On sait depuis longtemps que l’Occident décadent se complaît dans une déchéance absolue, où les dégénérés et les tarés en tous genres s’acharnent à détruire nos sociétés démocratiques « avancées ». C’est « no limit » dans la sacralisation du vice.

Dans ce monde pervers dirigé le plus souvent par les plus dépravés, des cerveaux à la pointe de l’innovation malfaisante n’ont rien trouvé de mieux que d’initier nos enfants au sexe dès l’âge de six ans. Au diable l’amour et le romantisme qui faisaient rêver naguère nos ados, quand la nature éveillait leurs premiers désirs. Tout cela n’est que foutaises d’une autre époque.

Là, on est dans le hard, dans le sexe bestial, dans le porno, sans tabou, sans garde-fou, sans barrière. Les ados rêvaient naguère de couvrir de baisers leur dulcinée, mais aujourd’hui on leur apprend dès le primaire à la faire jouir. Voilà les valeurs occidentales que nous voulons imposer au monde. L’épanouissement individuel, c’est terminé. Place au sexe pour tous et tout de suite.

Au diable l’innocence des enfants et leurs jeux sans malice. Il faut les initier au vice au plus tôt. Pas question d’attendre la puberté et les premières questions des jeunes sur la sexualité. On anticipe de plusieurs années, sans le moindre respect de la lente évolution psychique de l’enfant, brutalement jeté dans le monde pervers des adultes.

Et la circulaire de l’Éducation nationale de 2001, qui prévoit  trois séances annuelles d’éducation sexuelle depuis le cours préparatoire jusqu’à la terminale, est tellement floue que les dérives vont bon train. Autrement dit, le lavage de cerveau commence dès 6 ans !

On n’est plus dans l’éducation soft, mais parfois dans la propagation d’une idéologie LGBT qui déstabilise les plus jeunes. On a vu des adultes hommes et femmes se dénuder entièrement devant une classe d’écoliers. Jules Ferry doit se retourner dans sa tombe.

Sous couvert de cours d’éducation à la pudeur, mais aussi pour combattre l’inceste, éviter les grossesses précoces et promouvoir l’égalité homme/femme, on leur parle en fait de clitoris, de fellation, de vagin, de masturbation, d’éjaculation, de sodomie et j’en passe. À 15 ans, je veux bien, mais entre 6 et 10 ans, c’est une autre affaire. Car on n’effleure pas le sujet, on l’approfondit.

Comment une fille peut provoquer une érection chez un garçon, qu’en est-il de l’orgasme féminin ?

Dans les guides et les sites internet de l’Éducation nationale, on peut trouver un Kamasoutra avec des personnages enfantins !

Et toute cette orgie de sexe pour enfants en bas âge et sans aucun contrôle émane de l’OMS !

Nos jeunes arrivent au bac à moitié illettrés, nuls en maths et en histoire, mais ils savent tout sur les pratiques sexuelles contre-nature et sur la recherche du seul plaisir.

L’amour qui fait soulever des montagnes, la complicité et la tendresse, le rêve et le romantisme, ne sont que les vestiges d’un monde ancien, un monde de vieux cons frustrés, paralysés par des tabous et une morale ridicules, véritables freins au véritable plaisir débridé.

Mais le problème est que bon nombre d’enfants sont peu réceptifs à ce genre d’éducation précoce, à l’heure où les jeux innocents sont encore leur quotidien. Ils en ressortent perturbés, voire traumatisés. On a vu des gamins se trouver mal en cours.

Quant aux parents, ils sont le plus souvent ignorants de ce qui se passe, de ce qui se dit, leurs enfants n’osant pas leur en parler et préférant garder leur malaise intérieur au fond d’eux-mêmes.

Un sondage montre que 68 % des parents n’acceptent pas qu’on impose à des enfants de 6 ans une éducation sexuelle qui les dépasse et les perturbe.

Mais dans nos démocraties perverties, où la famille naturelle est jugée ringarde, où le droit à l’enfant pour les homosexuels prime sur le droit de l’enfant d’avoir un père et une mère, que pèse la santé psychologique d’un jeune écolier ? Rien. Seul compte le plaisir sans barrière des adultes.

Heureux Russes qui ont interdit ces dérives malsaines dans leurs écoles et protègent la cellule familiale traditionnelle. Car notre monde occidental de dégénérés roule vers l’abîme.

Ce n’est pas la guerre atomique qui détruira le monde occidental, c’est cette déchéance morale, dont il est si fier. À part enseigner le porno aux plus jeunes et le wokisme aux élèves plus âgés, à quoi sert l’Éducation nationale ?

Notre système éducatif, l’un des meilleurs au monde il y a trente ans, est devenu une usine à cancres, incapables de percevoir les défis de demain et encore moins de les relever.

(source JDD)

Jacques Guillemain

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