Déglobaliser, il n’y a pas d’autre issue démocratique
Le programme « vert » de décarbonisation massive visant à éliminer l’utilisation du pétrole, du gaz et du charbon représente une issue catastrophique et massivement coûteuse qui amènera une pénurie, sous couvert de transition écologique et économique, un effondrement de l’économie réelle. Les gouvernements, l’ONU, les grandes entreprises qui rêvent de « green business subventionné », le Forum Economique et les influenceurs diffuseurs de « giéqueries » alarmistes et ne tolérant pas la critique savent pourtant fort bien que le passage à l’électricité solaire et éolienne est impossible et inefficient même à long terme. Ils se gardent bien de chiffrer les conséquences prévisibles des dégâts causés au niveau de vie, à la solidarité sociale et à l’effondrement du système de santé. La pénurie induite entraînera des forts conflits sociaux, une accélération migratoire qui remplacera encore plus massivement la chute démographique locale et pourtant normale pour pouvoir affronter la décroissance économique. Les coûts prudemment non discutés conduiront à l’effondrement de l’économie actuelle sans perspectives acceptables de transition. Faire croire que ce programme permettrait une plus grande indépendance de l’accès à des sources d’énergie est un leurre. La demande de matières premières nécessaires, du cobalt, du cuivre, du lithium et de l’acier dépasse l’offre mondiale. Les batteries de secours pour garantir un accès permanent à l’électricité ont un coût pharaonique.
Attention, une catastrophe peut en cacher une autre.
Les énergies vertes impliqueront des coûts de construction d’éoliennes, de panneaux solaires (en plus de dégâts esthétiques au paysage, à l’environnement et la réduction de surfaces cultivables) caractérisés en plus par une plus faible efficacité. Les métaux nécessaires à cette orgie alternative se trouvent en majorité en Chine, causent une forte pollution lors de leur extraction. Aucune étude du lobby ver/rose n’examine les coûts de la chaîne de production totale, de l’extraction minière, coût écologique local, coût de transports, dépendance internationale alors que la classe politique occidentale tend les relations avec la Chine. Le coût est élevé, pour une efficacité moindre et la perspective de remplacer l’énergie fossile est juste impossible même à imaginer.
L’usine à gaz illusoire, avec des échéances lointaines et une masse dégoulinante de bons sentiments éco-anxieux empêche de trouver des solutions pratiques, facilite l'effondrement abrupt et subventionne un business vert monstrueux à court terme.
Notre pays fait des efforts louables pour trouver des alternatives, la conscience de l’empreinte écologique de chacun avance et des comportements éco-conscients volontaire (gestion de l’eau, consommation raisonnée de viande) se mettent en place.
L’hydraulique et le nucléaire en priorité.
A court terme il faut augmenter l’énergie hydraulique, promouvoir activement le nucléaire de nouvelle génération et garder solaire et éolien comme appoint secondaire. Garder un accès prudent et différencié aux énergies fossiles, et surtout stopper la croissance démographique, freiner l’immigration de masse, stopper la construction immobilière sans limites. Protéger l’agriculture locale. Seul le maintien de la souveraineté locale, citoyenne et nationale peut le permettre. Laisser cette gestion aux globalistes est une catastrophe garantie. Il est évident que les efforts volontaires et l’innovation ne serviront pas à atteindre l’objectif en 2050. La bio-ingénierie (technologie d’émission négative entre autres, boostage du phytoplancton, injection dans la terre de CO2) avec ses modifications massives industrielles du climat sont très dangereuses et aléatoires.
Attention à l’alarmisme autoritaire
Non à la Loi fédérale en matière de protection du climat. Le Covid n’est plus une menace, la vaccination n’a pas eu d’impact sur la circulation du virus. Non à une Loi d’exception suspendant les libertés individuelles, permettant le gaspillage des doses de vaccin inutilisées et laissant un alarmisme mondialisé imposer ses tutelles à l’aide de prévisions anxiogènes issues d’algorithmes. Et non à la peur véhiculée par des pronostics d’intelligence artificielle alarmiste et cordonnés par la bureaucratie de l’OMS.
La mise en œuvre du projet de l’OCDE et du G20 sur l’imposition des grandes entreprises, hermétique, à part sa volonté d’uniformisation ne profite pas à la population. Donc Non, comme Non à l’autorisation jurassienne de destitution de membres d’autorité. Le vote est sacré et ne doit pas être modifié par des considérations politiquement correctes.
Dominique Baettig, ancien conseiller national, militant éco-souverainiste
Comprenez, entre les lignes, la loi fédérale du 10 septembre 2022:
Le prix des produits pétroliers sera progressivement augmenté jusqu’à l’infini, afin d’arriver à une consommation zéro en 2050!
