Les images sont atroces. Des centaines de familles en deuil. D’autres vivant dans l’angoisse quotidienne du sort réservé à leurs proches pris en otage par les Arabes de Gaza. Un choc mondial. Le début d’une guerre qui pourrait s’étendre à l’ensemble de la planète…

Le réalisateur Pierre Rehov se propose de retracer le pogrom du 7 octobre dans un contexte d’expansion de l’Islam et d’un renouveau de l’antisémitisme dans le monde occidental sans précédent depuis la Shoah.

Il a besoin d’un coup de main. Etez-vous prêts à participer à la production ? https://www.indiegogo.com/projects/madhbaha-pogrom#/

Après des mois de préparation et d’entraînement le Hamas et d’autres organisations terroristes palestiniennes, accompagnés d’un nombre indéfini de civils de tous âges, y compris d’adolescents, ont perpétré en Israël un massacre entrainant la mort de 1200 innocents, des centaines de blessés, et ont pris 240 personnes de toutes nationalités, majoritairement des civils, en otage.

Ce pogrom n’est pas sans rappeler les pires moments de l’histoire juive, y compris la Shoah, dont il s’est inspiré.

Jusqu’au 7 octobre, les terroristes arabes avaient laissé croire qu’ils prenaient la voie d’une forme d’apaisement destiné à améliorer la vie des habitants de Gaza. Leur plan comportait une phase de violence accrue en Judée-Samarie, qui leur a permis de détourner l’attention du gouvernement israélien.

Financée en partie par l’Iran, cette « opération » devait se dérouler le premier jour de Pessah, la Pâques juive, mais le gouvernement iranien espérait recevoir quelques six milliards de dollars de l’administration Biden, en échange de 5 Américains retenus en otage. Ils ont donc demandé à leurs protégés de repousser la date du massacre.

Dans le même temps, des cellules dormantes un peu partout dans les pays occidentaux, recevaient le matériel – drapeau, pancartes, mots d’ordres – destiné à accompagner des manifestations à grande échelle en faveur du « peuple palestinien ».

Tout était prêt. Le pogrom pouvait avoir lieu.

Les terroristes étaient pour beaucoup drogués au Captagon, une amphétamine produite en Syrie et au Liban. Tous avaient un mot d’ordre : violer, torturer, exterminer et kidnapper le plus grand nombre possible de personnes.

Tout près de Gaza se déroulait une rave party sur le thème de « la paix au Proche Orient ».

Des centaines de terroristes, surpris de découvrir quelques deux mille jeunes en train de danser à l’aube, s’en sont donné à cœur joie. Pendant plusieurs heures, ils ont mitraillé, poignardé, violé, torturé, faisant 360 victimes, sans compter les blessés et les kidnappés.

Dans le même temps, près de 2000 Arabes ont pris d’assaut par surprise les bases militaires frontalières et envahi les kibboutz pour s’y livrer à un carnage qui dépasse l’entendement.

Des femmes de tous âges, y compris des septuagénaires, ont été violées avant d’être assassinées, souvent brulées vives. Des familles entières ont été massacrées. Des bébés ont été décapités. D’autres brulés vifs. Une femme enceinte a été éventrée, son bébé extrait de son corps et poignardé devant elle avant qu’elle ne soit également assassinée. Un travailleur thaï a été décapité à coups de binette. Des enfants ont eu les mains et les pieds tranchés. D’autres ont été attachés entre eux et également brûlés vifs. La liste des abominations commises ce jour-là est quasiment illimitée et dépasse en horreur le pire scénario de film gore…

Mais le lendemain, plutôt que manifester leur outrage et leur condamnation de ces crimes contre l’humanité, des centaines de milliers de personnes défilaient à travers la planète aux cris de « libérez la Palestine de la rivière jusqu’à la mer ». Autrement dit, éradiquez Israël, exterminez les Juifs.

Un appel au génocide.

Les Arabes coupables de ces atrocités en étaient tellement fiers qu’ils se sont filmés, ont envoyé les images à leurs proches ou les ont postées sur les réseaux sociaux.

Malgré ces évidences disponibles pour tous, une campagne négationniste s’est alors mise en place, similaire à celles qui, pendant des années, ont voulu faire croire que la Shoah était une manipulation des Juifs. Le Juif toujours coupable, même lorsqu’il est victime. Israël aurait tout inventé pour pouvoir s’emparer de Gaza et commettre un génocide sur le « peuple palestinien »

A la fin de la seconde guerre mondiale, lors d’une visite d’un camp d’extermination, le Général Eisenhower a été tellement effaré par le spectacle atroce des abominations nazies, qu’il a ordonné à ses troupes de tout filmer et photographier car, dit-il : « Un jour des gens malintentionnés affirmeront que rien de tout cela n’est arrivé »

Le nazisme, comme le négationnisme, ont désormais le visage de l’islamisme terroriste et de l’extrême gauche complice. Il faut le dire, le répéter et s’assurer que la propagande arabo-musulmane ne réduise pas les crimes contre l’humanité du Hamas à un simple fait divers, justifié par « l’occupation israélienne ».

Le pogrom du 7 octobre a déjà fait l’objet de quelques documentaires courts ou long retraçant partiellement son déroulement.

Mais il manque à ce jour un film exposant la tragédie dans toute son horreur, et dans le contexte d’une volonté renouvelée d’exterminer les Juifs et de conquête du monde libre, par les islamistes.

C’est le thème de « Madhbaha » (Massacre en arabe) le documentaire que Pierre Rehov prépare.

Pour cela, il a besoin de votre aide.

1 dollar, 1000 dollars ou du buzz. Peu importe la manière dont vous comptez participer à la production de ce film, mais sans votre aide il ne pourra pas voir le jour.

https://www.indiegogo.com/projects/madhbaha-pogrom#/