Presse écrite, la débandade...
Les licenciements se suivent et se ressemblent dans le monde de la presse. Les uns après les autres, les titres annoncent qu’ils vont alléger les effectifs afin de rester compétitifs. A chaque fois, on parle de baisse des recettes publicitaires, de concurrence déloyale de la part des réseaux sociaux, de frais d’impression en hausse, toutes causes qui évitent de se poser la question du produit lui-même.
Car c’est bien connu, l’orientation gauchiste de la presse est la bonne, la seule qui mérite d’être proposée au lectorat. Il ne faudrait en aucun cas que les gueux puissent se demander si la submersion migratoire est une bonne chose, si l’Union européenne est réellement l’unique avenir pour la Suisse, si la criminalité étrangère constitue vraiment une richesse culturelle.
La fuite vers internet doit largement au fait qu’on lit toujours les mêmes rengaines, quel que soit le journal. Le gauchisme constitue un horizon limité pour les amis de la liberté de pensée qui cherchent à l’élargir. Mais il n'est pas question de laisser le lecteur choisir ce qu'il lui plaît de lire. On ne sera donc pas surpris si, dans un futur proche, quelque élu de gauche reviendra à Berne avec un projet de soutien public à la presse.
Yvan Perrin, 02.02.2024
La Pravda (vérité) est en marche !
Celui qui contestait ce qui était publier dans ce journal soviétique restait en prison ou était déporté au goulag …
On s’en approche dangereusement avec une RTSocialiste qui bat tous les records !!
Le niveau baisse et la tendance à gauche est bien marqué !
La démission de M. Marchand est une aubaine pour redresser la barre. On exige de l’information, PAS de la propagande gôchiste !