Geoffroy Lejeune prend ses fonctions au Journal du Dimanche en France
La journaliste Cynthia Gani annonce la sinistre nouvelle: L'extrême droite a gagné, alors que 98% de la rédaction est hostile au changement.
Fin de la grève de la rédaction du JDD après 6 semaines, un accord est conclu.
Les équipes protestaient contre la nomination de G. Lejeune, nouveau directeur de la rédaction, marqué à l'extrême droite. Une victoire pour l'industriel Bolloré.
Alexandre Habay, est-ce qu'on peut dire que les journalistes jettent l'éponge?
Alexandre Habay: C'est l'amertume. Fin de la grève, donc Lejeune entre en fonction, malgré l'hostilité de 98% de la rédaction, composée d'une centaine de journalistes. "Nous n'avons pas gagné", écrit le communiqué. Des départs massifs sont à prévoir, moyennant un chèque.
Ndlr: Comme quoi, tout a un prix, surtout lorsqu'il s'agit d'un journaliste de Gauche. En Suisse romande, nous subissons la "droiture" de nos journalistes de Gauche, et nous disons également: qui paie commande.
Lejeune a 34 ans, il a dirigé auparavant le magazine polémique Valeurs Actuelles...
Ndlr: lorsqu'il s'agit de la droite souverainiste, le jargon de gauche parle de polémique, mais lorsqu'il s'agit des journalistes gauchistes, ce seront immanquablement des journalistes engagés.
... condamné pour injure raciale. C'est un ami de Marion Maréchal-Le Pen, et un soutien au candidat d'extrême droite à la présidentielle, Eric Zemmour. Un profil aux antipodes du JDD, qui est un journal dominical familial et consensuel, créé il y a 75 ans.
Ndlr: JFK ignore visiblement que nous en connaissons un rayon sur ce qu'est un journal familial dominical "consensuel", grâce à notre seul et unique Matin Dimanche. Cet hebdomadaire bienpensant, orienté à gauche, finit d'agoniser tous les dimanches dans les cassettes à un tarif scandaleux... à cause du monopole le dimanche?
AH: Bolloré, qui a repris le journal, est connu pour ses opinions très conservatrices, et il n'hésite pas à interférer sur le contenu rédactionnel des médias dont il prend le contrôle: I-Télé (devenu CNews), Europe 1, Paris Match.
L'ancienne rédaction espère que la législation protègera mieux à l'avenir l'indépendance des rédactions face aux propriétaires des médias, mais c'est trop tard pour sauver le travail du JDD et son identité.
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La fin de grève au JDD est-elle une victoire de l'extrême droite médiatique française? Interview de Jean-François Kahn
La RTS présente Jean-François Kahn, journaliste, essayiste, fondateur de Marianne. Il a publié récemment "Comment on en est arrivé là", livre consacré à la montée des extrêmes en France.
Jean-François Kahn: La grève du JDD, c'est un évènement presque aussi important que les émeutes en France.
RTS / Cynthia Gani: Cette fin de grève, est-ce que c'est une victoire de l'extrême droite médiatique française?
Jean-François Kahn: Le rapport de forces était à l'avantage de celui qui a l'argent, mais c'étaient 6 mois glorieux.
Oui, c'est sans doute un des évènements les plus importants en France depuis trois ans. C'est presque plus important que les émeutes. Pourquoi? Parce que celui qui a racheté le groupe Hachette est lui-même d'extrême droite, mais surtout intégriste religieux. C'est vraiment son obsession. C'est une espèce d'ultra-conservatisme et de quasi intégrisme religieux, tendance Zemmour.
Il s'est mis en tête qu'il devait imposer ses idées, ses convictions à la France. Il a repris une radio, Europe 1, et l'a orientée dans cette tendance. De même avec la télévision CNews, Canal +, Paris Match, JDD, toujours cette tendance (d'extrême droite).
Tout à coup, il y a un basculement d'une grande partie de la presse consensuelle, modérée, un basculement complet vers l'extrême droite. Et ça renforce les risques que l'extrême droite gagne les prochaines élections.
