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La disparition des États nations fait partie de l’Agenda de l’Open Society de Soros et du Forum économique de Davos. Si nous voulons empêcher cette déconstruction et ce désastre, il n’y a pas d’autre voie que de nous recentrer sur notre âme, ce qui fait société, c’est-à-dire des valeurs inaliénables et non négociables, comme la justice, la justesse, la défense de la dignité de chacun, le bien commun partagé, une valeur supérieure aux intérêts individuels ou communautaires.

L’après-émeute montre dans toute sa gravité la dissolution de ces principes qui devraient tenir fermement la collectivité. Par exemple, des tribunaux infligent des peines de prison ferme pour des tentatives de vol de jeux vidéo, six mois de prison ferme pour le vol d’une canette de Red Bull. Le magistrat qui proposait de violer sa fille mineure de 13 ans sur Internet a vu sa peine allégée, transformée à 24 mois avec sursis. On est de retour dans les Misérables de Victor Hugo.

Voler une canette de Red Bull, vous avez de la prison ferme, mais le magistrat qui propose sa fille à être violée a du sursis. René Chiche, enseignant persécuté par l’Éducation nationale relève : « Requérir des peines de prison ferme pour des vols de pantalons ou de baskets est pure folie. C’est alimenter la haine, le ressentiment et préparer les émeutes de demain ou après-demain. Il faut être ferme et sans complaisance, mais intelligent et juste aussi ».
Tidiane : « A tous les gardiens de l’humanité, nos armes sont le VRAI, le JUSTE, le BEAU. Elles sont imparables et ils n’ont aucun pouvoir dessus. Leur seule possibilité est de les cacher, les ensevelir sous leurs mensonges. Montrons-les, utilisons-les. Sans ego ».
Le problème aujourd’hui, c’est bien ce mépris, cette injustice chronique, fondamentale des pseudo-élites qui nous gouvernent. « Jacques Attali non masqué demande à une journaliste de bien remettre son masque sur le nez. Et cette idiote obéit au lieu de l’envoyer chier comme il le mérite ; ça résume tout. Cette « élite » vous hait et vous méprise. Pour eux, vous êtes des esclaves ».
Ils sont en train de promouvoir un agenda visant à légaliser la pédophilie, indirectement. Cette question est un des moyens de destruction des piliers, des fondamentaux de notre société.
« Notre gouvernement promeut le Kama Sutra pour les enfants. On est chez les dingues. Mais dormez tranquilles, il n’y a pas de réseau de pédophilie chez les « élites ». Enfin c’est ce que disent les journalistes à la télé ».

Le Kama Sutra est un recueil indien écrit entre les IVe et VIIe siècles, spécialisé dans les arts amoureux, pratiques sexuelles et positions amoureuses.
Sur un site s’adressant aux enfants et aux jeunes, à partir de 11 ans, on explique la pénétration anale, l’anulingus, des subtilités qui peuvent éventuellement amuser les adultes, mais pas être adressées, infligées à des enfants de 11 ans.

Chris Dubuis Santini, un psychanalyste, écrit : « La raie publique pour les accidentés du fion » et relève des messages toxiques : « J’aime qui je veux et je le montre. Mon genre n’est pas une mode. Personne ne définit mon genre à ma place. Ma famille, je la construis comme je veux. Je suis comme je veux, pas comme la norme le veut ».
Ces messages concourent à brouiller les repères de jeunes en construction, il est légitime qu’ils se posent la question, mais plus tard, quand ils sont en état de se la poser.

Heureusement, des collectifs agissent, par exemple SOS Éducation : « Suite aux annonces de Pap Ndiaye, SOS Éducation alerte le ConseilSupProg : sous couvert d’éducation à la sexualité, les enfants sont soumis à des contenus à caractère sexuel par une autorité, sans pouvoir s’y soustraire, sans pouvoir consentir ». Il y a vraiment une volonté de viol psychique des enfants.
SOS Éducation martèle le clou : « Bientôt le dogme pédophile dans les programmes scolaires Pap Ndaye ? Apprenez à tous les enfants à lire, écrire, compter. C’est ça votre boulot. Pour le reste, laissez faire les parents et les professionnels de la protection de l’enfance ».
Des vidéos de l’OMS expliquent les pseudo-droits sexuels des enfants. On est dans un agenda pédocriminel, financé par des personnes qui ont soutenu les recherches pédocriminelles dans les universités, et imposent une méthodologie complètement aberrante.

