Après le brouillard bruxellois, le Printemps des Peuples
L’ambiance est lourde au sein des rédactions. Dimanche dernier, en Argentine, le candidat antisystème Javier Milei a brillamment remporté les élections nationales. Il promet de tourner le dos à la politique clientéliste pratiquée par la gauche afin de s’assurer les bonnes grâces des électeurs dépendant de l’Etat. Bien évidemment, le résultat n’a pas été du goût de nos journalistes qui fustigent par avance la politique qui sera menée par le nouveau gouvernement. Il est vrai qu’avec une inflation annuelle de 143%, les Argentins avaient vraiment de quoi être fiers de leurs précédentes autorités.
Voilà maintenant que les Pays-Bas déroulent le tapis rouge à Geert Wilders, souverainiste et islamophobe comme le décrit Le Temps. Comprenez qu’il n’est pas acquis à 100% à la politique menée par Ursula von der Leyen et sa clique, pas plus qu’à l’enrichissement culturel dont souhaitent nous faire bénéficier les islamistes. En résumé, un type en ordre. L’homme vient de doubler la députation de son parti à 37 sièges tandis que la gauche réunie autour de l’ancien vice-président de la Commission européenne Frans Timmermanns n’en obtient que 25. Panique à Bruxelles, Geert Wilders se propose d’organiser un référendum sur la question de savoir si la Hollande doit demeurer membre de l’Union européenne.
C’est vrai que les dirigistes bruxellois ont du souci à se faire. C’est l’un des leurs, un commissaire européen, qui vient de prendre une baffe. L’Europe n’attire plus guère qu’un quart de l’électorat au pays des tulipes, ça fait peu. Tout cela est de bon augure en vue des élections européennes du printemps prochain. Nul doute que nous assisterons à une version revisitée du Printemps des Peuples.
Comme en 1848 lorsque les aspirations nationales ont bouleversé le paysage européen, le scrutin couronnera les formations politiques patriotes, celles qui pensent à leurs populations en priorité et non celles qui ne jurent que par les petits fours qu’on déguste entre soi dans le confort de la capitale belge.
Ndlr. C'était autrefois : Wilders devant les tribunaux pour racisme, islamophobie, etc.
@jean-claude : ça fait bien longtemps que la Suisse n’accompagne pas les familles, pas de politique nataliste, elle préfère l’immigration. On voit bien le m….dier que ça devient.
Et cela fait déjà 20 ans que Wilders avait sonné l’alarme. Pour la Suisse, il en faudra encore beaucoup plus avec les nuls de notre CF.
Si ce qu’Yvan se confirme, ce sera une victoire pour l’Europe… pas celle de Bruxelles, mais celle des peuples d’Europe.
que pensent nos gauchistes de tous bords. a force de mépriser son peuple, de donner raison aux islamistes de tous bords, sans respecter la demande de son propre peuple, vous venez d’ouvrir la porte des gens de droite de plus en plus nombreux. le sois disant mal, ne vient que de la gauche. a bon entendeur…….
On devrait avoir les mêmes résultats d’ elections que les Pays Bas, puisque on a les mêmes problèmes qu’ aux Pays Bas, dû à l’ immigration de masse. Bizarrement non. Pour être au Conseil Federal, il faut être anti Suisse, anti Chretien, anti social et anti famille . La Hongrie semble bien plus democratique que la Suisse
Le retour de balancier, trop c’est trop, en France la macronie s’enfonce dans le n’importe quoi en triturant les lois, les informations, en créant des barrières juridiques anti-démocratiques afin de se protéger contre la justice qui va s’abattre sur eux concernant leur attitude pendant la Covid. Non mes petits cocos, plus vous retarderez l’échéance plus le peuple frustré sera cruel à votre endroit ; ce ne sera que justice.: « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple le plus sacré et le plus indispensable des devoirs » Robespierre.