(Comme pour chaque apparatchik de la gauche victorieuse, qui domine notre vie culturelle, politique, académique, médiatique, tout ce qui n'est pas consensuel, c'est-à-dire progressiste, dans la ligne du parti Démocrate des USA, c'est de l'extrême droite. C'est dans la ligne stricte du fameux: "Tous ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous".)
CG: Est-ce que le JDD, qui est un journal modéré, va radicalement changer de ton?
JFK confirme, il ne peut pas en être autrement. Lejeune a été viré d'un journal d'extrême droite, parce qu'il était encore plus d'extrême droite.
Et en arrivant, il prend comme adjointe une autre journaliste, tout aussi extrême droite. C'est la seule chose qui l'intéresse, combattre pour ses idées.
On pourrait dire que bon, on peut avoir toutes les opinions. Mais c'est exactement comme si demain, des capitalistes de gauche, il y en a, hein, achetaient le Figaro, et le transformaient en un journal de gauche progressiste: tout le monde serait scandalisé. Les gens diraient: le Figaro a toujours été de droite et il doit le rester. On ne peut pas transformer un journal, juste parce qu'on a de l'argent, en un journal progressiste.
(C'est exactement ce qui s'est passé avec le Figaro, qui est devenu un journal consensuel, et ne représente plus du tout les idées de la Droite. Idem avec tous les journaux de Droite à grand tirage en Suisse romande: soit ils ont pris un virage néo-marxiste culturel, progressiste, soit ils ont disparu.)
CG: Est-ce que les abonnés vont rester fidèles?
JFK: Non, le journal va s'effondrer, et ils tuent le journal en plus.
*****fin de l'interview*****
Carla Montet: Combien de fois nos médias subventionnés ont-ils publié des caricatures dégradantes sur l'UDC, Blocher, Trump, dessinés en chien, etc., sans qu'il y ait eu condamnation ne serait-ce que verbale? Mais pour une seule caricature publiée sous la direction de Lejeune par Valeurs Actuelles, Lejeune devient un repris de justice à jamais, cette condamnation lui est accolée à chaque fois que son nom est prononcé.
Il y a un chablon de la diabolisation avec son vocabulaire ad hoc, appliqué exclusivement aux personnes estampillées d'extrême droite par les progressistes, c'est-à-dire opposées à l'islamisation, à l'invasion de clandestins, ou au remplacement de population.
La RTS écrit au sujet de Lejeune: "Soutien au candidat d'extrême droite Eric Zemmour à l'élection présidentielle française de 2022, Geoffroy Lejeune, 34 ans, a suscité plusieurs polémiques. Sous sa direction, l'hebdomadaire Valeurs Actuelles a notamment été condamné à une amende de 1000 euros avec sursis pour injure publique à caractère raciste" (source)
Dans une seule phrase, un concentré du jargon servant à la diabolisation. Dire qu'une personnalité publique a soutenu un candidat de la Gauche ne serait même pas mentionné: si extrême qu'il soit, c'est considéré comme naturel. Un gauchiste ne suscite jamais la polémique, mais il suscite le débat, la réflexion.
Nous vivons dans une forme de totalitarisme orwellien, où les personnes persécutées politiquement sont effacées de l'espace public.
La majorité des Romands savent vaguement qu'Eric Zemmour était "le candidat d'extrême droite", mais peu l'ont entendu s'exprimer. Dans nos médias, les spécialistes de l'extrême droite sont invités régulièrement, sans que soit défini précisément ce que recouvre ce terme. Cette diabolisation agit sur l'inconscient collectif, en ancrant dans les esprits que ce sont des gens dangereux et repoussants, qui doivent rester inaudibles et invisibles. Pas étonnant qu'après de telles pressions médiatiques l'UDC perde certaines votations, tandis que la propagande des médias fait le succès de la gauche.
