Ci-dessous nous résumons les débilités qu'aligne la candidate des Jeunes Vert·e·x·s Giulia Tognola. Giulia Tognola représente bien toute sa génération fanatisée, chauffée par les manipulateurs néomarxistes, endoctrinée par la religion climatiste. Et cette génération a également grandi avec la culture des réseaux sociaux, où pour exister, il faut savoir capter l'attention coûte que coûte, et la politique est un moyen formidable pour obtenir une large audience. Toute une génération est arrivée dans la vie politique de cette façon, a eu accès au pouvoir sans aucune expérience de vie, sans avoir apporté quoi que ce soit d'utile, de constructif à la société. Et la majorité de ces jeunes pousses vont vers les partis de gauche, vers des emplois étatiques, car l'utopie se marie mal avec la réalité, qu'on ne peut apprendre à connaître qu'en se confrontant à la vie, sans dépendre des parents ou de l'argent des contribuables.
Toute une génération d'universitaires arrive actuellement dans la vie adulte avec la tête pleine d'idées pour réformer notre société, puis la planète, jusqu'à changer le climat terrestre. Ces mêmes se ruent également sur la déconstruction des genres, de la famille, réécrivent notre histoire selon une grille marxiste, sont adeptes de l'immigration de masse, exigent toujours plus d’argent des contribuables pour le financement de leurs lubies, tout en croyant détenir les solutions à tous les problèmes.
Avec un toupet monumental, assorti de charme juvénile, la jeune candidate des "Vert·e·x·s" participe au "Grand débat électoral de la RTS", en ne maîtrisant aucun sujet, et naturellement, totalement inconsciente des enjeux réels.
Bien entendu, tous les jeunes qui font de la politique ne sont pas comme Giulia Tognola, mais la plupart des jeunes Vertes lui ressemblent, hélas.
Nous devons nous faire une raison: nous allons désormais devoir composer avec cette jeunesse manipulée, endoctrinée, qui arrive sur la scène publique tout droit tombée du nid douillet de l'alma mater, trop souvent des facultés de Sciences sociales, et qui décrochent une carrière de fonctionnaire, la voie la plus directe et la plus confortable pour mieux nuire à notre pays à long terme.
Le peuple suisse doit barrer le chemin à ces fléaux le 22 octobre!
Voici à l'œuvre une des candidats invités au Grand débat sur la migration: Giulia Tognola, Jeunes Vert.e.x.s de Fribourg, membre du Conseil général de la ville de Fribourg, étudiante UNIL:
Dans sa première intervention, Giulia Tognola réagissait aux propos de la candidate UDC:
Emmylou Ziehli-Maillard (EZM), UDC: Nous proposons que les demandes d'asile soient traitées dans un pays proche de l'origine des demandeurs d'asile, comme dans le modèle danois.
EZM pose les faits sur la table, ce qui est quasi inexistant chez les autres participants durant le débat:
EZM: Nous venons de passer à 9 millions d'habitants, alors qu'en 2014, on nous avait certifié que nous n'allions pas atteindre ce chiffre avant 2060. Nous avons donc 37 ans d'avance sur les prévisions. Il faut donc reprendre le contrôle de notre immigration. Nos routes, nos infrastructures sont engorgées...
A cause de l'immigration démesurée, la Suisse a atteint les 9 millions d'habitants 37 ans avant les prévisions officielles. Il faut reprendre en main l'immigration avant qu'il ne soit trop tard.
Qui veut mettre un terme à l'immigration démesurée vote UDC ! https://t.co/bk472qD2p7
— UDC Suisse (@UDCch) September 22, 2023
Esther Coquoz, RTS, à Giulia Tognola: Traiter dans un pays sûr les demandes d'asile, comme le fait le Danemark?
Giulia Tognola: Non, vraiment! Pas du tout! (tout en minaudant) Ça viole les Conventions de Genève! On a un devoir d'accueillir ces personnes en Suisse. Le Danemark a été énormément critiqué! Après traitement du dossier, on sait que ces gens sont renvoyés dans leur pays. Socialement, légalement et écologiquement (SIC), les renvoyer c'est une absurdité! C'est tout à fait scandaleux!
Sujet: la Suisse doit-elle accueillir plus de migrants, par solidarité dans le contexte de Lampedusa, alors que la barre des 9 millions vient d'être franchie?
La barre des 9 millions franchie ne fait pas fait peur à cette candidate des Vert-e-x-s,
Giulia Tognola: Il n'y aurait pas assez de terres agricoles? Elle affirme qu'il n'existe pas de telle limite, car une étude (sic) genevoise ou neuchâteloise (sic!) a démontré (re-sic) qu'on peut augmenter même jusqu'à 16 millions d'habitants, si nos infrastructures suivent.
