Ndlr. La propagande médiatico-politique et écolo-socialiste n’ont pas suffit.
Chers collaborateurs, chères collaboratrices,
Chères étudiantes, chers étudiants,
Le Conseil d’État n’a pas nommé Eric Bauce, candidat désigné par l’Assemblée de l’Université au poste de recteur de l’Université de Genève.
L’Université prend acte de cette décision. Le processus de recherche d’une candidate ou d’un candidat sera relancé par l’Assemblée de l’Université qui en fixera le calendrier, conformément à ses prérogatives.
Le mandat du Rectorat actuel s’achève le 14 juillet 2023. Au-delà de cette date, une prolongation de mandat est possible. Il n’y aura ni vacance ni hésitations à la tête de l’Université, qui continuera à remplir pleinement ses missions d’enseignement, de recherche et de service à la cité. L’équipe actuelle assumera ses responsabilités et prendra toutes les mesures nécessaires pour garantir le bon fonctionnement de l’institution jusqu’à la nomination d’un nouveau Recteur ou d’une nouvelle Rectrice.
J’invite chacun et chacune d’entre vous à aborder cette période transitoire avec l’engagement qui vous caractérise. Le rayonnement et l’avenir de notre institution reposent en premier lieu sur votre contribution.
Yves Flückiger
Recteur
Articles LesObservateurs.ch sur le sujet, ici et ici :
Médias. La RTS veut-elle imposer un recteur transitionniste, partisan invétéré de « la transition climatique, écologique », de la durabilité, de gauche, progressiste, pour l’Université de Genève?
Le Québécois Eric Bauce, désigné pour remplacer le recteur de l’UNIGE, ambitionne via une transition socioéconomique d’en faire un exemple de durabilité
Suite : communiqué du Bureau de "L'Assemblée de l'Université", vexée :
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Vu ce qui suit, c’est aussi la preuve que les sectes américaines anglo-saxonnes ont déjà des conspirateurs et surtout conspiratrices ayant pris une partie des commandes de nos universités. Voyons Julia Steinberger qui colle ses sales pattes sur les autoroutes et ailleurs, comme dans l’ONG Helvetas. Donc qui met la main dans des torrents de subventions publiques en tout genres, aussi sous prétexte de recherches pseudo-scientifiques, aux profits évident de ces sectes à l’image des mor mons, anthro posophes, scien tologues etc. https://manchesterclimatemonthly.net/2019/04/08/of-manchester-climate-and-solidarity-interview-with-prof-julia-steinberger/ https://jemeppeentransition.be/evenement/science-politique-et-rebellion-avec-julia-steinberger-giec/ https://wp.unil.ch/uniscope/des-solutions-pour-vivre-decemment-avec-moins-denergie/
Il serait intéressant de savoir qu’elles sont précisément les sectes derrière la proposition de ce Canadien. Parce qu’à l’évidence, au crachoir de l’Université comme des médias la Calmy-Rey est toujours en selle. Pour ceux qui ne l’apprécient pas ils pourraient aussi dire à selles. https://lesobservateurs.ch/2021/05/10/les-rapports-philanthropiques-de-bill-gates-avec-jeffrey-epstein-lont-ils-conduit-au-divorce/#comment-333116 Ce qui est une évidence quand on sait qu’elle a fait gratifié la Clinton de chf 500’000.- payés par les contribuables, vraisemblablement pour ses prestations et celles de Bill au soutien de l’immigration de masse, mais aussi des prestations d’Epstein. Et comme elle fait partie des sectes de Soros telles l’Open Society prônant la “diversity” dont les finalités douteuses sont justement l’immigration de masse, le soutien aux féministes et paradoxalement à l’islam et toutes les calamités qui tournent autour. Ainsi elle a non seulement porté le voile devant les mollahs d’Iran, mais encore a soutenu la reconnaissance du Kosovo. C’est comme si la Suisse avait remplacé Soros pour remplir le cochonnet- tirelire des Clinton et de leurs saloperie. Et avec Cassis on n’a pas encore fait les inventaires financiers de ses actions contre la démocratie et la neutralité Suisse. Déjà un italien bi-national, en plus médecin comme aiment les sectes, dont le nom fait plus français qu’italien, on n’est pas au bout de nos peines pour trouver tous les fils reliés à ce curieux bonhomme.
Les Observateurs ont eu raison je pense de souligner le problème principal de la candidature d’Eric Bauce, à savoir son militantisme idéologique et le risque que ce militantisme soit préjudiciable à la démarche scientifique. Étonnant quand même de constater que dans les commentaires entendu sur la RTS à propos du refus du Conseil d’État il n’est question que du statut de non-Suisse du prof. Bauce: par un mot sur son projet de transition sociale et écologique. Comment interpréter ?
L’assemblée de l’Université prend acte de la décision du Conseil d’État. Par contre, cette triste confrérie en vase clos n’a pas idée de la gravité de la situation. On se gausse des “Genferei” du bout du lac, mais “en même temps” on compatit non point au ridicule, mais au malheur qui plane sur les jeunes générations.