Le cirque de persécution qui se joue autour de Trump dure depuis huit ans. Les mêmes fabricants de narratifs qui agissent contre Trump agissent aussi par ricochet au travers de nos médias. L'élection de Trump a été l'événement qui n'aurait jamais dû se produire. Ici, Jean-François Kahn promet le pire si "l'extrême droite arrive au pouvoir" à cause de médias comme JDD; il n'hésite pas à évoquer les heures les plus sombres:
[...] Au début des années 1930, en Allemagne, un ancien directeur de Krupp, richissime homme d’affaires donc, qui s’était construit un immense empire médiatique, Alfred Hugenberg, mit son redoutable outil d’influence au service d’une « union des droites » intitulée le « front de Harzburg ». Ce qui permit au Parti national-socialiste de sortir de son isolement et d’augmenter, dans un premier temps, son nombre de sièges au Parlement. Avant de finalement l’emporter… et de faire, provisoirement, de son bienfaiteur, un ministre de l’Économie. [...]
Pour comprendre comment les médias occidentaux se sont alignés sur le parti Démocrate des USA, il faut voir comment cela s'est passé aux USA.
Avant le premier mandat d'Obama, il y avait encore de grandes industries, de grandes entreprises de la Silicon Valley, les Big Tech, etc., qui soutenaient les candidats Républicains.
Mais lors de l'élection de Trump, il n'y avait plus guère de ces entreprises derrière lui. Trump a gagné les élections sans avoir le pouvoir derrière lui, uniquement grâce à sa popularité acquise sur Twitter, qui lui laissait véhiculer ses idées.
C'est là que les grandes entreprises, les Big tech ont serré leurs lignes derrière la Gauche américaine, formant le deep state ensemble avec la CIA. C'est là le nœud des problèmes de l'Occident. Avec l'arrivée au pouvoir de Trump, ils sont tous sortis du bois et ont décidé qu'il fallait mettre au pas l'électorat de Trump, les réseaux sociaux, les médias non progressistes, en faisant taire les malpensants.
Parallèlement à cette alliance américaine au pouvoir, chez nous toutes les initiatives de l'UDC, ou par exemple No Billag, ont également été combattues avec un tir groupé:
-Plus de 5000 artistes suisses appellent à rejeter « No Billag »,
-La Fédération des entreprises suisses combat "No Billag"
-Le Conseil fédéral et le Parlement ont recommandé de rejeter cette initiative.
-UNIA dit Non à No Billag
-Initiative «No Billag»: les capitales romandes appellent au rejet de l’initiative
- etc.
Dans les mois qui ont précédé la mise au pouvoir de Biden, le deep state a fait agenouiller les Blancs devant les afrodescendants, pendant que la racaille unie à l'extrême gauche se permettait de saccager des villes. Les Blancs américains terrorisés, humiliés, ont dû ensuite subir le délire de la cancel culture, suivi d'une campagne de repentance. L'ordre ne pouvait revenir qu'avec l'élection de Biden, sinon le cirque aurait continué.
On peut en déduire que ces puissances sont prêtes au pire chez elles et dans le monde pour garder le pouvoir.
L'Union européenne a également pris un virage sous Von der Leyen et sert de manière inadmissible les intérêts des USA, pendant que nos médias et politicards déplorent que la Suisse soit toujours à la traine du "progrès".
Sans nuance, nos médias romands approuvent les insanités américaines, comme si la Suisse n'était plus que leur colonie. La confrontation des idées est devenue impossible chez nous, parce qu'aux USA, les Démocrates ont certainement volé les élections, et qu'ils sont prêts à tout pour garder leurs positions et pour que l'accident Trump ne se reproduise plus.
Les soucis des Démocrates américains, de l'UE et de la Suisse se confondent désormais. Mais si la peur de Dieu est le début de la sagesse, la peur des États-Unis est la fin de la Suisse.
Le pire est la Bérézina médiatique en Suisse romande. La population n'a plus du tout la possibilité de se faire une opinion libre, si elle ne recherche pas des points de vues alternatifs. C'est à travers nos médias à subventions que la majorité voit le monde. Si la Démocratie Suisse brille encore dans nos vitrines, en pratique la démocratie n’existe plus guère, à cause de la mainmise globale de l'idéologie gauchiste.
