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Ce qui est inquiétant, c’est que les policiers tolèrent semblables insultes et, lorsqu’ils sont traînés devant les tribunaux, des jugements fumeux… Oui, on acquitte, parce qu’on ne saurait (encore) faire autrement mais on laisse la forêt brûler d’autant mieux alentour… Parce que… Tout pompier progressiste, Mesdames le juge et consorts, se doit d’être quelque peu pyromane, sans quoi cela ferait décidément facho. Mais pourquoi, au fond, doit-on se terrer à chaque fois que résonne ce soupçon quand une écrasante majorité d’ignares volontaires n’en connait que l’emballage en mode sex-shop, durement gore, insoutenablement violent et m…dique ? Avec la «diversité» et la féménoïsation des professions vouées au maintien de l’ordre et de la sécurité, l’État de droit se dissout en État fumigène, un truc entre la prise perpétuelle d’une Bastille vide et l’étalage éclatant de monstres de cirque (Freaks, par ailleurs fort sympathiques et profondément humains). Il ne s’agit plus, au fond, que de collectionner des «images saintes» au nom de ce qu’on nous assigne comme étant «nos valeurs» parce que… c’est ainsi à la télé et sur les réseaux antisociaux prompts à déverser des torrents d’émotions dévoyées, absurdes et pétries de Schadenfreude.
C’est qu’il fallait choisir, alors qu’il était encore temps : telle société homogène régie assez difficilement déjà, selon les principes caractérisant un État de droit (voir Hegel, Philosophie du droit et ses ultimes leçons compilées par ses étudiants sous le titre de Leçons sur la philosophie de l’histoire), ou l’hétérogénéité à tous les étages et selon toute entournure d’un corps «sociétal» en constante crise de nerfs et folle déliquescence.
À quoi bon se morfondre, et confondre le présent avec un passé qu’on aura complètement falsifié, détruit, et un avenir dont les ponts le reliant au présent sont déjà dynamités. Se concentrer plutôt. Songer à constituer des isolats, sur la base de nos traditions : communes, districts, etc., ce dont peu de pays dits «démocratiques» bénéficient. Au fond, nous n’avons qu’à investir des formes éprouvées, juridiquement valides, encore, avec un esprit nouveau, et pourquoi pas fasciste ?… au sens historique du terme et non plus sex-shopesque, dérangé dedans la culotte et souliers à clous ? De toutes façons, nous passons pour… autant le revendiquer, mais non sans l’étudier et l’actualiser. Nous n’inventerons rien, dans le foutoir actuel. Il faut donc investir dans ce qui a fait ses preuves. Quoi de plus noble et populaire qu’un défilé de licteurs, avec leurs faisceaux, gerbes de force et d’autorité. L’ennemi et sa désignation, puisque tel est l’essence du politique, c’est le renégat, le complaisant, tel type sympa qui s’la coule bon Blaise et s’indigne avec les meutes de crétins issus de nos écoles petites et de plus en plus minuscules comme pléthoriques —oxymore révélateur— fort chères et devenant inutiles. Là, également, tout est à refonder. On ne perpétue pas un ordre social en élevant de futurs paumés, drogués, délivrés de toute responsabilité et aptes à toute rumeur et prostitution. Lors que le renégat sera remis à sa place (pendu à Plainpalais pour que le peuple aye du cardon à la Noël, du bon, pas d’en boites!), le diversifié dégagera de lui-même devant notre courage et notre fierté recouvrés.
Du qualitatif peut toujours supplanter le quantitatif parce que le quantitatif absolu, sans qualité, donc, c’est comme se mettre le doigt dans le nez, après s’être torché le cul ou prétendre faire de la mathématique en comptant sur ses ongles de pieds et de doigts. C’est-là le secret, en somme fort banal, prosaïque, de l’histoire, la raison de la chute des empires obsolescents et des communautés de tarés. Mais rien ne se fait sans la volonté et l’action, sinon que tout se décompose et pourrit. À l’instar de certaines reliques catholiques, fort impressionnantes en matière d’esthétique, une pièce de velours frangée de fils d’or sur un cadavre chapeauté d’une mitre n’en fait guère un ressuscité… sensible et reconnaissant !
était encore temps : telle société homogène régie assez difficilement déjà, selon les principes caractérisant un État de droit (voir Hegel, Philosophie du droit et ses ultimes leçons compilées par ses étudiants sous le titre de Leçons sur la philosophie de l’histoire), ou l’hétérogénéité à tous les étages et selon toute entournure d’un corps «sociétal» en constante crise de nerfs et folle déliquescence.
