Une nouvelle cause nationale ? En France, une fenêtre d’espoir vient de s’entrouvrir. Les patriotes ne sont plus des pestiférés. Eric Zemmour et des députés RN ont été chaleureusement accueillis au Trocadéro, lundi 9 octobre, partageant accolades, poignées de mains, selfies et apartés chaleureux.
Le CRIF et l’UEJF organisateurs de la manif auraient-ils enfin compris que nous ne sommes pas leurs ennemis ? Et qu’il n’est pas obligatoire d’être d’accord sur tous les sujets, et d’être Juif, pour combattre l’insoutenable barbarie des nazislamistes.
Les réseaux islamistes ont déjà actionné leurs cinquièmes colonnes en Occident
Pourquoi s’en priver puisque les démocraties, stupides et vérolées, leur accordent tous les droits de bons citoyens, et plus encore les subventionnent copieusement comme en France. Sauf quand, pour assurer le service minimum, le Darmanain de jardin, s’en prend au petit Poutou accusé d’apologie du terrorisme… Mais se garde bien de demander la levée d’immunité parlementaire des traîtres de LFI. C’était pourtant facile de faire tomber Mathilde dans le panneau.
On relève le silence assourdissant de la plupart des « people » ces millionnaires de gauche engraissés dans les médias, le cinéma subventionné et la chansonnette. D’habitude si prompts à s’enflammer pour des causes troubles, comme l’amour des délinquants clandestins, ils n’ont exprimé aucune horreur face à des massacres racistes d’une barbarie inouïe, et se sont gardés de la moindre compassion pour les victimes.
Mais il n’y a pas que la France à être pourrie de l’intérieur. À New York, Londres ou Duissbourg en Allemagne, des racailles pro-palestiniens ont sauvagement attaqué des manifestations pacifiques de soutien à Israël.
À Sydney en Australie, où l’organisation terroriste des frères musulmans a pignon sur rue, ils ont défilé sous l’œil impavide des flics avec des pancartes invitant à finir le travail de Hitler. Par peur des représailles (on en est là !) les autorités ont laissé faire. Alors qu’elles s’étaient montrées intransigeantes contre les manifestants antivax.
Une alliance internationale est indispensable pour combattre partout la barbarie islamique
L’Inde, la Chine, la Russie, le Myanmar, le Sri Lanka, la Thaïlande, partagent déjà leurs informations sur les mahométans les plus virulents. Traqués comme des bêtes nuisibles et abattus, peu importe l’endroit où ils sévissent avec leurs bandes de tueurs.
Aucun pardon n’est possible. Des criminels qui ciblent des civils désarmés, éventrent les femmes, émasculent les hommes, égorgent les bébés, n’ont droit à aucune pitié. À aucun procès. Ils ne peuvent se prévaloir des droits humains. Car ils se sont mis eux mêmes en dehors de l’humanité. Comme les nazis d’antan, ces criminels doivent être éradiqués.
C’est un travail pour l’armée, et tout particulièrement les forces spéciales. Ça tombe bien, les nôtres sont au chômage en ce moment depuis qu’on nous a foutus dehors d’Afrique. La France pourrait donc participer au nettoyage.
Quant aux comparses des assassins, déguisés en humanistes, un vrai président et un vrai gouvernement pourraient faire voter en accéléré un texte inspiré du Patriot Act (renforcé tant qu’à faire). À titre préventif. Avant les massacres prévisibles. Pour ne pas être pris au dépourvu comme les Israéliens… Mais que le juridisme ne nous étouffe pas ! Il y a encore dans nos « services» des adeptes de la méthode Pasqua. Détection. Discrétion. Destruction.
Les Amerloques ont parfois de bonnes idées. Leur Patriot Act permet, entre autres mesures de protection de la société, la détention sans inculpation, ni limite de durée, et l’expulsion discrétionnaire des étrangers soupçonnés de terrorisme sans qu’ils puissent de prévaloir d’un droit à un procès équitable, ni attaquer l’État pour détention arbitraire.
Une des mesures les plus intéressantes est une sorte de CDD pour les hauts magistrats en période de crise. Un procureur fédéral ou un président de Cour est habilité pour 120 jours, renouvelables. Mais si jamais il se montre trop complaisant envers les islamo-terroristes, « Votre Honneur » n’a plus qu’à se chercher une autre job.
Le Patriot Act autorise surtout le profilage des certaines communautés, ou du moins de leurs personnalités les plus remuantes, avec le droit d’avoir accès à tous les documents les concernant et de les suivre à la trace. Physique et électronique. Des fâcheux couinent que ce profilage viserait surtout des personnes d’origine musulmane. Et après ? S’ils n’ont rien à se reprocher, ils ne risquent rien. Et si d’aucuns se sentent vexés, personne ne les a obligés à venir. Personne non plus ne les empêche de repartir dans leur pays où ils seront sûrement mieux traités.
