Djihadiste passée par les rangs de l’Etat islamique, retournée en Syrie alors qu’elle se trouvait sous contrôle judiciaire en France en 2016, Sonia B. semblait avoir trouvé la voie de la déradicalisation et de la rédemption.
Condamnée en 2019 à 7 ans de prison ferme pour association de malfaiteur en relation avec une entreprise terroriste, la Ligérienne vivant désormais à Lyon sous haute surveillance et sous bracelet électronique a toutefois été interpellée ce lundi dans le quartier de la Guillotière.
Selon Tribune de Lyon, elle a invectivé des policiers qui procédaient à un contrôle, leur reprochant d’être des “assassins”, faisant allusion à la mort du jeune Nahel, avant de faire semblant de filmer les forces de l’ordre.
Cela ne faisait que trois mois qu’elle était sortie de prison pour suivre son programme de déradicalisation. Cette incartade pourrait coûter cher à la trentenaire, car une nouvelle condamnation signifierait un retour derrière les barreaux et un coup d’arrêt au travail fourni par les équipes gouvernementales pour l’aider à se réinsérer.
Extrait de: Source et auteur
Retour à la case prison pour ne plus en ressortir.
”Cela ne faisait que trois mois qu’elle était sortie de prison pour suivre son programme de déradicalisation”
Cela démontre :
– l’inefficacité du procédé de déradicalisation
– le manque de volonté du personnage
– que les juges ne savent pas compter (2019 + 7 ans =2026)
– que la remise en liberté pour ”bonne conduite” est une erreur
– que ces djihadistes qui ont choisi volontairement d’aller faire le coup de feu au Moyen-Orient, qu’ils y restent
– que les con-tribuables qui n’ont PAS été consultés pour leur retour en France paient pour leur insécurité !