En Suisse, la nouvelle loi prévoit de se passer d’essence et de diesel dès 2050. Ce qui revient en fait à limiter à zéro km/h les véhicules à essence et à diesel dès 2050. Nos verts voudraient déjà max 60 km/h sur les autoroutes. Milankowitch nous a pourtant démontré scientifiquement que les 12 précédents réchauffements climatiques, qui ont été suivis de 12 glaciations (depuis 1 million d’années) proviennent de la mécanique céleste, et non pas du CO2!
Nous sommes nombreux sans doute à approuver entièrement les propos de M. D. Baettig. Mais il y a un aspect de la question que nous sommes par trop enclins à négliger. La gestion d’un parc nucléaire suppose des spécialistes, certes, mais qui sont également des hommes. Seule une société qui cultive un fort potentiel cognitif et de maîtrise comportementale est à même d’en fournir d’adéquats. Pareille exigence, me semble aussi être indispenable pour l’ensemble du personnel d’entretien et de maintenance qui œuvre dans une cetrale nucléaire, quelqu’en soit la «génération». Or, ce n’est pas faire montre de pessimisme que de constater que ces conditions indispensables connaissent une baisse certaine et quasiment mesurable, depuis quelques décennies, déjà ! Les «rapports» en la matière sont souvent faussés, à la base, pour des questions de prestige et politique publique. Et l’esprit d’inconséquence fait des ravages, jusque dans les milieux engagés daans la réinformatio : On geint sur l’absence de débats et d’expertises vérifiables à chaque instant ou clairement infalsifiables, c’est à dire échappat aux critères minimaux d’une connaissance «claire et cistincte»… Mais il en va différemment, pour tout un ensemble de convictions qui apparaissent comme dument établies, parce qu’elles répondraient à des «valeurs fondamentales». Dans une Société hyper-technicisée et où, par conséquent, les masses humaines sont éminemment «manipulables», cette approche est intenable et ne manquera de causer de graves dégâts.
Certes, nous imaginons bien que ces lieux de travail sont truffés de protocoles précis, à l’instar de ce qui est en vigueur pour le personnel des aéroports, navigant ou non. Mais encore, ces protocoles s’inscrivant dans un tissu fort serré offent de nombreuses failles au cas où l’être humain, son intelligence des choses et la maîtrise d son comportement in situ comme à part son travail, présenteraient des déficiences avérables ! Ajoutons à cela, la prégnance de l’I.A. laquelle tend à s’ingérer partout, et jusqu’à la prise de décision… Voilà de quoi susciter des questions et de sérieuses réflexions. A fortiori, quand les systèmes de formations et d’examens, où des biais «idéologies», de plus en plus affirmés et revendicateurs, viennent s’en mêler de façon prioritaire. Se donner des moyens techniques, est une chose ; garantir la pleine maîtrise de ces moyens, dans des domainemes sensibles et fort exigeants, en est une autre. Or, justement, l’engouement en vigueur, pour les applications offrant des raccourcis aussi pléthoriques qu’artificiels, abusivement qualifiées d’intelligente, parce qu’on se focalise sur la quantité et la rapidité, au détriment de la dimension qualitative et réflexive, témoigne d’une insensibilité croissante à ces périls. Ce qui nullement le cas de D. Baettig, bien entendu, comme de la majorité des contributeurs à ce site.
Voilà le DANGER du XXIème siècle :
”Le programme « vert » de décarbonisation massive visant à éliminer l’utilisation du pétrole, du gaz et du charbon représente une issue catastrophique et massivement coûteuse qui amènera une pénurie, sous couvert de transition écologique et économique, un effondrement de l’économie réelle.”
L’idéologie hystérique du climat qu’il faut à tout prix ”sauver” est une ESCROQUERIE !
Il faut lutter contre la pollution et les déchets en plastique que les gens inconscients jettent n’importe où, y compris à 8’800m d’altitude sur l’Himalaya …
Le CO2 n’est PAS responsable du réchauffement climatique qui a débuté il y à env. 12’000 ans (Holocène – période inter glaciaire).
Le CO2 est LE gaz de VIE !
Sans CO2 pas de monde végétal, ni animal ni les mammifères et les Humains !
Lire :
Le Roy Ladurie ”Histoire du climat depuis l’an mil” Tomes I et II
Steven Koonin ”Climat – la part de l’incertitude” basé sur les référence du GI(E)C sans le (E) d’experts qui ne sont pas !
J-M. Bonnamy ”Réchauffement climatique” Le CO2 est à 100% disculpé !!
C’est technique, mais très bien vulgarisé !