#ForumRTS débat électoral spécial immigration "On ne leur permet pas aux sans papiers en Suisse de travailler, de se former, de s'intégrer... Et on dit qu'on manque de main d'oeuvre non qualifiée? Régularisez-les, c'est une partie de la solution!" Giulia Tognola @LesVertsSuisses pic.twitter.com/RLfT0QYGrr
— Forum (@Forum_RTS) September 21, 2023
Giulia Tognola: Tout ce discours d'immigration choisie me scandalise. On veut choisir qui vient en Suisse, alors qu'il y a de nombreuses personnes qui vivent dans l'irrégularité, qui ont de très mauvaises conditions de vie en Suisse. On dit qu'il y a énormément de personnes qui travaillent au noir, il faut alors régulariser ces gens, c'est une partie de la solution.
Sujet: Donner à chaque étranger le droit de vote et d'éligibilité
Esther Coquoz à Giulia Tognola (40:15): Est-ce que la naturalisation, ça ne se mérite pas, finalement? Sinon, quel autre privilège de devenir suisse, si on n'a pas besoin d'être naturalisé pour voter?
Julia Tognola: Je pense qu'aujourd'hui, la plupart des étrangers et étrangères doivent payer des impôts en Suisse: ça nous arrange bien. Par contre, participer à la vie citoyenne, ça non! Une des revendications des Jeunes Verts et Jeunes Vertes, c'est l'éligibilité aux niveaux communal, cantonal et fédéral pour les personnes étrangers et étrangères. Parce que ces personnes-là participent à notre système. Donc, on les intègre dans notre système.
Esther Coquoz: Est ce que notre système politique complexe ne demande pas le temps de la naturalisation et de se plonger dedans pour le comprendre?
Julia Tognola: Non, car on voit que dans la jeunesse suisse, très peu de jeunes votent. La Confédération doit faire un effort pour vulgariser la politique. Personnellement, ma famille m'a offert un environnement qui m'a permis d'être ici aujourd'hui, mais tout le monde doit avoir les mêmes chances pour pouvoir participer politiquement.
Sujet: Pénurie de main-d’œuvre et immigration
Giulia Tognola: Avec un sans-papiers, un débouté, comment la personne s'intègre, puisqu'on lui permet pas de travailler, on lui permet pas de se former, et du coup, on lui permet pas d'apprendre la langue. Et pourtant cette personne a vraiment envie d'être Suisse et Suissesse. La personne est arrivée en Suisse, et a vu des choses horribles, et pour vous, cette personne ne mérite pas d'être ici?
(Durant tout le débat, les propos de GT sont en plus accompagnés d'un comportement puéril, séducteur, de gesticulations, avec des bagues à tous les doigts, ses ongles et son esprit sont bleus, ses réactions théâtrales sont relayées par les caméras de la RTS. Elle conforte les auditeurs comme nous dans l'idée que oui, il faut être mentalement dérangé pour voter pour ces Vert-e-x-s.)
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Voici le genre de propos que nous aurions voulu entendre durant le grand débat de la RTS sur la migration:
Les clercs veulent organiser la grande transhumance.
Si on les écoute, l'Afrique (1,4 milliard d'habitants) va se déverser dans l'Europe impuissante : cela en sera fini de nos vieilles nations !
Depuis des décennies, des familles se succèdent pour protéger cette terre, ce… pic.twitter.com/uAYY9KHzyW— Philippe de Villiers (@PhdeVilliers) September 22, 2023
Avant d'accoster en Europe, les migrants jettent a la mer leur ancien Smartphone.
Baskets derniers cris et nouvel iPhone les attendent à l'arrivée pic.twitter.com/jcMMg9B6XJ— Réalité Actuelle (@ReaActuelle) September 22, 2023
Parfaitement d’accord 🙏🏻 https://t.co/grIc7HQfKu
— Jacques_Londres 👣 (@KerouacReal) September 24, 2023
They’re not immigrants. They’re invaders.
And the people in charge who allow this are not leaders. They’re traitors. pic.twitter.com/zuNJl7Fw3c
— End Wokeness (@EndWokeness) September 27, 2023
Résumé, commentaires: Thierry Jadiss
Quel pourcentage de migrants participent à notre économie ?
Quel pourcentage ressortent à l’aide sociale?
Entre le système d’asile dévoyé, les admissions provisoires qui deviennent définitives et les permis humanitaires les migrants savent trop bien que l’immense majorité d’entre eux resteront dans notre pays.
Effectivement attendons patiemment le 22 octobre les résultats des élections.
Après que certaines personnes ”bien intentionnées” se sont collées les mains sur nos routes ou d’autres qui ont tenté en vain de détruire des œuvres d’art unique, le temps de la réflexion est arrivé et le matériel de votation vient de me parvenir !
Si certains partis politiques passeront à la trappe le 22 octobre, il ne faudra pas s’étonner !!
Personnes étrangers et étrangères…
Ça veut être élu et ça parle même pas le français correctement.