Émeutes de juin: le rapport qui pointe l’ultraviolence du désœuvrement
Dix jours d’émeutes d’une ampleur que n’avaient même jamais atteinte celles de 2005, référence du genre. Soixante-six départements métropolitains – dont 13 durant toutes les nuits – et 516 communes ont été touchés, contre respectivement 25 et 200 en 2005. Cette expansion a concerné «des secteurs périurbains, des villes moyennes, des petites communes urbaines isolées ou encore des communes rurales mais aussi des centres-villes» et non plus seulement les quartiers sensibles des agglomérations urbaines comme il y a vingt ans: 15% des infractions ont été commises dans des unités urbaines de moins de 50.000 habitants.
(…) Pourtant, l’autorité judiciaire a travaillé à flux tendu, attesté par des «chiffres considérables». Sur cette période de dix jours, les experts ont totalisé «58.297 infractions en France métropolitaine» pour «12.233 personnes mises en cause», tandis que la Direction des affaires criminelles et des grâces «fait état de 4481 mesures de gardes à vue». Dans 81% des dossiers, «les condamnés ont agi en coaction». «En l’espace d’un mois, les parquets ont été saisis de 4164 auteurs, 26 mis en cause pour l’une des 549 natures d’infractions susceptibles d’être liées aux violences urbaines». L’ampleur a été telle qu’elle a obligé les magistrats à «modéliser les organisations à mettre en place en pareille situation et à intégrer la gestion de crise dans leur fonctionnement quotidien».
(…) Majoritairement âgés de 18 à 24 ans, les condamnés se déclarent à 87% célibataires, sans enfant à charge, hébergés à titre gratuit et à 36% inactifs. 29% des auteurs ne détiennent aucun diplôme et 38% sont titulaires d’un diplôme inférieur au baccalauréat (BEP, CAP, brevet des collèges). Enfin, selon la Préfecture de police de Paris, «une grande majorité des émeutiers interpellés sont des jeunes individus de nationalité française, mais originaires de l’immigration (2e ou 3e génération), principalement du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne».
Extrait de: Source et auteur
“Émeutes de juin: le rapport qui pointe l’ultraviolence du désœuvrement”
A une époque les désœuvrés étaient envoyé vers de saines activités à Cayenne , ce qui calmait leur ultraviolence .
Faut-il que la situation soit dramatique pour que ces timorés se décident à dire la vérité ! Derrière cela se ressent comme un appel au secours d’un gouvernement englué dans ses contradictions, sa veulerie, et son égo à ne pas vouloir avoué qu’il s’est laissé manipuler pour des forces étrangères, ennemies de la France.
Alors Moussa une réponse suite à ces infos qui une nouvelle fois viennent prouver que tu es un menteur chrevonné …. et stupide.