Dans Ligne droite, Sophie Audugé : « On explique aujourd’hui à des enfants de 7 à 10 ans ce qu’est la masturbation, la fellation et la sodomie ».
Mathieu Bock Coté : « Protégez vos enfants, face à ces pervers. Demandez la destitution de Pap Ndiaye, ministre de l’Education nationale et de la jeunesse, c’est un mondialiste qui prône le mal, l’éducation sexuelle à des enfants de 5 ans plutôt que d’instruire ». Ce ne sont pas des histoires de pruderie ou de pudibonderie, nous sommes face à quelque chose d’épouvantable.
Certains doutent encore, regardent les textes de l’OMS, ne voient rien de répréhensible. Evidemment, on ne dit pas qu’on s’inspire de Kinsey qui violait les petits enfants, qu’on apprend la masturbation à partir du berceau, mais c’est la réalité de l’Agenda.
Karl Zero a traduit une séance d’éducation à la masturbation des enfants prépubères par des dames patronnesses hollandaises, contentes de leur travail. La réaction des bambins montre bien qu’on est dans l’effraction psychique, c’est-à-dire une violence traumatique.
« Le sexe n’est pas seulement fonctionnel pour faire des bébés. Je te l’ai déjà dit, c’est aussi amusant à faire. Tu vas découvrir comment fonctionne ton corps et le mien. Et toi ? Tu as déjà touché ton zizi ? Ça t’arrive de toucher ton zizi ? Oui ? Comment te sens-tu ? Quand tu le fais ? Je sais pas. Tu fais ça quand tu manges ? Non bien sûr ! Ou dans la salle de classe ? Non évidemment ! Pourquoi tu ne le fais pas en classe ? Alors quand peux-tu jouer avec ton zizi ? A la maison…

Il n’y a pas que les garçons qui peuvent avoir un orgasme, les filles aussi, mais elles n’ont pas d’éjaculation parce que nous n’avons pas de sperme. Mais c’est une sensation agréable… Et tu as déjà regardé ton vagin, non ? Il y a les lèvres, les lèvres inférieures, et deux petits trous. Il y en a un pour faire pipi, et un autre par où le bébé sort. Au-dessus des trous, se trouve également une sorte de petit bouton, tu l’as déjà vu ? Non ? Tu ne l’as jamais étudié sous cet angle… Eh bien, ce petit bouton, c’est ce qu’on appelle le clitoris. Tu ressens une sensation vraiment très agréable… Réellement très agréable quand tu touches ce bouton. Tu peux le frotter avec ton doigt par exemple ».

La Hollande est toujours avant-gardiste dans les innovations douteuses. Un homme a été élu Miss Netherlands 2023. Dans un monde de post vérité, où tout est le contraire de tout, les deux sont liés. Ce qui structure toute société, c’est la différenciation des générations, la différenciation des sexes, un homme n’est pas une femme, une femme n’est pas un homme, un adulte n’est pas un enfant, un grand-père n’est pas un père ou un fils.

Selon l’Agenda de l’OMS, les enfants peuvent avoir des pulsions envers les adultes. On est dans la situation de Gabriel Matzneff, écrivain, qui se vantait en tant qu’homme d’avoir séduit une jeune adolescente de 14 ans, et qui s’émerveillait des transports amoureux de la jeune fille à son égard. Sur le plateau d’Apostrophes, devant Bernard Pivot, Denise Bombardier, chroniqueuse, essayiste québécoise, était la seule à oser dire, ça n’a rien à voir avec la romance que vous décrivez, vous êtes en train d’endommager à vie une adolescente qui n’est pas encore une femme.

Les enfants n’ont pas à être confondus avec les adultes, les femmes n’ont pas à être confondues avec les hommes. Le psychiatre John Hopkins a rappelé récemment que le transgenrisme est un désordre psychiatrique. Cela ne doit pas conduire à la discrimination de ces personnes. Elles vivent leur trouble psychique, elles décident de faire ce choix, elles doivent être respectées dans leur choix, ça n’est pas négociable non plus. Mais expliquer que ce n’est pas un problème psychiatrique, que c’est juste une modalité du psychisme, qu’il faut éventuellement encourager les enfants à découvrir en eux cette modalité, on est dans la psychopathologie grave.

Bill Gates a investi des millions dans des groupes affirmant que les enfants sont des êtres sexuels. Bill Gates s’est rendu à plus de 36 reprises sur l’île de Jeffrey Epstein, le pédocriminel au service de la CIA et du Mossad. Cet Agenda pédocriminel porté désormais par l’Education nationale est le reflet d’un biotope, celui de la dépravation gouvernementale.

