Au revoir Henri Boulad, vous nous laissez bien seuls face à l’offensive de l’islam…

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Quelle énorme tristesse. Le Père Henri Boulad est mort hier. C’était quelqu’un qu’on pouvait croire immortel, qu’on espérait immortel. Grâce à lui les catholiques se sont sentis moins seuls. Et à nouveau les voilà pratiquement seuls, face à un pape et un clergé presque entièrement dhimmis.

Nous nous sentons orphelins. Même si d’autres prêtres sont du même avis que le Père Henri Boulad et le disent. Qu’ils en soient remerciés. Ne les nommons pas pour ne pas leur créer d’ennuis auprès des inlassables chercheurs d’histoires et d’ennuis judiciaires pour les lanceurs d’alerte et les patriotes.

Tout le clergé heureusement n’est pas comme le pape François mais à force de nous seriner que nous devons tendre la joue gauche après la droite, qu’aimer son lointain, c’est lui céder en tout, même dans le pire c’est-à-dire accepter de se faire grand-remplacer, que le bon samaritain et les droits de l’homme font qu’il faut accueillir toute la racaille islamisante et haineuse du monde, on y est presque…

Le Père Henri Boulad, jésuite égyptien d’origine syrienne, s’est levé contre la véritable pathologie qui nous fait baisser les bras devant l’islam. Dans un sermon fait à Toulon en 2017, il prédisait que si on ne faisait rien, la France allait devenir musulmane. Libé en avait profité pour écrire un article répugnant traitant le Père Boulad de tous les noms et demandant à l’Église de réagir.

Le Père Boulad a écrit deux lettres au pape dont une lui a été remise en mains propres, pour lui dire son étonnement, sa colère, et l’incroyable péril dans lequel nous sommes, mais le pape n’a jamais daigné répondre.

Le Père Boulad avait très bien expliqué : « Je ne suis pas musulmanophobe, mais islamophobe. Je n’accuse pas les musulmans qui sont majoritairement pacifiques, bienveillants et amicaux, mais l’islam comme idéologie politique. » Le voile par exemple est pour lui un geste politique.

https://www.youtube.com/watch?v=lziFltTZdrs&t=27s

Le Père Boulad était très bien placé pour parler de l’islam. Sa famille avait fui la Syrie vers 1860, où vingt mille chrétiens avaient été massacrés en une semaine. Il vivait en Égypte, pays où tous les jours des prêtres chrétiens se font tuer par des musulmans parce qu’ils sont prêtres, où tous les jours des hommes et des femmes résistent à l’islam au prix de leur vie, où tous les jours des Égyptiennes chrétiennes se font enlever, violer, marier de force à des musulmans et devenir de force musulmanes.

Mais cela personne ne le dit, par terreur de l’islam. C’est pourtant ce qui nous attend. Si on ne dit rien, c’est que l’islam est très fort et règne déjà par la crainte, chez nous. Crainte augmentée par la lâcheté de nos gouvernants.

Le Père Boulad n’a jamais mâché ses mots. Pour lui l’islam est fidèle à lui-même dans son esprit de conquête, c’est dans les textes coraniques. L’islam est totalitaire, suprémaciste, globalisant, dit-il. C’est un fascisme. Ce n’est pas une religion, c’est une idéologie, c’est un système pire que le nazisme car il se donne une coloration religieuse, à laquelle il est plus difficile d’échapper.

L’islam est violent, explique le Père Boulad, car c’est sa nature. Il utilise la dissimulation tant qu’il est en état de faiblesse, mais la violence dès qu’il est plus fort, le califat mondial étant son but.

L’islam ne peut pas se réformer. Tous les réformateurs se font exécuter les uns après les autres. Le dernier connu en date étant Mahmoud Mohamed Taha, homme politique soudanais pendu en public en 1985.

Les faits sont là : nous avons, toujours selon le Père Boulad, 400 zones de non-droit (bien plus en fait) en France. Si ces zones agitées par les Frères Musulmans et autres Tariq Ramadan s’embrasent toutes à la fois, personne n’y pourra rien. Le Père Boulad a prévu la guerre civile en France pour très bientôt.

Le soi-disant dialogue islamo-chrétien est un leurre. Comment dialoguer avec des gens qui croient que de toute manière ils domineront le monde ? Des gens qui refusent de voir l’autre en tant qu’autre ? (expression bien connue de Lévi-Strauss). Des gens qui disent que de toute manière le Christ deviendra musulman ? Des gens capables de détruire Palmyre et qui détruiront le Louvre si on les laisse faire ?

