Sans surprise, la Convention citoyenne sur la fin de vie s’est prononcée très largement en faveur de l’aide active à mourir ou du suicide assisté, deux périphrases pudiques pour éviter de prononcer le mot "euthanasie". Un projet de loi devrait donc rapidement voir le jour pour que la législation permette de mettre un terme prématurément à une vie. Dans ce débat qui revient inlassablement pour repousser toujours davantage les limites, les mêmes arguments sont sans cesse invoqués : la souffrance des malades qui veulent en finir, la dignité des Hommes aux confins de leurs existences… Des arguments qui pourraient rapidement voler en éclat dans un pays où les soins palliatifs seraient au cœur de la volonté politique. C’est ainsi que Jean-Frédéric Poisson, président de VIA, la Voie du peuple, et docteur en philosophie sur la bioéthique, nous dévoile son dernier ouvrage : "Soins palliatifs, la vraie alternative à l’euthanasie", publié chez Mame. Il revient sur l’histoire du soin autour des personnes en fin de vie, l’importance du temps avant la mort, pour le patient mais aussi pour toute sa famille et son entourage, et reprend son ouvrage datant de 2015, "Personne ne doit mourir seul". Un livre incontournable pour se forger une idée étayée sur ce que les médias voudraient vous faire trop rapidement accepter.
Extrait de: Source et auteur
Que ceux qui veulent crever à petit feu selon le bon vouloir de soignants autoritaires corrompus par BigPharma, et parfois pervers, le fassent. Avec l’escroquerie Covid, on a vu à quel point ces derniers se préoccupent des gens, surtout ceux en EMS, que l’on a forcés à crever dans la solitude (crime contre l’humanité), ou que l’on a contraint à s’injecter un produit expérimental au contenu et aux effets inconnus (enfin, pas tout à fait “inconnus” pour ceux qui s’informent). Accessoirement, cela ruine les cotisants lamal. Mais que leur volonté soit respectée.
En retour, que l’on foute la paix à ceux qui, avec courage et dignité préfèrent abréger leurs souffrances vers une mort inéluctable (et qui, accessoirement, n’exigent pas de la société qu’elle paye des fortunes pour prolonger de manière indécente leur misérable survie de torturé). Ce sont des héros.