Récemment, la Weltwoche a créé une succursale, non pas en Suisse romande mais en Allemagne, nous enfonçant encore plus dans notre marasme. Il est vrai que la levée de boucliers que la Gauche a déclenché à l'idée du rachat de Lausanne Cités par Christoph Blocher, puis son rachat par les mêmes avec l'argent public, n'encourage pas les initiatives dans ce sens.
https://www.ledialogue.fr/707/Ces-ONG-am%C3%A9ricaines-qui-ont-pr%C3%A9par%C3%A9-l-Ukraine-%C3%A0-la-guerre-depuis-les-ann%C3%A9es-1990-2-2
Ces ONG américaines qui ont préparé l’Ukraine à la guerre depuis les années 1990 [ 2 – 2 ]
Nikola Mirkovic
jeudi 10/août/2023 – 02:57
Le Dialogue
L’investisseur et philanthrope américain d’origine hongroise George Soros s’adresse à l’assemblée en marge de la réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos le 24 mai 2022. Photo : Fabrice COFFRINI / AFP.
L’Ukraine, « la plus grande fierté » de Soros
La révolution de l’Euromaïdan a été planifiée, financée et exécutée avec l’aide d’ONG financées par les USA. Les Américains, qui veulent impérativement éloigner la Russie de l’Europe, n’ont pas attendu la fin de la République socialiste soviétique pour s’ingérer dans les affaires internes ukrainiennes.
Avant même la chute de l’URSS, Washington a déployé une armée d’ONG officiellement altruistes mais qui étaient en réalité des machines à renverser des gouvernements et à transformer les sociétés. Certaines reçoivent des finances directement du gouvernement américain tandis que d’autres sont financièrement indépendants tout en véhiculant le même discours atlantiste. George Soros, Hongrois naturalisé américain, est un milliardaire progressiste très impliqué sur des sujets sociétaux et politiques à travers sa fondation Open Society. Il est très souvent sur la même longueur d’onde que la politique étrangère et sociétale américaine.
Avant même la chute du communisme en 1990, il lance dans la République socialiste soviétique d’Ukraine l’International Renaissance Foundation (IRF) qui fait partie de la nébuleuse Open Society. Les USA aiment s’appuyer sur les réseaux et les finances de Soros pour influencer la scène politique de pays étrangers comme la Colombie, le Royaume-Uni, la France ou le Nigeria et bien d’autres pays… Sa fondation Open Society clame : « Les fondations Open Society sont le plus grand donateur privé au monde pour les ONG et associations œuvrant pour la défense des droits de l’homme, de la justice et de la démocratie… » Ce militant mondialiste a financé des groupuscules dans toute l’ex-URSS à tel point que George Soros lui-même dit qu’il est en train de « remplacer l’Union soviétique par l’Union Soros… »
En 2023 l’IRF se vante d’avoir soutenu plus de 9 000 projets en Ukraine depuis 29 ans pour un budget officiel de plus de 230 millions de dollars. Parmi les projets de Soros en Ukraine on retrouve entre autres la création d’un média atlantiste (Unian), un syndicat de journalistes,
un centre de formation de professeurs, une radio atlantiste (Hromadske Radio) ou un centre d’aide aux soldats ayant participé à la guerre depuis 2014. La IRF ne cache pas l’implication de ses membres dans le lobbying en faveur de différentes lois passées par la Rada ukrainienne. Lors d’un colloque organisé par l’Asia Society en 2015, Soros se vante d’avoir consacré la majeure partie de son temps à l’Ukraine où sa fondation a accompagné les membres du nouveau gouvernement issu du coup d’Etat de 2014. Parlant de son activité dans les pays d’Europe de l’Est, il déclare : « Ma plus grande implication est l’Ukraine, où il y a une nouvelle Ukraine désireuse de faire partie de l’UE… Les personnes impliquées, au sein du gouvernement et de la société civile, ont été en quelque sorte en contact avec la Fondation. C’est très gratifiant. » Dans un document confidentiel de 2015, qui a été fuité, intitulé Draft Non-Paper / v14 A short and medium term comprehensive strategy for the new Ukraine (Projet de texte officieux / v14 Une stratégie compréhensive à court et moyen terme pour la nouvelle Ukraine), George Soros explique qu’il faut aider l’Ukraine à devenir stable afin d’encourager les