Des fonctionnaires polonais auraient vendu des centaines de milliers de visas à des migrants

Ursula von der Leyen est furieuse, même si l’on ne comprend pas bien pourquoi, puisque c'est elle qui soutient l'immigration et que c'est elle qui a conclu par texto un accord, disons, "intéressant" pour l'achat de vaccins contre le Covid. Aujourd'hui, c'est elle qui a demandé une enquête sérieuse et des sanctions graves pour les fonctionnaires et les hommes politiques polonais impliqués, s'il est vrai que des centaines de milliers de personnes ont été autorisées à entrer dans l'Union européenne, que les ambassades polonaises ont délivré des visas Schengen en échange de pots-de-vin et que des personnes venant principalement d'Afrique et d'Asie en ont profité pour s'envoler vers Varsovie et, de là, vers d'autres pays de l'UE pour s'y installer illégalement.

Selon la presse allemande, le fait que le PiS, le parti le plus opposé à l'immigration, soit mêlé à cette affaire de corruption est particulièrememnt choquant. Selon Mme von der Leyen, si les soupçons sont confirmés, il s'agirait d'un trafic d'État. Selon Daniel Caspary, député européen du groupe CDU-CSU, il est même possible que certains politiciens aient mené l'opération en collaboration avec des groupes criminels organisés.

Par ailleurs, la ministre allemande de l'Intérieur, Nancy Faeser, a eu l'idée saugrenue d'accorder le droit de vote aux migrants qui se trouvent en Allemagne depuis plus de six mois, afin qu'ils puissent avoir leur mot à dire dans la politique de l'État. Cette idée est dangereuse, car de nombreuses petites communes comptent déjà une très forte proportion d'étrangers, et l'extension du droit de vote pourrait bouleverser la structure politique bien rodée, mais encore conservatrice, d'une ville. Il est évident que les migrants voteraient pour des forces politique favorables à l'immigration. Beaucoup d’immigrés clandestins sont analphabètes, même dans leur propre langue, et seraient donc incapables de lire le manifeste d'un parti ou de discuter avec les députés de la politique à mener. Les politiciens conservateurs rejettentce projet, estimant que l'intégration, les compétences linguistiques et la connaissance politique de l'Allemagne devraient être des conditions préalables à l'octroi du droit de vote.

source: https://pestisracok.hu/georgpolitika-vizumok-szazezreit-adtak-el-migransoknak-lengyel-tisztviselok/

traduction: Albert Coroz

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