“Je suis passé d’une facture de 700 euros à une facture d’environ 18 000 euros” : un restaurateur voit sa note énergétique augmenter de 17 000 euros

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Ulrich Alejo fait parti de ces nombreux restaurateurs, boulangers, artisans, dont la facture énergétique a été multipliée par cinq, dix, quinze, vingt...

Invité pour témoigner de sa situation difficile, le patron d'une barasserie déclare au micro de CNews : "Je suis passé d’une facture de 700 euros au mois de novembre à une facture d’environ 18.000 euros en décembre". Il précise que cette augmentation est issue d'une "facture mensuelle" et non "annuelle".

source: https://tvl.fr/actus

Un commentaire

  1. Posté par miranda le

    Si on ne perçoit pas derrière cette “orgiaque” demande d’argent, une volonté d’en finir avec les indépendants, c’est que notre naïveté n’est plus une erreur de parcours, mais une fait génétique indélébile.
    Le problème c’est que le formatage à la française a fait des ces indépendants des incapables de créer du collectif…..large… voire national pour se défendre et une incapacité à conscientiser le citoyen qui ne doit pas se considérer comme une bouche à satisfaire, mais un partenaire soutenant dans les moments chaotiques, celui qui lui a procuré des moments de joie et un plaisir gustatif relevant d’un art culinaire élaboré sur des siècles.

    Ce qui a fait sombrer beaucoup d’indépendants pendant la période COVID relève aussi de ces incapacités là. Dans la nature, quand la prédation vient vers eux, les animaux se protègent en se regroupant tant qu’ils le peuvent, mais l’espèce humaine pratique le déni face une prédation qui fait aussi partie de son règne.

    IL est vrai que le prédateur humain d’aujourd’hui a un outil extraordinaire à son service, un cerveau redoutable capable d’élaborer de multiples stratégies pour sidérer l’adversaire. Mais il n’est pas infaillible, car beaucoup d’entre nous possédons le même cerveau et pourrions développer des stratégies équivalentes.
    Mais il est dur de quitter un confort mental et matériel auquel l’humain est habitué et aussi très attaché.

    Ne pas réveiller, re-dynamiser ce mental dans une réponse qui sidèrerait le prédateur peut nous mener vers l’écroulement de notre civilisation.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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