Zoé Sagan, un informateur mystérieux, bien introduit dans les allées du pouvoir, poste régulièrement sur les réseaux sociaux des nouvelles du camp au pouvoir. Elle parle de manière répétée de la Lanterne, cette boîte où auraient lieu à Versailles des parties chemsex, donc des orgies sexuelles, des partouzes, avec des produits psychotropes type cocaïne et autres, auxquelles participeraient des membres du gouvernement, et même beaucoup de membres du gouvernement.
« Avant d’attaquer le livre de l’été, Zoé à Saint-Tropez, je vais faire un détour par la Lanterne pour savoir ce que veut vraiment dire “des soirées chemsex babyloniennes”. Qu’on en finisse avec cette affaire une bonne fois pour toutes. Pierre Palmade ou non ».
25 Juin : « Nous apprenons aujourd’hui à minuit par un célèbre journaliste de radio France que Emmanuel Macron prépare une plainte contre Zoé Sagan pour « diffamation, calomnie, fake news et atteinte à la vie privée ». On aura tout vu. »
26 Juin : « Nous recevons tous une suite de messages hallucinants depuis 24 heures pour nous persuader de ne jamais, au grand jamais, écrire une ligne sur les soirées babyloniennes de la Lanterne. Evidemment, on va faire que ça tout l’été. En attendant, ce pays est vraiment proche de l’effondrement ».
7 Juillet : « On ne va finalement pas attendre minuit, non ce n’est pas Gabriel Attal qui était chez Pierre Palmade (c’est un autre). Lui va à d’autres soirées chemsex plus « type » avec son conseiller com, Louis Jublin, ainsi qu’une autre célébrité médiatique. Tous overdosés à la coke comme personne ».

Zoé Sagan est l’objet de nombreuses attaques et plaintes en diffamation. Mais il y avait un ministre chez Pierre Palmade le soir de l’accident. La consommation de coke est généralisée parmi les personnes du gouvernement.
AuBonTouiteFrançais nous donne la réponse : « Gabriel Attal, Olivier Véran et Bruno Le Maire vont chez Pierre Palmade. Gabriel Attal et Olivier Véran décommandent. Qui reste-t-il ?
Zoé Sagan : « Contre toute attente, c’est Bruno Le Maire ».
Bruno P LIBRE PAROLE : « Selon le journaliste Zoé Sagan, Bruno Le Maire était chez Pierre Palmade à la soirée chemsex qui précéda son accident de voiture. Si cela se vérifie, ce serait un coup de tonnerre qui en ajouterait encore sur l’état de déliquescence du régime ».

Et ces personnes font des leçons de probité, de rectitude, de bons principes républicains, alors que nous sommes face à une bande de dépravés qui se vautrent dans le stupre, la drogue, et la fornication. Que des personnes dans cet état-là et dans ces dérives-là, soient à la tête d’un pays, peut nous alarmer et nous aider à empêcher que cela continue plus loin.

Il y a un énorme problème avec la pédocriminalité en France, une couverture, une protection des pratiques pédocriminelles par les élites entre guillemets, ceux qui ont le pouvoir de dire et de faire. Françoise Fericelli, pédopsychiatre, alerte. Des médecins sont condamnés par l’Ordre des médecins pour avoir signalé des enfants en danger, victimes d’actes pédocriminels, cela concerne des centaines de cas. Un médecin ayant connaissance de cas de violences, d’actes de viols pédocriminels subis par des enfants, qui le signale à l’Ordre des médecins, risque de se faire suspendre.

Maître Michel Amas, avocat à Marseille, dénonce des placements abusifs et des violences dont seraient victimes des centaines d’enfants. Et il y a des groupes de pédocriminels dans la magistrature et les services sociaux. Ils s’arrangent pour instrumentaliser les placements d’enfants, pour avoir de la chair fraîche à violer. C’est un problème gravissime, fréquent, mais rien n’est fait pour y mettre fin.
Zoé Sagan 4 Juillet : « Le dossier confidentiel que va publier vendredi faitsetdoca sur le « vrai patron de Macron » (Jean-Marc Borello) peut créer une réelle révolution en France. Il s’est attaqué à moi. C’est quelqu’un d’extrêmement dangereux. La vérité arrive enfin, ça va j’espère tout changer ».

Jean-Marc Borello serait le vrai patron de Macron, rouage important et ambassadeur du mouvement, présenté comme le pape de l’économie sociale et solidaire, certificat de bien-pensance et de bonnes intentions. Il était dans les années 90 administrateur de l’Institut des Tournelles, lieu où le directeur et d’autres personnalités ont violé de manière répétée des enfants. Libération titrait en 2006 : « Défilé chic pour défendre l’ex-éducateur des Tournelles », un conseiller d’Etat, des administrateurs accusés de viol.

