Ndlr. Où est donc le racisme anti-Blancs, phénomène politique actuel majeur et meurtrier? Le “système” suisse produirait du “racisme inconscient, structurel, institutionnel, systémique” ! N’est-ce pas l’antiracisme unilatéral et obsessionnel de la CFR qui devient un wokisme inconscient aux effets publics pervers redoutables? Retour au Réel ardemment souhaité.
Oui, nous sommes “racistes”, parce que le “racisme” est un humanisme. Fini l’universalisme, cette idéologie inconsciente de la signification de l’expression uni versus (tourné vers chacun…); ce qui ne veut pas dire que tout-un-chacun aurait “primo genitu” et sans autre effort à quelque “univers” et universel que ce soit. “Tu te lèveras tôt, Tu mettras ton capot…” (Félix Leclerc)
Fini avec telle idéologie, l’Âge des lumières… à qui, à ceux qui n’auraient su inventer quelque chandelle trempée dans de l’huile ou du suif !… le colonialisme inverti, la colonisation de meilleure conscience aux oripeaux arc-en-ciel de la globalisation. En termes machiavéliens, nous ne réparons point le monde, mais nous en conquérons les parties qui nous apparaissent valables comme profitables. Ceci : la Grande Arène du monde après son Grand Théâtre (d’après Pedro Calderón de la Barca). Ce n’est point que nous le voulions… c’est ce que nous constatons. Grand Dieu si, au sein de cette Arène, nous conservions et promouvions une éthique vertueuse et point dévalorisante, adressée à tout un chacun, sans double modèle de vérité ni de morale. (Ce qui pour le moins exige que nous reconnaissions nos différences… (anthropologiques en matières d’aspirations collectives ou communautaires, et de stratégies évolutionnaires) et d’éventuels différends transitoires ou permanents. Si, en termes de vérité et d’éthique, nous rencontrions d’indéniables compétences en compétition (car nous n’allons point perdre le moindre temps qui nous est dévolu, en tant qu’individus, à décider du sort ultimes d’indécidables valeurs), il nous faut alors cultiver le sens de la distanciation; autrement dit, la politesse qui, pour tout un chacun, personnellement comme politiquement, trouve intérêt à être fort armée, le cas échéant.
Quant à “de ces” comités communautaires ou “universels” qui se repaissent de combattre des réalités factuelles comme immémoriales, lesquelles crèvent les yeux de tout un chacun, par des propos abscons ayant force de loi, parce que… Qu’on leur coupe les vivres ! et que leurs experts ex rationis, aillent cultiver les champs, afin d’en crever, têtes bien faites, bien mieux que bien pleines (d’après Michel de Montaigne) comme on dit que de buveurs immodérés… les voilà «pleins» !