« Le problème, ce sont les jeunes hommes issus de l'immigration qui méprisent l'État allemand, qui n'acceptent aucune autorité en dehors de leur propre famille, de leur propre imam ou de leur clan arabe. »
« Si nous devons nous protéger des personnes qui sont venues chercher refuge chez nous, c'est le monde à l'envers. »
On trouve ces mots dans un article que le Blick consacre à un politologue germano-égyptien spécialisé dans les phénomènes extrémistes. Son analyse vaut pour la Suisse. Nous devons en effet nous protéger de la violence exercée par les immigrés. Ils n’ont cure de nos lois, ayant compris que nous sommes faibles lorsqu’il est question de les appliquer. Combien d’expulsion n’ont pas été exécutées voire pas prononcées du tout au motif que cela incommoderait la personne concernée ?
Dans une Suisse qui compte maintenant plus de neuf millions d’habitants, il est plus que temps de privilégier une immigration de qualité et non plus de quantité. Nous en avons assez de cet enrichissement culturel, expression de gauche pour désigner tout refus d’intégration au profit d’accommodements raisonnables qui sont autant de violations de nos valeurs. Tolérer la violence de l’autre sous prétexte qu’il est autre, c’est admettre l’importation de la violence. Ce que la gauche fait depuis toujours.
Ce à quoi l’UDC s’oppose. Et vous ?
Yvan Perrin, 10.01.2023
L’exemple terrible de l’échec français aurait dû être analysé par la Suisse qui, elle, possède encore des frontières .
Tout être, pourvu de discernement, va s’opposer à la venue dans son espace vital de quiconque le mettrait en danger. Mais nous avons à faire à une Union européenne qui nie le monde réel pour obéir à une idéologie. Ainsi la peur légitime est réduite à un sentiment, faux évidemment. Et si vous refusez d’être envahi par des hordes de forbans, vous n’êtes qu’un raciste à éliminer.