La Croix titrait : « L’association des Tournelles n’est pas autorisée à rouvrir ». « C’est un incroyable écheveau judiciaire auquel l’Etat vient d’ajouter un fil. Tout éclate le 12 Septembre 1997 avec la mise en examen pour viols sur mineurs de Robert Megel, alors directeur de l’institut des Tournelles, un centre pour jeunes délinquants situé à Hautefeuille (Seine-et-Marne) ».

Il est avéré aujourd’hui que Marlène Schiappa a souillé la mémoire de Samuel Paty en attribuant de manière détestable le fonds constitué suite à son assassinat. Elle a menti devant la commission du Sénat, la famille s’en indigne. Mais elle est toujours en place. Selon des observateurs, elle connaît un certain nombre de vérités sur le couple présidentiel. Son intouchabilité pourrait provenir de cela.
Il y a quelque chose à mettre à jour urgemment. Les investigations sur le scandale Epstein aux Etats-Unis ne progressent pas. On nous a présenté cela comme de malheureuses jeunes femmes de 16 à 17 ans qui se sont retrouvées en position scabreuse à masser Jeffrey Epstein.

Laure Gonlézamarres prend la parole publiquement et témoigne le 8 Juillet : « J’ai été violée, parfois jusqu’à trois fois par jour, pendant 17 ans par Jeffrey Epstein et ses co-conspirateurs… J’avais 10 ans ».
C’est arrivé à des dizaines et des dizaines de jeunes filles comme elle. Des enfants ont été violés par des personnalités. Jamais la liste de ces personnalités n’a été publiée. Bill Gates est allé 37 fois sur cette île maudite, et la justice n’avance pas. Tout continue à être tu. Ces réseaux pédophiles et de trafic d’enfants impliquent des personnalités en France. Jeffrey Epstein avait deux domiciles en France, un à Paris, un en région parisienne. Là encore, il y avait le bal des malfaisants et des pervers. Cela implique les sphères dirigeantes françaises.
Patricia Chaibriant : « Quand les réseaux pédophiles et le trafic d’enfants impliquent des personnalités membres de « l’élite », il n’y a pas d’enquête. Tant qu’il n’y a pas une justice indépendante du pouvoir, c’est pas un film qui changera une situation connue de tous ».
Campagnol, journaliste retraité à la campagne souligne : « Jusqu’ici la vérité n’était pas trop dangereuse pour l’Etat, on disait et quand bien même ? Mais avec le basculement de l’opinion sur les pédocriminels, danger. Nous sommes loin de l’indulgence inspirée par Amanda Lear ».

Un certain nombre de questions se pose autour du couple Macron. En tant qu’anthropologue, et en tant qu’informateur honnête, je peux dire, des rumeurs courent, et autour de ces rumeurs, des choses intéressantes. Le fait que Brigitte Macron n’a jamais porté plainte pour diffamation.
Et puis, Zoé Sagan souligne : « Toutes personnes qui s’intéressent de trop près à la vie d’avant leur rencontre est en danger. En grave danger. Qui aurait cru que l’ultime tabou français au XXIe siècle serait la vie secrète d’un couple composé d’une prof de théâtre amiénoise de 39 ans avec un jeune de 14 ans ? »

Toute l’histoire du couple présidentiel a été réécrite, notamment selon des canons bien connus de la manipulation, par exemple faire croire que Macron avait 17 ans et Brigitte Macron 36 lorsque leur coup de foudre a eu lieu. 17 et 36, ça gomme un peu la différence d’âge, on fait croire 19 ans. En réalité, Macron avait 14 ans et Brigitte 39. Donc on est juridiquement, judiciairement dans le détournement de mineurs.

Adriano Segatori, psychiatre italien, affirme : « Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui ». Son analyse tient sur ce viol, cette effraction de son intégrité sexuelle alors qu’il avait 14 ans. Si on retourne les âges, un homme de 39 ans séduit une adolescente de 14 ans, ça pose problème. Pour des cas similaires, il y a eu condamnation.
Des équipes de communicants ont été mises sur pied de guerre pour retravailler toute l’histoire du couple présidentiel et créer une barrière opaque.
Virginie Linhart, a réalisé un film sur la première dame, intitulé « Un roman français », diffusé sur France 3 le 13 Juin 2018. Elle répond aux questions d’un journaliste de L’Obs :
« C’est difficile d’enquêter sur Brigitte Macron ?
Oh ! Oui… Beaucoup plus que je l’imaginais. Sur le fond du sujet, sur la forme surtout.
Quelle a été votre relation avec votre sujet ?