Quand on pense que les 57 pays musulmans ont refusé de signer la Déclaration universelle des droits de l’homme et ont préféré élaborer leur propre déclaration dans laquelle tout droit doit être soumis à la charia, à quoi pensons-nous, en France ? À accueillir toujours plus de migrants musulmans ? C’est une incroyable naïveté que de vouloir continuer à ne rien voir. Une incroyable soumission.

À moins que ce ne soit tout simplement de la corruption. De la haute trahison. Judas vendant le Christ pour quelques deniers. L’Occident s’il ne se défend pas va devenir musulman. Nos valeurs seront rejetées. Ce sera un retour vers la Barbarie.

Nous courons vers notre perte, par le jeu de l’immigration sans contrôle, de la démographie galopante de nos envahisseurs tandis que la nôtre est très faible, de l’inversion des valeurs, de droits de l’homme ne profitant qu’aux nouveaux venus, de mépris de nos peuples, de l’inconscience de gouvernements et de clergés vendus, des conversions vers l’islam rendues si facile alors que l’inverse est impossible.

Nous sommes à Constantinople, la veille de sa prise par les Ottomans. Et nous continuons à faire la fête, à nous inquiéter du sexe des anges. Nous sommes comme à Pompéi la veille de l’irruption du Vésuve. Nous vaquons à des occupations dérisoires alors que le ciel risque de nous tomber sur la tête.

Le Père Boulad s’est battu, a-t-il dit, non pas pour le christianisme, mais pour notre civilisation tout entière. Même si nos droits sont inscrits dans des chartes, les chartes peuvent changer, et elles changeront : les musulmans les changeront.

Le Père Boulad est parti tout droit au paradis, ayant fait son devoir d’éveilleur ou de réveilleur des consciences. Mais nous, nous sommes en enfer. L’enfer de l’islamisation. L’enfer de la fin de la liberté. L’enfer de la fin de l’histoire, pour nos pays occidentaux. À moins que…

Sophie Durand




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3 commentaires

  1. Posté par Boujon Maryline le

    Ce Pape a vendu son âme aux diables

  2. Posté par Tarik le

    ‘Quand on pense que les 57 pays musulmans ont refusé de signer la Déclaration universelle des droits de l’homme et ont préféré élaborer leur propre déclaration dans laquelle tout droit doit être soumis à la charia, à quoi pensons-nous, en France ?’

    Complètement faux, c’est un mensonge éhonté et ça s’appele de la désinformation volontaire.

  3. Posté par aldo le

    “Le Père Boulad était très bien placé pour parler de l’islam”. C’est là la clé de ces combats, celle des hommes et des femmes d’expériences suffisantes contre lesquels les méthodes des mondialistes SOROS avec les soutiens de la CIA, de l’Otan, de Biden, de Zelensky, de von der Leyen etc. s’acharnent à coup de guerres et de renversements conduisant à l’alimentation de l’immigration de masse pour casser les civilisations sous la pression de ces masses humaines devenues incontrôlables réduisant à néant tout espoir d’un combat loyal et égalitaire. Ce fut aussi là la stratégie de Mao avec la révolution culturelle des masses de jeunes ignorants qui lui ont permis de prendre le pouvoir et de se maintenir, en falsifiant les vérités historiques que se sont écroulées sous le nombre d’assaillants déifiés comme des singes savants et aptes à expulser toutes les traces du passé qu’ils ignoraient, juste pour imposer la dictature.

    Et cela est exactement ce qui est cultivé aux Etats-Unis avec les wokes fabriqué par des sectes qui ont pris le contrôle des universités pour envoyer ce genre de terroristes faire le même sale boulot de traites dans toutes nos universités grâce au balivernes de ses wokes fanatisés, cachés mais armés de diplômes de complaisance et donc aptes à vouloir l’ivresse du pouvoir juste pour pour tout casser, le tout affublé de la bonne conscience qui viole toutes les intelligences les plus faibles, au nom de l’urgence, qu’elle soit climatique, racialiste, anti-esclavagistes, voir anti-colonisation. Or il est évident que l’esclavage a existé de tout temps tout comme la prostitution et ce dans de très nombreuses sociétés même noires et que sans la colonisation ces milliards de sauvages n’auraient jamais pu exister puisqu’ils tombaient comme des mouches face aux très nombreuses calamités naturelles, le tout fautes de subventions et d’aides au Tiers-Monde et à cause des maladies toujours en expansion dans les milieux vivant en pleine sauvagerie, très bio et naturelle pour certains conspirateurs.

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