investissements mais il appelle en même temps à réarmer l’Ukraine. Soros reconnaît que Vladimir Poutine veut une désescalade militaire et que les Accords de paix de Minsk 2 vont aider Poutine à atteindre ses objectifs. Mais, au lieu d’avancer sur le terrain de la réconciliation et de la paix, il préconise de faire de l’Ukraine une « priorité de défense » et propose que les alliés de la « Nouvelle Ukraine » « aident l’armée ukrainienne à restaurer sa capacité de combat ». Le milliardaire américain demande que l’ex-général américain Wesley Clark (commandant suprême des forces de l’OTAN pendant l’attaque illégale contre la Yougoslavie en 1999 et aussi partenaire d’affaires de Soros dans BNK Petroleum qui s’appelle aujourd’hui Kolibri General Energy Inc.), le général polonais Waldemar Skrzypczak et quelques spécialistes, sous les auspices de l’Atlantic Council (think tank atlantiste), conseillent le président Porochenko sur la restauration de la capacité de combat de l’Ukraine sans pour autant violer les Accords de Minsk. George Soros évoque également le rôle du Conseil national de la réforme (NRC) qui regroupe l’administration présidentielle, le conseil des ministres, la Rada et ses comités, ainsi que la société civile. Le document du philanthrope belliqueux dit que le NRC définit les priorités législatives et que le président et le Premier ministre collaborent pour faire passer les projets de loi dans la Verkhovna Rada. Le document de Soros rappelle que l’IRF, qui est la branche ukrainienne de la Fondation Soros, à ce moment-là finançait 100 % du NRC. C’est donc une ONG américaine qui dispose de liens étroits avec le gouvernement américain qui définit les priorités législatives de la « Nouvelle Ukraine » issue du coup d’Etat de 2014. Parmi les réformes économiques proposées par Soros, le milliardaire veut s’attaquer en priorité à la réorganisation du géant énergétique Naftogaz et missionne, pour ce faire, le cabinet de conseil américain McKinsey. Il souhaite aussi que l’UE et le FMI jouent un rôle majeur dans le soutien financier à l’Ukraine. Les Etats-Unis se cachent à peine d’avoir organisé la révolution de couleur et le coup d’Etat et de téléguider le nouveau régime ukrainien qu’ils ont eux-mêmes mis en place. Quand le journaliste britannique Shaun Walker demande au milliardaire Soros quel est le projet dont il est le plus fier : « Il parle des progrès politiques incomplets mais prometteurs réalisés en Ukraine, où sa fondation a soutenu un large éventail de programmes de la société civile pendant des décennies. »
L’ingérence US en Ukraine avant même la chute du communisme a eu pour but de favoriser l’émergence d’une élite politique radicalement opposée aux Russes et aux Ukrainiens sympathisants de la Russie qui est perçue par Washington comme un rival sur le continent européen. Cette stratégie de réingénierie sociale par des ONG est une marque de fabrique de la politique étrangère états-unienne. Grâce à l’aide de nombreuses ONG comme la NED, USAid, l’American Enterprise Institute ou l’Open Society de George Soros, les Atlantistes ont soutenu et financé le coup d’Etat de Kiev de 2014. Selon le patron du centre américain d’études sécuritaires Stratfor (que d’aucuns assimilent volontiers à l’arrière-cour de la CIA), George Friedman, le renversement du gouvernement légitime d’Ukraine est le « coup d’État le plus flagrant de l’histoire. » Ce coup d’Etat atlantiste a entraîné les Ukrainiens dans une guerre civile devenue conflit international. Les ONG américaines et leurs alliés n’ont pas apporté la paix et la démocratie en Ukraine mais la guerre et la désolation. Les Ukrainiens servent de chair à canon dans un conflit voulu et fomenté par les USA pour éliminer un potentiel rival sur le continent européen. Cette ingérence de Washington dans les affaires de nations souveraines est la cause directe de révolutions et de guerres civiles qui sont les causes de centaines de milliers de morts dans le monde. C’est une pratique complètement illégale au regard de la charte des Nations Unies, hélas l’empire américian semble être au-dessus du droit international. Pour l’instant.