Mon producteur avait prévenu l’Elysée. Dès que j’ai commencé à prendre des contacts, j’ai été convoquée par le directeur et le chef de cabinet de Brigitte Macron et là durant une heure j’ai eu l’impression de repasser le grand oral de Sciences Po. L’entretien était très cordial, mais j’étais passée à la question. Qu’est-ce que je veux montrer ? A quoi je m’intéresse exactement ? Qui vais-je interviewer ? J’aurais aimé filmer des séquences à l’Elysée, lors de ses voyages, et dresser une liste des gens que je souhaitais rencontrer, je n’ai rien eu de tout cela. Les interviewés en dehors de ses anciens élèves avaient tous l’aval de l’Elysée et faisaient très attention à leurs propos.

Ne pas avoir pu interviewer Brigitte Macron au final est-ce un handicap ?
La chape de plomb est telle à l’Elysée qu’elle n’aurait rien dit, et j’aurais été obligée d’inclure l’entretien dans le documentaire, donc ce refus m’a donné une plus grande liberté.
Qu’est-ce qui ne sort pas ?
En ce qui concerne sa vie d’avant, c’est le black out total ».

En 2023, un couple atypique, dont on camoufle l’élément le plus problématique, ne livre rien de sa vie d’avant et fait en sorte que rien ne soit accessible. Ceux qui évoquent cette situation sont poursuivis. Ainsi, Eric Verhaeghe se retrouve en garde à vue « pour incitation à la haine » suite à la parution de deux articles sur « Brigitte » Macron, pour dire, « en France, aucun journaliste n’ose aborder ce sujet ».

Quand on se penche sur la dynamique du couple Macron, tout ce que je vous énonce sont des extraits de livres ou d’interviews, par exemple Philippe Grangeon, cité par Nathalie Schuck et Ava Djamshidi, dans Madame la présidente, sorti chez Plon en 2019 :
« Emmanuel Macron s’appuie sur deux piliers, deux regards, deux repères : un pilier affectif, son épouse, et un pilier professionnel, Alexis Kolher. Si ces piliers vacillaient, alors le président serait déstabilisé ».
David de Rotschild, cité par Anne Fulda dans Un jeune homme si parfait, Plon 2017 :
« Elle compte énormément dans sa vie. Énormément. C’est une forme de référence psychologique ».
Alain Minc, cité par Marc Endeweld, dans Le Grand manipulateur, Stock 2019 :
« Brigitte est essentielle pour comprendre Emmanuel Macron. Elle joue un rôle particulièrement important à ses côtés ».

Marlène Schiappa, citée par Nathalie Schuck et Ava Djamshidi dans Madame la présidente, 2019 : « La phrase que j’ai le plus entendue du président pendant la campagne, c’est « Où est Brigitte ? ». Il la cherchait tout le temps ».
L’Obs du 1er Septembre 2016 : « Il ne fait rien sans lui demander son avis. Du recrutement d’un collaborateur au choix d’un costume ou d’une coupe de cheveux ».
Michaël Darmon, dans La Politique est un métier, dans les coulisses de la machine élyséenne,
Humensis 2019 : « En réalité le couple fonctionne à front renversé de l’histoire officielle : ça n’est pas « Brigitte qui adoucit Emmanuel », comme le chromo désuet vendu aux médias laisserait l’entendre, mais plutôt la première dame qui apprend au président comment être sans états d’âme dans les moments cruciaux. L’affectif c’est Emmanuel, la dure c’est Brigitte ».

Il y a une place démesurée occupée par Brigitte Macron, qui prétend ne pas faire de politique alors qu’elle participe à toutes les décisions, à tous les débats qui agitent le président. Un président dont les traits de personnalité font penser à quelqu’un de dissocié, quelqu’un qui n’a pas d’affect, qui n’a aucun respect pour la parole donnée ou pour le sens de la vérité.

Exemple, une interview de septembre 2016. On voit dans son attitude qu’il y a un problème avec cette personne.
Question : « Est-ce que vous êtes en mission ?
Oui. C’est comme ça que je le vis. Je ne suis pas en train de faire une carrière. Je n’ai d’ailleurs jamais vraiment cherché à faire une carrière dans ma vie. J’ai poursuivi des objectifs, j’ai cherché à comprendre, à apprendre, à réussir des choses, à mener des combats. Je ne crois jamais avoir eu le sentiment que je ferais une carrière. Et depuis que je suis rentré dans le champ politique, je vis ça comme une mission.
Est-ce qu’il y a une dimension de spiritualité ?
Y en a une. Et en tout cas, la conviction qu’il existe… une transcendance… quelque chose qui dépasse… qui vous dépasse… qui vous a précédé et qui restera ».
Il n’y a pas besoin d’être spécialiste en psychologie pour observer que quelque chose dans l’intériorité d’Emmanuel Macron pose vraiment problème. Cela rappelle les expériences d’influence psychologique, notamment celles menées par la CIA dans le cadre de MK Ultra.