Enfin, des « belles âmes » ont critiqué le fait que ces mesures intrusives puissent s’appliquer aussi à des citoyens US. Mais lorsque des traîtres fricotent avec les terroristes, il est normal de les priver de leurs droits constitutionnels. Et de les condamner à 500 ans de prison, avec possibilité de libération à mi-peine s’ils se tiennent peinards.
Des échanges de renseignements oui, et plus si affinités
L’impérialisme Yankee n’est certes pas ma tasse de thé, mais il convient de rappeler que leurs agences CIA et NSA ont parfois eu le bon goût de prévenir les Européens des mauvais coups préparés par les islamistes. Et parfois même d’envoyer des « touristes » qui, se trouvant par hasard au bon endroit au bon moment, neutralisaient les agresseurs.
La phase suivante, déjà ponctuellement amorcée en Asie, serait de décider des opérations simultanées pour éradiquer dans plusieurs pays en même temps, des métastases du cancer islamique. La France, si elle se réveille, pourrait reprendre ses actions coordonnées comme avant avec Israël. Et avec tout autre pays qui souhaite réduire la menace.
Des ententes interétatiques devraient être possibles puisque la barbarie des mahométans a été presque unanimement condamnée par les pays civilisés. Sans ambiguïté du côté occidental, chinois ou russe… On notera au passage la mesquinerie du petit clown mendigot de Kiev qui, faisant feu de tout bois, accusait Poutine d’être de mèche avec le Hamas.
Ailleurs, en Afrique, en Asie, en Amérique latine, après quelques hésitations diplomatiques, on a pris ses distances avec les égorgeurs sociopathes après que des images horribles des suppliciés, femmes, enfants et nourrissons aient été diffusées.
Le Hamas ne pouvait plus compter parmi ses amis fidèles, en plus des tarés de l’extrême gauche française, que l’Iran des ayatollahs sanglants et le Venezuela de l’imposteur Maduro qui ressemble physiquement de plus en plus à Sadamucène et à qui on souhaite la même fin.
Plus de cadeaux aux faux amis !
On ne peut plus fermer les yeux sur le silence hypocrite de pays d’allure pacifique comme le Qatar qui n’affiche pas l’allégresse bruyante des foules mahométanes déchaînées, mais continue à financer les terroristes et à leur livrer des armes, par solidarité religieuse.
Mais peut-on fustiger ce double jeu quand l’Eurocrature déclare «suspendre son aide au Hamas » (aveu qu’ils finançaient bien une organisation terroriste !) mais va continuer à fournir de l’aide dite humanitaire aux Palestiniens. Dont nul n’ignore qu’ils sont sous la coupe du Hamas qui assure la répartition, en se réservant la part du lion.
Partout dans le monde, leurs méthodes d’infiltration et d’accaparement par l’intimidation et la corruption, la menace et la violence, sont identiques. Ce n’est pas étonnant. Puisqu’ils utilisent tous le même mode d’emploi dicté, il y a quatorze siècles par un chamelier illettré. Et appliqué depuis, à la lettre, comme si le monde s’était brusquement figé.
La première des ripostes est de dénoncer, sans hésitation, tous les mensonges qu’ils utilisent pour nous culpabiliser, depuis les Croisades jusqu’à la décolonisation. Et parmi ceux-ci, l’imposture Gazaouie.
Les Gazaouis sont des victimes des Arabes, pas des Israéliens
Les professionnels de la compassion médiatique orientée se lamentent sur le sort de ces 2,3 millions de personnes « assiégées ». Mais pas un merdia pour rappeler qu’ils n’étaient que quelques milliers en 1948 après la défaite des armées arabes.
Des mahométans, fuyant les zones de combat, se sont réfugiés dans cette enclave alors sous souveraineté égyptienne. Après les armistices bancals et les fausses paix, lorsqu’ils ont voulu rentrer chez eux, leurs frères en religion, Jordaniens et Syriens, s’y sont opposés. Créant délibérément un chancre purulent sur le flanc d’Israël, qui ne pouvait qu’enfler démesurément grâce à la fécondité de leurs femmes.
En 1950, l’Égypte a refusé de les naturaliser et de leur donner accès à son territoire. Et, par la suite, toutes les tentatives des organisations internationales pour permettre à ces exilés de retrouver leurs terres, ont été refusées par les États arabes. Malgré les sommes faramineuses qu’on leur proposait. C’était bien vu. Le chancre devenait chaque jour un peu plus, un nid grouillant de terroristes haineux. Convaincus qu’ils ne devaient leur sort peu enviable qu’aux Israéliens.
À tous ces bons apôtres qui pleurnichent sur le sort des Gazaouis, posez la question : Quels États Arabes, dont ceux gorgés de pétrodollars, seraient prêts à accueillir chez eux leurs « frères » damnés de la terre ?
Christian Navis
Extrait de: Source et auteur
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