Sur un ton et avec un vocabulaire de jeune fille en début de puberté, qui raconterait à sa copine en gloussant l'achat de son premier soutien-gorge, Mirjam Grosse se présente comme une experte qui aurait la compétence pour dicter à la Suisse comment elle doit investir l'argent de la BNS et celui de nos fonds de pensions. Elle est collaboratrice au sein du « suisse finance HUB » chez Alliance Climatique, soutient Ensemble à Gauche, les ZAD…
Les "Mirjam Grosse" occupent une place importante dans nos médias, elles sont présentes dans quasiment tous les groupes de pression de gauche qui luttent en vrac contre les injustices faites aux femmes, aux minorités sexuelles, aux migrants, au climat, aux animaux... et aiment se mettre en avant partout où c'est possible.
Mirjam Grosse donne son avis dans la revue "Hebdo L'Anticapitaliste" sur la façon dont il fallait résoudre la crise du CS.
Mirjam Grosse se préoccupe de la planète, mais elle n'a pas la moindre considération pour notre pays, pour le fait que nous vivions sur un territoire exigu, surpeuplé, pauvre en énergie, désindustrialisé.
La Suisse est remplie de parasites de tout bord et en plus, elle a une jeunesse lobotomisée par la propagande progressiste importée de toutes pièces sur notre sol. Cette génération de Greta Thunberg est une génération instrumentalisée, manipulée, déconnectée des difficultés réelles qui sont en train de s'installer avec l'émergence de la multipolarité.
Actuellement, toute personne qui a à cœur le futur de notre pays regarde avec appréhension le secteur bancaire en difficulté, qui faisait la réputation de la Suisse et contribuait à sa richesse.
Notre pays ne participe que pour 0,1% aux émissions de CO₂ de la planète, mais malgré cela les professionnels de la culpabilisation nous font croire que la Suisse est un des pays les plus menacés, les plus coupables du réchauffement climatique.
Le peuple suisse a déjà payé plus que les autres pour l'escroquerie du "dérèglement climatique" [prétendu anthropique], mais via nos médias, ce genre de spécialistes nous rabâchent sans cesse notre manque de volonté de respecter nos accords (non contraignants), dû à notre rapacité capitaliste, notre refus d'assumer notre part de responsabilité, nous reprochent de rouler en voitures thermiques, de manger trop de viande, trop d’œufs, de voyager... et surtout d'être, selon eux, un pays riche. Les objectifs inatteignables fixés servent à justifier l'activisme, c'est pourquoi nous n'en ferons JAMAIS assez, et les accusations de mise en danger de la planète leur permettent de maintenir l'état de panique.
En-soi, il est surréaliste qu'un tel délire ait pu être imposé avec des méthodes de manipulation de masses. À force de bombarder la population avec les discours de ces inquisiteurs d'un nouveau genre, ils ont réussi à nous faire accepter que devions devenir plus pauvres, nous sacrifier, pour sauver la planète! Le reste du monde se rit de l'Europe, qui représente 10% de la pollution planétaire.
Chaque idéologie qui ronge notre civilisation, que ce soit la déconstruction des genres, la migration, le climat, engendre une nuée de parasites qui en font leur carrière, et la population entretient tous ces opportunistes – des ONG, des associations, des politiciens, des journalistes, des enseignants idéologiques, des spécialistes en tout genre – une masse qui va nous couler à coup sûr. À l'image des pays socialistes, qui ont TOUS coulé sous le poids de la nomenklatura, des "camarades" parasites du système.
Il n'y a pas de jour où la RTS ne ramène pas l'hystérie climatique comme un problème à propos de tout et de n'importe quoi. Dans la presse romande des suppléments "climat" foisonnent. Nos médias nous ont imposé la conviction que le changement climatique devait devenir la base de notre existence. Un programme d'ingénierie sociale venant d'une gouvernance invisible est en cours pour imposer cette religion, afin de nous arracher à nos racines, en nous culpabilisant, car un peuple coupable est plus facile à piller.
Lorsqu'un UDC est interviewé, c'est la plupart du temps face à un contradicteur. Lorsqu'une personne d'extrême gauche, comme Mirjam Grosse est interviewée, il n'y a pas de contradicteur.
L'avenir d'un pays qui n'arrive plus à débattre est bien sombre. Tous ceux qui remettraient en question le dogme officiel sont écartés, ignorés ou ostracisés; ce qui amène au final à un abrutissement intellectuel général de la population, le règne des idioties et de l'immaturité générale. L'abrutissement est nécessaire pour garder le pouvoir sur la majorité, car un peuple va toujours voter dans ce qu'il croit être son propre intérêt.
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D'autres prestations de Mirjam Grosse:
Des actionnaires veulent que la BNS s'engage davantage pour le climat: interview de Myriam Grosse
Mirjam Grosse - Hebdo L’Anticapitaliste - 654 (23/03/2023)
Suisse : « Si la terre était une banque, cela fait longtemps qu’on l’aurait sauvée ». Ce slogan de la grève Climat trouve tout son sens [...] Un dégoût profond de ce système remplit mon corps et mon cœur. [...]
Helvetas: L’Alliance climatique Suisse demande la justice climatique internationale
Encore une de plus qui veut nous faire la leçon.
”Lorsqu’un UDC est interviewé, c’est la plupart du temps face à un contradicteur. Lorsqu’une personne d’extrême gauche, comme Mirjam Grosse est interviewée, il n’y a pas de contradicteur.”
Cela démontre un des procédés utilisés par nos merdias de gôche, pro-immigrationniste, anti-capitaliste et qui se prennent pour le parti du Bien qui sauvera la planète …
L’idéologie de ces personnes fait des dégâts incommensurables dans les rangs de notre jeunesse qui est déprimée car elle croit qu’elle n’a pas d’avenir !