Avec Macron, un individu, de manière obvie, qui va de soi, mais en prétendant le contraire, travaille à l’inverse de l’intérêt public. La chaîne indépendante ResilientsTV montre cette inversion :
« Si quelqu’un peut me trouver une période, dans la totalité de l’histoire humaine, où aurait eu lieu un transfert plus massif de richesses en faveur des plus riches que celui qui a résulté des politiques gouvernementales pendant le Covid, je serais très impressionné ».
Selon Pierre Joigneaux : La fortune des 500 ultra riches a doublé sous Macron. Elle est passée de 500 milliards en 2017 à la somme folle de 1170 milliards d’euros en 2023, et notamment au service des oligarques qui détiennent la presse. Ainsi, Bernard Arnault, décrit par ses biographes et par les membres de son entourage comme étant dépourvu d’humanité, n’ayant aucun état d’âme par rapport à quoi que ce soit, seuls le pouvoir et la réputation l’intéressent. Il y a eu une croissance de la richesse des milliardaires, au détriment de la société, en particulier la classe moyenne et les classes défavorisées. Le « déficit » des retraites est de 12 milliards. Une taxe à 2% financerait la retraite à 60 ans.
Il faut faire le lien entre cette totale indifférence vis-à-vis de l’intérêt collectif, cette manière de ne pas du tout anticiper les problèmes, mais au contraire de mettre de l’huile sur le feu et d’en tirer profit le plus possible, avec les questions de protection de l’enfance et son inverse la pédocriminalité.

Karl Zéro vient de publier un reportage sur l’affaire Lola. L’indignation est passée très vite. On a conclu au geste d’une déséquilibrée. En fait, pour Karl Zéro, une secte satanique s’était emparée de la femme-assassin et a exercé une grande influence sur elle. La police s’est complètement désintéressée de cette question. « On est face à un président et à un gouvernement qui ne veulent pas en entendre parler ».
Campagnol commente : « Ils sont au cœur du sujet, donc du crime ».

Une problématique existe dans l’espace social et requiert qu’on s’y intéresse, qu’on enquête, et qu’on mette en lumière ce qui mérite de l’être. Aux Etats-Unis, le film Sound of Freedom vient de sortir. André Bercoff introduit ce film le jour où il reçoit Karl Zéro :
« On parlait de la mondialisation heureuse, liberté de circulation, des femmes, des hommes et des idées, mais quand c’est la circulation libre des armes, des drogues et surtout de l’exploitation des enfants, de la traite des enfants, de l’esclavage sexuel des enfants, du trafic d’organes, pour 152 milliards de dollars par an dans le monde et 42 milliards de dollars par an pour le trafic d’organes, comment sauver les enfants ? »

Une activité de 150 milliards de dollars à l’échelle mondiale : vendre des enfants, des garçons de 3 ans, des filles de 5, 6, 7 ans qui sont violées 10 à 15 fois par jour pendant de nombreuses années et, lorsque les clients n’en veulent plus parce qu’ils ne sont plus frais, on les ouvre et on vend les organes sur le marché noir du trafic d’organes.
L’avant-dernière phrase du film Sound of Freedom est la suivante : « Il y a plus de gens soumis à l’esclavage aujourd’hui qu’il n’y en eut jamais dans toute l’histoire humaine quand c’était admis par la loi ». Et la dernière phrase est « la plupart des esclaves sont des enfants ».

Voilà de quoi parle ce film. Parmi les enfants isolés, les mineurs non accompagnés, dès l’âge de trois ans, ramassés par l’armée américaine à la frontière mexicaine, il en disparaît 20 000 par an, dont l’administration ne sait plus où ils sont. Les préventes de ce film ont battu tous les autres films sur le marché, avant même sa diffusion en salle. Karl Zéro :
« Quand ils font leur mission, entourés de sortes de mercenaires, pas pour l’argent, mais pour la cause des enfants, des durs, habitués à aller sur le terrain, des anciens d’Irak, d’Afghanistan, ils ont des bateaux, des hélicoptères, ils prennent les moyens. Ce film va ouvrir les yeux de beaucoup de gens, d’autant plus que c’est une histoire vraie. Beaucoup ignoraient que cela existait, sont en pleurs. Hollywood a empêché ce film de sortir pendant cinq ans, ils l’ont mis au placard ».
Le film relate l’histoire d’un ancien agent des services secrets qui découvre ce trafic mondial d’enfants à des fins de viols, d’assassinats rituels, et de prélèvements d’organes, et qui monte des opérations pour libérer certains de ces enfants des endroits où ils sont détenus.