Le terrorisme intellectuel fait beaucoup de dégâts!le narratif des propagandistes est écouté par ceux qui sont désinformés et ne savent plus faire la différence entre le vrai et le faux.cette idéologie orwellienne est employée pour tromper et enfumer les esprits faibles qui gobent tout sans réfléchir,comme par exemple le mot extrême droite répété” ad nauseam “par la gauche mortifère devient un danger réel pour ceux qui écoutent sans s’informer par eux même ce qui est dangereux pour leur libre arbitre car c est un endoctrinement !:”Calomnier ,calomnier il en restera toujours quelque chose en mettant une étiquette sur quelqu’un ce n’est pas lui vouloir du bien!! JFK n’est pas intelligent il veut simplement vendre et se rendre intéressant il fait fausse route
Si on veut l’exemple parfait du noyautage mondialiste des médias, c’est bien avec tout ce qui touche à l’Ukraine et à l’immigration de masse avec l’arrivée massive d’une partie de 40 millions d’Ukrainiens donc des mafias criminelles qui traitaient avec la famille Biden et leurs oligarques soviéto-nazi à la remorque de Zelensky tandis qu’on ose encore nous imposer sa gueule au Parlement et TOUTES CES SALOPERIES MÉDIATIQUES NE PEUVENT EXISTER QUE PAR LA CORRUPTION ! TOUT CES SUPPÔTS DE SATAN DE LA RTS, SONT TOTALEMENT LIES AUX SELISBOLFA (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) ET COUVERTS D’OR GRACE A LEURS TRAHISONS.
Voilà pourquoi après avoir foutu la merde en Suisse et particulièrement en Suisse romande, on les retrouve dans une de leurs oasis de l’entre soi raciste, à Mase en Valais, un endroit qui devrait être réquisitionné pour y loger des Ukrainiens, des sans-abris, des clandestins et qui devrait être couvert de tags, ces œuvres d’art selon leurs dires et naturellement toutes ces publicités politiques dégueulasses qui inondent le domaine public sous prétextes et couvertures d’associations qui couvrent entre autres, les actions des sectes scélérates, grâce aux syndicalistes Mugny, à la Maury Pasquier et son compère Robert Cramer dit le vert dans le nez, Dominique von Burg etc.. Il y a encore quelques jours une pharmacienne m’a mis dans la confidence. Énormément de ces Ukrainien sont des richards, qui ne paient rien mais créent un véritable marasme dans la santé publique avec des médicaments devenus introuvables parce qu’expédiés en Ukraine. Sans compter qu’ils vivent à l’aide sociale alors que ce sont les mêmes avec toutes ces voitures de luxe et de sport aux échappements maquillés qui sonorisent encore notre environnement déjà fortement pollué par les paroles sonores des tarés sortis de prisons et des hôpitaux psychiatriques surchargés qui squattent encore les terrasses des bistrots.
Et avec ces traîtrises systématiques, on a maintenant des gens qui foutent le feux partout comme aux Avanchets, au Lignon, etc. alors que la police est attaquée avec des mortiers d’artifice, exactement comme en France et que j’entends parfois de tir répétés de 9mm sous prétexte de fêtes. Et maintenant l’Ukraine trafique encore avec des vrais faux papiers vendus à des roms qui affluent en Suisse de toute l’Europe et qui peuvent ainsi bénéficier des permis S. On ne se demande pas pourquoi et par quels traîtres et traîtresses tout ceci nous est imposé ! Ces fameux et exceptionnels permis de luxe bénéficient aussi au profit des mafieux ukrainiens qui avaient déjà acheté des appartements et des villas en prévision de la guerre en Ukraine c’est à dire qu’ils étaient au parfum bien avant 2014… et c’est lié à la CIA et l’Otan avec l’affaire Crypto bien trop vite enterrée. Voilà pourquoi ce sont bien eux qui ont attaqué la Russie tout en martyrisant les Russes qui vivaient dans les zone ukrainiennes depuis des siècles tout en leur interdisant de parler leur langue d’origine, sans compter les exactions racistes de ces bolchévo-nazi impliqués dans des trafics d’organes tirés des cadavres parfois encore vivants de tout ces simplets de mercenaires venus du monde entier en croyant pouvoir faire fortune.