Mais où sont passées les femmes (et les enfants) des demandeurs d’asile provenant de l’allahistan ?
Sont-elles restées au front les armes à la main, en compagnie de leurs enfants, utilisés comme des boucliers face à l’ennemi imaginaire ?

Les ONG chargés de l’accueil de ces migrants pourront-elles répondre à ce questionnement ?
Car l’absence des familles de ces demandeurs d’asile est une vraie énigme que ces ONG, biberonnées par l’argent du contribuable, refusent de résoudre. Elles ne l’effleurent même pas du bout des lèvres, parce qu’elles ont la frousse de perdre la médaille d’or de l’humanitarisme qu’elles se sont décernées.
Pour eux, cette absence est un vrai casse-tête chinois. Elles n’en diront pas un mot, pour la seule raison qu’elles sont les mandatrices exécutrices du programme des globalistes.

Il est aussi vrai que l’alternance du jour et de la nuit que les dirigeants de ces ONG se rémunèrent grassement sur les deniers de l’État; alors ils oublient la mission pour laquelle ils sont censés faire du bénévolat, ainsi qu’ils le prétendent. Mon œil, c’est du baratin comme savent le commercialiser les politiciens véreux sans aucun scrupule qui sont capables de vendre la femme et l’orphelin, au plus offrant, tout en affirmant qu’ils les défendent.

D’ailleurs, ces dirigeants sont, pour la plupart d’entre eux, des recyclés de la politique; ils savent se mouvoir, car ils sont passés par l’école supérieure du mensonge qui n’a rien à voir avec l’humanitaire dont ils se prévalent mais qui reste un moyen tout désigné pour continuer à exister médiatiquement. Ils refusent de tourner la page ou de cracher sur l’avenir. On ne sait jamais car peut-être seront-ils demain, sinon après-demain, des hommes ou des femmes providentiels pour relever la France qui est en délitement avancé et dont ils sont responsables. Animés par un cynisme teinté d’un mensonger grossier appris auprès d’Allah Akbar dont ils sont des alliés avérés, ils sont les infâmes dilapidateurs de l’héritage que leurs ancêtres leur ont légué.

Peut-on continuer à leur faire confiance ? La réponse se trouve auprès des Français qui sont normalement leurs patrons selon la Constitution. Vont-ils alors les congédier en 2027 ?
Les demandeurs d’asile et les clandestins venant de l’allahistan sont leurs clients préférés parce qu’ils remplissent amplement leurs carnets de commande pour les années à venir, sans parler de ceux qu’ils désignent comme les déplacés climatiques. Chez ces messieurs-dames, le climat a bon dos; tout ce qui y entre fait ventre.
Pendant ce temps, les Français naufragés de la vie occupent les places publiques et parfois, quand ils sont logés temporairement dans des centres d’hébergement d’urgence, il leur arrive d’en être chassés manu militari afin de céder les lieux aux demandeurs d’asile, ces fameux combattants de la liberté du XXIe siècle, qui scandent matin et soir : Allah Akbar.

Ces messieurs-dames de la stratosphère politique, et tous les objets non identifiés qui gravitent autour, gèrent leur carrière politique tout assurant le devenir radieux de leurs rejetons. Quant aux sans-dents, ils n’ont qu’à aller faire du lèche-vitrine dans l’émirat islamique en gestation du Saint-Denistan pour admirer le travail des créateurs des abayas, des djelbabs et des quamis.

Pour se dédouaner et cacher leur compromission avec l’islam conquérant, ils commencent à s’agiter en prévision de 2027.
Le fascisme est de retour… C’est leur nouveau slogan de campagne.
Sérieusement, est-ce l’extrême-droite qui met la République en danger ou bien l’islam et sa barbarie ?
Sont-ce bien les fascistes qui agressent, violent et violentent les femmes dans les transports publics ?
Un peu de sérieux, messieurs-dames d’en haut, vous savez qui sont les agresseurs, alors par pitié, ayez un peu de décence envers les victimes que vous prétendez défendre par la parlote.

Quant à l’abaya qui fait l’actualité en cette rentrée scolaire de 2023, ce hideux tissu qui transforme la femme un objet, est-il de droite ou de gauche ?
Jusqu’à preuve du contraire, ce sont les gauchistes qui défendent l’abaya et qui veulent l’introduire à l’école en cassant la loi de la laïcité dont ils ont fait un étendard pour effacer toute trace du catholicisme en France. Du deux poids, deux mesures.

Et pourtant, l’abaya n’est qu’une arme parmi tant d’autres que l’islam utilise pour tester la République et l’engloutir par morceau dans le gouffre de Dar-Al-Islam.
Cette gauche qui soutient l’abaya, ce tissu de la discorde, est revancharde et amnésique.
N’est-ce pas cette gauche misérabiliste qui prône la République de la CAF et du RSA ? Et qui sont les premiers bénéficiaires de la République de l’assistanat ?

Chiche que les services concernés de l’État publient l’origine des délinquants et ceux des bénéficiaires du RSA et de la CAF ?
Le dernier message de ces moralisateurs pour les Français vient d’être publié: il faut vite réparer la République avant l’arrivée de l’extrême droite aux commandes. Alors qu’attendent-ils pour le faire en terrassant le fascisme islamique, cet ennemi de la femme, du mécréant et de l’apostat ? Chiche qu’ils le fassent, et le plus vite sera salutaire pour la cohésion de la France. Mais ce fascisme ne les intéresse pas.
Il ne suffit pas de sautiller en criant “l’extrême-droite est de retour” pour être crédible.
Désormais, on ne pourra plus cacher le soleil avec un tamis.

Hamdane Ammar

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