Ce film, bloqué par Hollywood pendant cinq ans, a finalement trouvé un producteur. Il est actuellement n°1 au box office, malgré une campagne marketing pratiquement inexistante, mais avec des tentatives d’associer ce film à des théories complotistes et à QAnon, et aussi des tentatives de faire retirer ce film des salles de cinéma. Des salles prétextaient des problèmes techniques pour empêcher les spectateurs d’aller le voir.

Ce qui est enfin en train d’être mis en lumière, c’est cet immonde trafic pédocriminel satanique qui existe à l’échelle mondiale et dans chacun de nos pays. Le film décrit comment la France est une des principales plaques tournantes du trafic d’enfants, ainsi que l’Ukraine. Un documentaire d’Arte montre que l’Ukraine est une plaque tournante du trafic international d’enfants. Les mafias ukrainiennes responsables de ce trafic sont soutenues à bout portant par des gens comme Biden et Macron, sans que les pays concernés, les Parlements, et les opinions publiques aient pu se prononcer sur la question.
Hypothèse. Quand la vérité sur le trafic d’enfants et les pédophiles satanistes sera connue des foules, ces élites malfaisantes ne pourront plus se maintenir au pouvoir. C’est pour ça que ces démons sont terrorisés par Sound of Freedom. Ils savent que c’est possiblement fini pour eux.

Bien sûr, le trafic humain devrait nous effrayer davantage que le Covid, qui a été moins dangereux qu’une grippe annuelle banale.
Dans Le Gardian, on peut lire : « Un thriller ressemblant à QAnon est en train de séduire l’Amérique avec Jim Caviezel qui tient l’affiche en tant que héros essayant d’arrêter des trafiquants d’enfants dans un nouveau film paranoïaque qui de manière surprenante est en tête de liste au box office ».
Le Gardian parle d’un film paranoïaque, alors que ce film décrit un phénomène incontestable. Nous avons toutes les preuves de ce crime. Zoé Sagan réagit :
« Tant qu’on ne nous répondra pas sur la disparition des 11 000 enfants français par an (ça en fait 110 000 tous les dix ans, qu’on ne retrouve jamais) et sur pourquoi on laisse une loge maçonnique assassiner des citoyens ordinaires, on ne s’arrêtera pas. Répondez-nous et on disparaît ».

Les fatcheckers s’expriment depuis un certain temps, ainsi Tristan Mendes France :
« Donc le film Sound of freedom, dont Jim Caviezel est le héros, est sponsorisé sur Twitter. On peut entendre Caviezel, totalement exalté, faire la promo du film en parlant des délires conspis sur l’adrénochrome. Les QAnons adorent ».
Tristan Mendes France fait partie des négationnistes furibonds. Il nie tous les scandales massifs qui existent aujourd’hui à l’échelle mondiale. Par exemple, en novembre 2021, la pédocriminalité dans l’imaginaire complotiste. Pour lui, la pédocriminalité n’est pas un problème gravissime, avec des enfants à sauver, et des réseaux criminels à mettre hors d’état de nuire, non, c’est de l’imaginaire complotiste. On a retrouvé ce tweet de Tristan Mendes France, qui date de huit ans :
« C’est quoi la différence entre un footballeur et un pédophile ? Le premier marque du pied, le second Marc Dutroux ».
Campagnol commente : « Quand on pense à ce scumbag de Mendes France qui ose parler de complotisme à propos d’une enquête de 20 ans sur le trafic d’enfants, on se dit qu’il mérite le sort qui l’attend ». (scumbag = pourriture).

C’est malheureusement caractéristique dans cet univers. Déjà en 2012, Conspiracy Watch niait l’hypothèse de l’existence d’un réseau pédophile en Belgique et la qualifiait de Théorie du complot. Des gens sont payés aux frais de la princesse pour nier la réalité des pires crimes qui se déroulent, qu’il s’agisse des crimes de Big Pharma, des dizaines de milliards d’euros d’amendes auxquelles ont été condamnés les laboratoires pharmaceutiques dont Pfizer, pour essais illégaux, falsification de données, corruption, homicide involontaire, tout ça Conspiracy Watch le tait.
Myriam Palomba relève : « Les fatcheckers qui enquêtent de leur canapé iront te dire que ce sont des théories complotistes ou de QAnon. Ils en ont rien à taper du sort des mômes ».
Question subsidiaire. Pourquoi les médias travaillent-ils aussi fort pour cacher les pédophiles et le trafic d’enfants ? Poser la question, c’est peut-être commencer à y répondre.

