Zoom – Laurence Dezélée – Charnier Descartes : un scandale d’Etat toujours impuni

post_thumb_default

 

Le 27 novembre 2019, Laurence Dezélée perd sa défunte maman pour la deuxième fois. Quatre ans plus tôt, sa mère l’avait avertie, voyant sa mort imminente, qu’elle souhaitait faire don de son corps à la science, loin d’imaginer ce qu’il pourrait arriver à sa dépouille. En effet, avec la médiatisation du charnier de l’Université de médecine de Paris-Descartes, Laurence Dezélée découvre avec effroi le scandale sanitaire et éthique qui se déroule depuis des décennies dans le grand immeuble de la rue des Saints-Pères dans le 6ème arrondissement de Paris. Les conditions de conservation des corps sont innommables, le respect dû aux dépouilles vole en éclat, certains cadavres sont rongés par les rats, en état de putréfaction avancée… D’autres sont démembrés, dissociés, mélangés. Pire, certains préparateurs s’adonnent à un véritable trafic de dépouilles… vendues à des anonymes, et parfois même à l’étranger.

Horrifiée, Laurence Dezélée décide de rendre justice à sa mère. Elle dépose plainte et rencontre des témoins de scènes épouvantables. Près de quatre ans après les révélations du scandale, personne n’a encore été jugé… Avec "Pardon Maman pour ce qu’ils t’ont fait" chez Plon, Laurence Dezélée rend hommage à sa maman et espère que justice sera rendue, avec des condamnations exemplaires pour tous les responsables, y compris les plus hauts placés !

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.