, droit dans ses bottes, malgré les oukases et les fatwas du système à son encontre. Vous me disiez tout à l’heure que Reconquête n’est donné qu’entre 5,5 et 8%. Tout d’abord, sur les tous derniers sondages, on sent poindre une dynamique. Marion fait une excellente campagne et l’arrivée la semaine dernière de Sarah Knafo en 3ème position sur la liste, avec l’expertise et le panache qu’on lui connaît, ne peut qu’entretenir cette lancée.

Mais plus globalement, une minorité convaincue, authentique et combative aujourd’hui est toujours vouée à être majoritaire demain. Tous les grands mouvements qui ont façonné notre civilisation ont été lancés par une minorité. Les premiers chrétiens, les premiers compagnons de Jeanne d’arc, les premiers révolutionnaires, les premiers abolitionnistes de l’esclavage, les premiers syndicalistes ouvriers, les premiers dreyfusards, les premières suffragettes, les premiers compagnons du général de Gaulle, j’en passe et des meilleurs. Sans eux, que serions-nous ? Que leur exemple de courage et de ténacité nous inspire pour les combats qui sont les nôtres aujourd’hui !

Cela étant, je reste évidemment convaincu qu’il faudra en 2027 une alliance avec le RN et même LR. Quand j’ai fondé, fin 2020, le cercle de réflexion « Vivre Français », notre ambition était alors de créer ce que j’ai appelé le Rassemblement républicain pour la Reconquête. Cette ambition partait d’un triple constat. Rien ne sera possible sans l’électorat populaire du RN, l’expérience de gouvernement des membres de LR qui ont gardé la ligne gaulliste sera utile, mais rien ne changera sans la colonne vertébrale identitaire et économique théorisée par Eric Zemmour.

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