Initiée le 27 février en réaction à des sanctions disciplinaires prises après le massacre du Hamas, une lettre ouverte signée par 500 universitaires suisses, dénonce les «attaques médiatiques et politiques contre les sciences sociales et humaines». Le rectorat de l'Université de Genève réagit.
L'Université de Berne et une image du massacre du Hamas du 7 octobre. montage: saïnath bovay.
Initiée le 27 février en réaction à des sanctions disciplinaires prises après le massacre du Hamas, une lettre ouverte signée par 500 universitaires suisses, dénonce les «attaques médiatiques et politiques contre les sciences sociales et humaines». Le rectorat de l'Université de Genève réagit.
En effet, le 1ᵉʳ février, l’Université de Berne annonçait la dissolution de l’Institut d’études du Proche-Orient et des sociétés musulmanes. Cette décision faisait suite à la publication en octobre, par un doyen de cet institut, de messages sur X saluant les attaques du Hamas. Le doyen en question avait été licencié avec effet immédiat. Une enquête interne avait été diligentée. Le rapport d’enquête estimait que la frontière entre le travail académique et le militantisme politique n’était pas établie.
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