A priori, ce film ne sera pas distribué en France. Quels sont les décideurs qui bloqueraient sa sortie dans les salles françaises ? C’est une fiction inspirée d’une histoire vraie. Zoé Sagan :
« Ils font tout pour que le film Sound of Freedom n’infiltre pas la France, mais la version VOSTFR arrive et changera l’opinion publique et les consciences humaines à jamais. Ce qui, nous pouvons le comprendre, inquiète beaucoup de vieux messieurs au pouvoir ».
Dans ce milieu gouvernemental, les produits psychotropes, notamment ceux qui font perdre la capacité de discernement et la conscience émotionnelle, sont consommés à la louche. On se vautre dans des orgies chemsex, avec des gens de tous les genres. On promeut un agenda pédocriminel, avec un couple présidentiel dont personne n’ose parler mais qui soulève des questions. On couvre depuis des années le gouvernement Macron, et cela s’est poursuivi et même intensifié depuis. On couvre la réalité des réseaux pédocriminels qui trafiquent les enfants à hauteur de milliers de disparitions jamais résolues par an, avec des relais dans la magistrature, dans les services de protection de l’enfance, dans la presse, dans les réseaux politiques, dans les réseaux financiers.

Est-ce que ça va pouvoir sortir ? Quand et comment ? Nous avons besoin de l’investissement de toutes les personnes de bonne volonté. Il y a quelque chose d’ignoble.
Ariane Bilheran, docteur en psychopathologie, normalienne, nous permet de décoder la nature perverse du pouvoir autoritaire en marche, elle décrypte la logique de ces systèmes pervers, et pourquoi nous ne retrouvons aujourd’hui que des gens d’une perversité énorme.

Eric Dupond-Moretti, en tant qu’avocat, a intimidé jusqu’à la faire chialer et à faire pipi sur elle une enfant qui avait été victime de viol, pour pouvoir décrédibiliser sa parole, et à travers cela décrédibiliser la parole de tous les enfants victimes de viol. La conclusion de ce cafouillage judiciaire monstrueux : les accusés ont été relaxés, innocentés, alors que les enfants étaient malgré tout reconnus victimes de viol.

Nous nous affrontons à cela, en un temps où les églises ne cessent de brûler en France. La déchristianisation de l’Europe à marche forcée est un problème, parce que les gens au pouvoir veulent effacer toute référence à un passé qui a été à un moment donné protecteur de la dignité des personnes. Les personnes les plus fragiles dans la société ont besoin de l’engagement de la collectivité. Il y a aujourd’hui un agenda démoniaque, non dans un sens théologique, des gens sont prêts à violenter des enfants, à euthanasier de force des personnes âgées, à faire flamber les violences, à condamner de manière injuste, à fermer les lieux sûrs de la pédocriminalité, des gens démoniaques, c’est-à-dire des ennemis du genre humain, des gens qui travaillent en permanence dans la division. Nous avons une résistance collective à mettre en oeuvre.

René Char, grand poète résistant français, disait : « L’essentiel est sans cesse menacé par l’insignifiant ». L’essentiel se joue partout.
Si nous avons permis que les enfants soient violentés, soient abusés, soient maltraités, tout au long de la crise Covid, c’est que nous avons perdu le sens du sacré. Quelles que soient nos convictions, ou absence de convictions, nous avons tous à nous retrouver, que nous soyons musulmans, chrétiens, athées, agnostiques, d’une autre culture, d’une autre religion, d’une autre absence de religion, peu importe, il y a quelque chose d’inviolable dans l’être humain, il y a quelque chose de sacré au cœur de chacun, et encore plus à protéger chez les personnes les plus faibles.

A tous les gardiens de l’humanité, nos armes sont le VRAI, le JUSTE, le BEAU, l’AIMANT. Nous avons à cultiver tout ce qu’ils détestent, la poésie, la musique, la beauté, les arts, la tendresse, la solidarité, la tolérance, le pardon, le fait d’être ensemble, tout cela, ce sont les plus belles armes que nous ayons à disposition avec le courage et le sens de la vérité. Nous devons les utiliser ici et maintenant pour les mettre en échec. Nous ne pouvons plus permettre à cette bande de détraqués et d’ennemis du genre humain d’avancer plus loin dans leur agenda destructeur. Nous avons tous à nous mobiliser pour cette cause et mettre en avant cette exigence. Jamais, jamais, jamais plus nulle part, la dignité de qui que ce soit ne doit être souillée, et en particulier par les gens qui ont le pouvoir et le devoir de protéger chacune et chacun. Ces armes sont imparables et ils n’ont aucun pouvoir dessus. Leur seule possibilité est de les cacher, les ensevelir sous leurs mensonges. Montrons les, utilisons les. Sans ego.
Merci.

Retranscription écrite d’une vidéo de Jean-Dominique Michel du 9 juillet 2023.

https://profession-gendarme.com/jean-dominique-michel-baphometland-ou-macronistan/
Jean Saunier

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