Carla Montet: Les étrangers qui affluent dans la ville, en grande partie grâce à l'administration du parti travailliste, responsable de « la stratégie de cohésion » de la ville, sont désormais impuissants face aux parasites qui envahissent la ville. Et cette « stratégie de cohésion » a si « bien » réussi que l’ancienne majorité est devenue une minorité.
Lorsqu'on parle de la ville de Birmingham, ville travailliste qui poursuit sa politique de « stratégie de cohésion », immédiatement la gauche Lausannoise nous vient à l'esprit. "Ville refuge", inclusive, multiculturaliste, LGBT, féministe, exemplaire en stratégie climatique, ouverte aux toxicos, aux SDF, distribuant des repas, des gîtes aux sans papiers, ... et sa Gauche au pouvoir, qui bétonne depuis des années à tout va.
Lausanne, cette ville de gauche, où les fonctionnaires sont en surabondance et parmi les mieux payés de Suisse, a accumulé durant son règne env. 4 milliards de dettes, en creusant chaque année davantage et en dépensant sans retenue.
Des quartiers entiers sortent de terre comme des champignons, et seront peuplés de migrants, nous promettant un avenir à la «Seine-Saint-Denis». Le remplacement de population est visible à l’œil nu, pareil qu'à Birmingham. Tous les ingrédients sont réunis pour arriver au même résultat sous peu, à moins que la Confédération ne mette le règne des dynasties rouges sous tutelle.
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Birmingham en faillite, “combien d’autres collectivités vont suivre” ?
Confrontée à la baisse des dotations de l’État et à une facture exceptionnelle liée au rattrapage d’inégalités salariales hommes-femmes, la deuxième ville du Royaume-Uni s’est déclarée incapable d’équilibrer son budget sans intervention du gouvernement. La presse redoute une contagion.
En août 2022, Birmingham accueillait en grande pompe les jeux du Commonwealth. “Un moment mémorable” pour la ville, s’enthousiasmait alors la presse britannique. Douze mois plus tard, les paillettes de la compétition sportive – sorte de Jeux olympiques organisés par cette association politique constituée principalement d’anciennes colonies britanniques – ont disparu. La deuxième ville du Royaume-Uni s’est déclarée en faillite, mardi 5 septembre. “En conséquence, toutes les dépenses non essentielles sont suspendues”, précise l’hebdomadaire The Spectator. Dans le même temps, ajoute le Birmingham Mail, les autorités ont ouvert auprès des 10 600 agents de la collectivité un plan de départs volontaires. “Mais les syndicats craignent une vague de licenciements dans la foulée.”
Les difficultés financières rencontrées par cette ville de plus de 1 million d’habitants puisent en partie leur source, d’après la presse britannique, dans le rattrapage d’importantes inégalités salariales. “Les employées municipales s’estimaient lésées parce que, entre 2006 et 2012, les métiers majoritairement féminins, comme le ménage, ne bénéficiaient pas des primes accordées aux métiers majoritairement masculins, comme le ramassage des ordures”, détaille The Guardian. En 2012, le tribunal “leur a donné raison et condamné Birmingham” à rectifier le tir, retrace le Financial Times.
“La ville a déjà payé 1,1 milliard de livres [1,3 milliard d’euros] en compensations, mais les pouvoirs publics se disent incapables d’assumer le reste de la note, évalué à 760 millions de livres [890 millions d’euros], y compris en puisant dans les réserves.”
“Les conservateurs ont rapidement pointé du doigt le fait que Birmingham était géré par les travaillistes, mais cet événement pourrait en réalité être symptomatique d’un malaise plus profond, et présager de nouvelles faillites”, s’inquiète le Spectator. Depuis 2018, dix collectivités locales se sont retrouvées dans la même situation que la ville des Midlands, incapables d’équilibrer leur budget sans intervention du gouvernement. En cause, notamment, la baisse drastique des dotations depuis 2010. “Celles-ci ont été divisées par deux, précise le magazine proche des conservateurs au pouvoir. En parallèle, la hausse de la démographie et de la demande en matière de services publics place les finances locales sous une pression énorme.” Ajoutée à la crise des écoles, dont les plafonds risquent de s’effondrer, et au scandale des eaux usées rejetées directement dans la mer, la détresse des collectivités locales “semble conforter l’impression d’une nation sur le déclin”.
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La déclaration de faillite de Birmingham, deuxième ville du Royaume-Uni, fait craindre un effet domino
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Les conseils municipaux anglais qui ont fait « faillite » : Birmingham devient la dernière autorité à manquer de liquidités alors que des dizaines d'autres pourraient suivre – votre autorité locale est-elle en danger ?
- Les autorités locales dirigées par les travaillistes vont suspendre presque toutes les dépenses dans la ville
- Les conseillers ont blâmé la baisse des taux d'intérêt des entreprises, l'inflation et les factures de protection sociale pour adultes
La semaine dernière, il a été révélé qu'une enquête menée auprès de 47 conseils du nord, des Midlands et de la côte sud était confrontée à des pressions financières écrasantes - dont cinq étaient en train de décider s'ils devaient émettre un avis en vertu de l'article 114 concernant leur incapacité à équilibrer leur budget annuel. en 2023-24.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-12483445/English-councils-gone-bankrupt.html
Muslims beat up traffic wardens in Birmingham. The UK will soon become an Islamic caliphate due to uncontrolled immigration https://t.co/DCj3TjbKnJ pic.twitter.com/1gtggoE6JH
— RadioGenoa (@RadioGenoa) September 6, 2023
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— Muslim Culture (@MuslimCulture13) September 1, 2023
Lausanne est virtuellement en faillite et je ne comprend pas la position du canton et de la confédération.
Les grandes villes suisses ne perdent rien pour attendre !
Tous les ingrédients sont réunis pour arriver au même résultat sous peu qu’à Birmingham, à moins que la Confédération ne mette le règne des dynasties rouges sous tutelle.
La ville de Chavannes-près-Renens a été mise sous tutelle pour bien moins que ça !
Dette NETTE de la ville de Lausanne (env. 2 milliards )
https://www.lausanne.ch › Preavis-2021-48 (document PDF) fin 2021.
https://www.24heures.ch/la-ville-de-lausanne-peut-elle-faire-faillite-738365545882
Concernant Birminghan, les responsables devront rendre des comptes et expliquer les causes de cette faillite.
Soit le rapport entre les personnes qui gagnent leur vie et créent de la richesse et les personnes bénéficiant des services sociaux est devenu trop faible, soit les dérives des dépenses ($$$) n’ont pas tenu compte de l’évolution et du changement de la population !
Puiser dans la caisse et dépenser des sous qu’on a pas tout en faisant venir toute la misère du monde, cela ne peut finir qu’en eau à boudin …
Qui paiera les pots cassés des travaillistes ?
Les con-citoyens, con-tribuables, con-sommateurs de la classe moyenne.