La Maison Blanche de Biden ignore la crise frontalière depuis deux ans, Biden refusant de se rendre dans la région pour constater le chaos en personne et niant même la réalité de la situation malgré toutes les preuves du contraire. Biden et le département de la sécurité intérieure ont tous deux cherché activement à effacer le titre 42, le seul cadre en place pour ralentir la marée de migrants illégaux qui déferlent sur les États-Unis. Cependant, maintenant que la Cour suprême a statué que le titre 42 doit être maintenu, Biden change soudainement de discours.
Pour la première fois depuis qu’il réside dans le bureau ovale, Joe Biden va se rendre à la frontière sud, plus précisément à El Paso. Cette ville du Texas, dirigée par des démocrates, a été l’épicentre de l’afflux de migrants, le maire Oscar Leeser ayant finalement admis il y a quelques semaines qu’El Paso était en état d’urgence. Leeser avait initialement refusé de qualifier l’invasion massive de clandestins de crise (il affirme que la Maison Blanche a fait pression sur lui pour qu’il ne le fasse pas), mais El Paso n’ayant plus de fonds pour faire face à l’afflux et des milliers de migrants s’entassant dans des villes de sacs de couchage dans les rues, il a été forcé de reconnaître la réalité.
Il convient de noter que, comme par hasard, El Paso s’est engagée dans un effort de nettoyage massif pour réduire le nombre de migrants sans abri juste avant l’arrivée de Biden, ce qui suggère qu’il y a une tentative de cacher l’ampleur de la crise au peuple américain. Les mesures comprennent la construction d’un mur frontalier de fortune à l’aide de conteneurs d’expédition et de fil barbelé, qui, selon les rapports, a été très efficace pour ralentir le flux de migrants dans la ville. Il est plutôt ironique que les démocrates soient maintenant obligés de construire un mur frontalier juste pour donner une bonne image de la visite de Biden à El Paso après des années de sabotage de tout effort de construction d’un mur sous l’administration Trump.
Il est également assez hypocrite qu’après des années passées par les conservateurs à tenter d’obtenir quelque chose de la part de la gauche sur la sécurité des frontières, qu’aujourd’hui les démocrates désignent les républicains comme responsables de la crise. Cette semaine, Biden s’est servi de son téléprompteur pour fustiger les conservateurs qui rejettent ses politiques d’immigration, dont la plupart visent à faciliter l’accès des clandestins à la citoyenneté par le biais de mesures d’amnistie. Ce sont ces mêmes politiques qui attirent davantage de migrants au lieu de dissuader les caravanes à pied de se ruer vers la frontière.
Biden suggère que l’article 42 aggrave en fait le problème des migrants car, en renvoyant les clandestins là d’où ils viennent, ils pourraient alors essayer de franchir à nouveau la frontière. Ce type de logique tordue est omniprésent dans la réponse de la Maison Blanche à l’immigration – Biden dit essentiellement que si nous laissons simplement la plupart des clandestins entrer dans le pays la première fois, nous n’aurons alors plus à les affronter à la frontière à l’avenir. Bien sûr, cela va à l’encontre de l’objectif d’avoir une frontière en premier lieu.
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Extrait de: Source et auteur
”M. Leeser avait initialement refusé de qualifier l’invasion massive de clandestins de crise (il affirme que la Maison Blanche a fait pression sur lui pour qu’il ne le fasse pas), mais El Paso n’ayant plus de fonds pour faire face à l’afflux et des milliers de migrants s’entassant dans des villes de sacs de couchage dans les rues, il a été forcé de reconnaître la réalité.”
Le plus dur est fait il reconnait la dure réalité !
M. Bidon le sénile est bientôt sur la voie de la retraite … il faudra tout reconstruire puisque les démon-rats auront utilisé et usé la marionnette jusqu’à la corde !