Les CDS, ces outils qui servent à se couvrir contre le risque de défaut d’une dette, sont vus comme un accélérateur de la chute de la banque. Ils avaient déjà joué un rôle lors de la crise de l’euro.
Dans un entretien diffusé samedi par la «Neue Zuercher Zeitung», la ministre des Finances a assuré que la loi suisse «too big to fail» ne se prête pas aisément à la liquidation d’une banque d’importance systémique active au niveau mondial.
Même si une liquidation de Credit Suisse eût été possible d’un point de vue juridique selon le principe «too big to fail», ce n’était «clairement pas le moment de faire des expériences» déclare Karin Keller-Sutter dans un entretien diffusé samedi par la Neue Zuercher Zeitung. «Dans la pratique, les dommages économiques […] seraient considérables».
La conseillère fédérale affirme en outre qu’aucune pression n’a été exercée sur la Suisse lors des négociations qui ont abouti au rachat de Credit Suisse par UBS. «Personne ne nous a poussés dans une direction».
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article complet: https://www.letemps.ch/economie/karin-kellersutter-apres-loperation-credit-suisse-ny-aucune-pression-suisse
Rien de tel que des femmes pour foutre la pagaille communément appelée le bordel. Cette vérité est directement exploitée dans toutes les entreprises qui se vautrent en volant leurs clients, tout en corrigeant leurs images écornées par la force des propagandes publicitaires dont le culte de l’égalité hommes-femmes est une des caractéristiques premières. Et là, elles sont très nombreuses en Suisse à suivre ces injonctions médiatiques tout en renvoyant l’ascenseur à ces médias, à coup de publicité imposantes, dérangeantes et indécentes. La langue de bois est leur point de convergence et de reconnaissance avec tout le tralala qui va de l’éthique, à l’égalité en passant par la philanthropie. Exactement le même schéma mental qui rappelle les actions satanistes de tata Soros.
Toutes mes excuses à celles qui sont compétentes et qui savent bien que ces vérités sont les causes des constants problèmes qui démolissent leurs vies professionnelles. Pour déniaiser certains lecteurs et lectrices, rien ne vaut que de plonger dans l’univers des paradis artificiels stimulant toutes ces femmes expertes en gonflette et manipulations de leur C.V. étalés sur Linkedin, mais dont l’ambition et les qualifications ne dépassent pas les effets de mode de leur garde-robe, dictés par leurs boutiques préférées et l’idée qui le prix payé fait briller leurs intelligences. Et maintenant avec l’I.A. plus besoin de plagiats, car en matière de tricheries, la von der Leyen est largement dépassée, sauf pour sa garde-robes. Et n’oublions pas non plus les effets de manches dont la gestuelle cinématographique fait partie de la culture de leur persona, pas plus que leurs goûts immodérés pour les sociétés “secrètes” et les sectes du style Rotary, apte à favoriser leurs carrières d’actrices comme avec la Calmy Rey chez Soros et ses sectes ONG telles l’ Open Society.
Plongeon-nous aussi dans l’univers des entrailles des faire-valoir, à l’image de certaines associations comme ici: https://cercle-suisse-administratrices.ch/ Il est aussi toujours intéressant de se pencher sur les dissymétries des visages qui nous inspirent l’existence cachée des adeptes de la secte des hypocrites et de leur grand-maître Janus. Et par les temps qui courent n’est-ce pas le moment d’inventer leur grande-maîtresse Janusite, cette grave maladie de l’ego féminin qui tue toutes les entreprises masochistes qui pensent nécessaire de les embaucher, même en surnombre. Est-il nécessaire de développer pourquoi ? Il suffit pourtant de recommencer cette lecture. Diviser pour régner en dictateurs bolchévo-fascistes, c’est bien là le but de tout nos imposteurs. Que ce soit dans toutes les entreprises et dans tous les États qui finissent par pourrir et mourir de tant de médiocrités cultivées.