À quoi bon se morfondre, et confondre le présent avec un passé qu’on aura complètement falsifié, détruit, et un avenir dont les ponts le reliant au présent sont déjà dynamités. Se concentrer plutôt. Songer à constituer des isolats, sur la base de nos traditions : communes, districts, etc., ce dont peu de pays dits «démocratiques» bénéficient. Au fond, nous n’avons qu’à investir des formes éprouvées, juridiquement valides, encore, avec un esprit nouveau, et pourquoi pas fasciste ?… au sens historique du terme et non plus sex-shopesque, dérangé dedans la culotte et souliers à clous ? De toutes façons, nous passons pour… autant le revendiquer, mais non sans l’étudier et l’actualiser. Nous n’inventerons rien, dans le foutoir actuel. Il faut donc investir dans ce qui a fait ses preuves. Quoi de plus noble et populaire qu’un défilé de licteurs, avec leurs faisceaux, gerbes de force et d’autorité. L’ennemi et sa désignation, puisque tel est l’essence du politique, c’est le renégat, le complaisant, tel type sympa qui s’la coule bon Blaise et s’indigne avec les meutes de crétins issus de nos écoles petites et de plus en plus minuscules comme pléthoriques —oxymore révélateur— fort chères et devenant inutiles. Là, également, tout est à refonder. On ne perpétue pas un ordre social en élevant de futurs paumés, drogués, délivrés de toute responsabilité et aptes à toute rumeur et prostitution. Lors que le renégat sera remis à sa place (pendu à Plainpalais pour que le peuple aye du cardon à la Noël, du bon, pas d’en boites!), le diversifié dégagera de lui-même devant notre courage et notre fierté recouvrés.
Du qualitatif peut toujours supplanter le quantitatif parce que le quantitatif absolu, sans qualité, donc, c’est comme se mettre le doigt dans le nez, après s’être torché le cul ou prétendre faire de la mathématique en comptant sur ses ongles de pieds et de doigts. C’est-là le secret, en somme fort banal, prosaïque, de l’histoire, la raison de la chute des empires obsolescents et des communautés de tarés. Mais rien ne se fait sans la volonté et l’action, sinon que tout se décompose et pourrit. À l’instar de certaines reliques catholiques, fort impressionnantes en matière d’esthétique, une pièce de velours frangée de fils d’or sur un cadavre chapeauté d’une mitre n’en fait guère un ressuscité… sensible et reconnaissant !
Ce qui est inquiétant, c’est que les policiers tolèrent semblables insultes et, lorsqu’ils sont traînés devant les tribunaux, des jugements fumeux… Oui, on acquitte, parce qu’on ne saurait (encore) faire autrement mais on laisse la forêt brûler d’autant mieux alentour… Parce que… Tout pompier progressiste, Mesdames le juge et consorts, se doit d’être quelque peu pyromane, sans quoi cela ferait décidément facho. Mais pourquoi, au fond, doit-on se terrer à chaque fois que résonne ce soupçon quand, au fond, nous n’en connaissons que l’emballage en mode sex-shop, durement gore et m…dique ? Avec la «diversité» et la féménoïsation des professions vouées au maintien de l’ordre et de la sécurité, l’État de droit se dissout en État fumigène, un truc entre la prise perpétuelle d’une Bastille vide et l’étalage éclatant de monstres de cirque. Il ne s’agit plus, au fond, que de collectionner des «images» valorisantes parce que… c’est ainsi à la télé et sur les réseaux antisociaux prompts à déverser des torrents d’émotions dévoyées, absurdes et pétries de Schadenfreude.
C’est qu’il fallait choisir, alors qu’il était encore temps : telle société homogène régie assez difficilement déjà, selon les principes caractérisant un État de droit (voir Hegel, Philosophie du droit et ses ultimes leçons compilées par ses étudiants sous le titre de Leçons sur la philosophie de l’histoire), ou l’hétérogénéité à tous les étages et selon toute entournure d’un corps «sociétal» en constante crise de nerfs et folle déliquescence. À quoi bon se morfondre, et confondre le présent avec un passé qu’on aura complètement falsifié, détruit, et un avenir dont les ponts le reliant au présent sont déjà dynamités. Se concentrer plutôt. Songer à constituer des isolats, sur la base de nos traditions : communes, districts, etc., ce dont peu de pays dits «démocratiques» bénéficient. Au fond, nous n’avons qu’à investir des formes éprouvées, juridiquement valides, encore, avec un esprit nouveau, et pourquoi pas fasciste ?… au sens historique du terme et non plus sex-shopesque, dérangé dedans la culotte et des souliers à clous ? De toutes façons, nous passons pour, autant le revendiquer, mais non sans l’étudier et l’actualiser. Nous n’inventerons rien, dans le foutoir actuel. Il faut donc investir dans ce qui a fait ses preuves. L’ennemi et sa désignation, puisque tel est l’essence du politique, c’est le renégat, le complaisant, tel type sympa qui s’la coule bon Blaise et s’indigne avec les meutes de crétins issus de nos écoles petites et de plus en plus minuscules quoique fort chères et inutiles. Là, également, tout est à refonder. On ne perpétue pas un ordre social en élevant de futurs paumés, drogués, délivrés de toute responsabilité et enclins à toute rumeur et prostitution. Lors que le renégat sera remis à sa place, le diversifié dégagera de lui-même devant notre courage et notre fierté retrouvés. Du qualitatif peut toujours supplanter le quantitatif ; c’est là le secret, en somme fort banal, prosaïque, de l’histoire, la raison de la chute des empires obsolescents et des communautés de tarés. Mais rien ne se fait sans la volonté et l’action, sinon que tout se décompose et pourrit. À l’instar de certaines reliques catholiques, fort impressionnantes en matière d’esthétique, une pièce de velours frangée de fils d’or sur un cadavre n’en fait guère un ressuscité… sensible et reconnaissant !
Le laxisme professionnel de la Municipalité de Lausanne au complet démontre sa connivence avec tous ces mouvements gôchiste.
Le jour où un de ces tristes sires aura besoin de l’aide de la Police, j’espère que celle-ci répondra qu’elle a d’autres chats à fouetter … !!