Agression violente de Lucienne, 88 ans, à Nantes alors qu’elle se promenait appuyée sur ses deux cannes : un an ferme pour le migrant clandestin marocain. Arrivé en France en 2022, il a déjà purgé 6 mois pour cambriolage.

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Elle ne s’est pas déplacée à l’audience mais a tout de même écrit au tribunal pour dire qu’elle ne demandait pas d’argent et qu’elle espérait que justice soit faite. Lucienne, née en 1934, vit à Saint-Sébastien. Chaque matin ou presque, appuyée sur ses deux cannes, elle fait un tour du pâté de maison, au niveau du boulevard des Pas-Enchantés.

Mardi 1er août, il était 9 h 30 quand un jeune homme l’a dépassé avant de s’asseoir sur un banc. Puis l’homme a surgi derrière Lucienne et lui a arraché son collier, ce qui a entraîné la chute de l’octogénaire. Son agresseur a été interpellé à peine une heure plus tard, sur l’île Forget, dissimulé derrière des végétaux, les vêtements trempés. J’étais tellement défoncé que je suis directement parti vers le fleuve », explique par le biais de l’interprète, Anas, jugé en comparution immédiate ce vendredi.

À la dérive sur le territoire depuis son arrivée en 2022, ce Marocain de 19 ans était sorti de la prison de Bois-d’Arcy (Yvelines), après avoir purgé une peine de six mois pour un cambriolage. Une fois dehors, il est passé à Barbès pour se fournir en médicaments, dont il est dépendant depuis des années.

Puis il a embarqué pour Nantes, où il devait prendre un bus en direction de Bayonne, son projet final étant de rejoindre l’Espagne. Son bus manqué, Anas a erré et s’est alcoolisé, avant de se retrouver à Saint-Sébastien, confondu avec la ville Espagnole.

(…)

www.ouest-france.fr

 

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