Visé par des dizaines d’accusations d’agressions sexuelles et de viols, le psychanalyste d’extrême-gauche Gérard Miller vivrait reclus dans son hôtel particulier parisien.

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Au bout de la cour intérieure d’un immeuble du boulevard Voltaire, dans le 11e arrondissement de Paris, s’élève un hôtel particulier aux briques rouges, style néo-Louis XIII. Les volets sont clos. Les rideaux des seules fenêtres visibles, tirés. C’est ici que le célèbre psychanalyste Gérard Miller semble vivre reclus. «C’est un domicile privé. Veuillez bien partir», ordonne, à l’autre bout de l’interphone, une voix masculine laconique.

Depuis l’ouverture par le parquet de Paris, le 23 février dernier, d’une enquête préliminaire pour des faits de viols et d’agressions sexuelles, le très médiatique ex-militant communiste et sympathisant LFI n’a plus donné signe de vie. Près de 67 jeunes femmes ont affirmé dans le magazine Elle avoir été la proie de Gérard Miller. Depuis, six femmes ont fait un signalement, et trois ont déposé plainte.

www.lefigaro.fr

 

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