Lausanne, la ville la plus jeune de la Suisse veut fédérer son vivre ensemble avec les fêtes et les manifestations de gauche

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Albert Coroz: Le carnaval de Lausanne, était une manifestation populaire qui se tenait depuis 1982, mais faute d'argent, l’événement a pris fin. C'est une association brésilienne qui va perpétrer ses traditions sur les Esplanades de Montbenon....

Nous avons appris ce même jour que Lausanne est la ville la plus jeune de Suisse. Un Lausannois sur cinq a moins de 20 ans. Les naissances sont les plus élevées de toute la Suisse grâce à l'immigration. D'ailleurs, cette fécondité luxuriante se constate de visu en plein jour au centre ville, les dames, souvent accompagnées même en journée par leurs hommes, entourées de bambins, à se demander si la diversité a pris des vacances en même temps et durant toute l'année...

Parallèlement, beaucoup d'entreprises partent, des commerces tirent leurs rideaux.

Quel exemple merveilleux pour illustrer cet air de jeunisme à la Greta Thunberg et les élus sortant tout droit des facultés des sciences humaines ! Place aux jeunes! Place à toutes les nationalités au monde (sauf aux Russes) ! La tradition, le sentiment d'appartenance, qui fédère maintenant la ville, c'est être de gauche, voter gauche.
Quatre milliards de dettes, Aquatis, des chantiers-débâcles, mais que la fête continue... jusqu'au naufrage!

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LausanneL’association Made in Brésil Suisse à la rescousse du carnaval

16 mars 2023 Enterré le mois dernier, le carnaval de Lausanne aura finalement lieu les 13 et 14 mai à Montbenon.

La samba, les confettis ou encore les costumes bigarrés. L’essence du carnaval de Rio s’apprête à vivre sa plus belle vie à Lausanne. [...]

Pour mémoire, la raison invoquée par l’association des Fêtes du soleil – qui organisait le carnaval lausannois – pour annuler était un litige avec la commune. Cette dernière avait refusé de déplacer le marché de la rue Centrale. Les organisateurs auraient donc dû tout démonter le vendredi soir, pour ensuite tout réinstaller le lendemain. Une opération bien trop coûteuse, en temps et en argent, pour être supportée.

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Comparons cette "bouillabaisse lausannoise" avec la fête nationale hongroise du 15 mars, qui célèbre la lutte pour l’indépendance des années 1848-49 contre le règne des Habsbourgs.

Tout d'abord, il y a des discours patriotiques un peu partout, des danses, des chants, des pièces de théâtres, opéras joués à l'occasion. Une véritable fête populaire qui donne un sentiment d’appartenance historique.
Cette année, c'est un ténor Vietnamien naturalisé hongrois qui a chanté le fameux air d'opéra d'Erkel,"Ma patrie, ma patrie" que chaque hongrois de chaque génération connaît par cœur.

 

L'assimilation est liée au nombre; et lorsque les autochtones deviennent minoritaires chez eux, il n'y a plus qu'un "vivre ensemble" hors sol possible.
Dans certaines facultés en Suisse romande, des secundos, dont les parents ont débarqué pour profiter de notre niveau de vie, enseignent à présent la culpabilité de la Suisse, accusant notre pays d'un racisme systémique.

La population est gavée à ses frais de films culpabilisants, les médias subventionnés l'accablent de ces mêmes mensonges.
Alors qu'en fait, la Suisse finance sa propre invasion, comme une multitude d'instances œuvrant pour la promotion de la diversité. Notre pays en a fait beaucoup trop, c'est sa seule culpabilité dans ce domaine.

Jamais un pays ayant un système immunitaire sain ne se laisserait submerger et n'accepterait que son identité soit désagrégée.

 

Un commentaire

  1. Posté par antoine le

    ”Quatre milliards de dettes, Aquatis, des chantiers-débâcles, mais que la fête continue… jusqu’au naufrage !”
    A revoir d’urgence la péréquation financière qui aide Lausanne à dépenser les sous qu’elle n’a pas … tout cela sur le dos de TOUS les Vaudois !
    On en a MARRE de cette bande d’inutiles !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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