Comme l’ont rapporté les médias, la négociatrice en chef Livia Leu s’est mise d’accord sur « une compréhension commune » d’une solution globale lors des entretiens exploratoires avec l’UE. Cela ressemble à des compromis scabreux négociés au détriment de la Suisse en termes de règlement des différends, de reprise automatique du droit et d’immigration.
L’UDC attend du Conseil fédéral qu’il cesse de négocier sur ces points après l’interruption des négociations sur l’accord institutionnel et qu’il clarifie enfin la situation vis-à-vis de l’UE : il n’y aura pas d’accord, quel qu’il soit, dans lequel la Suisse se soumettrait au droit et aux juges de l’UE.
Au vu de l’immigration record à laquelle nous faisons face (plus de 200’000 personnes supplémentaires arrivent en Suisse rien que cette année), il faut enfin mettre en œuvre la disposition constitutionnelle qui veut que la Suisse gère l’immigration de façon autonome. L’UDC demande au Conseil fédéral de clarifier enfin la situation et de remplacer la libre circulation des personnes par une solution de contingentement.
L’UDC campe sur ses positions claires :
- l’indépendance de la Suisse n’est pas négociable ;
- non à tout accord impliquant une reprise automatique et obligatoire (dynamique) du droit européen et un règlement des différends par la Cour de justice européenne ;
- non à la transformation du soi-disant milliard de cohésion, jusqu’ici facultatif, en une prime d’accès au marché à verser régulièrement ;
- l’immigration doit être gérée de manière autonome dans l’intérêt de notre pays.
Extrait de: Source et auteur
L’U.E. Une entrée au paradis?
Un exemple : la Grèce a voulu rentrer dans l’U.E. Elle n’a pas été controlée ou limitée et peut-être même encouragée dans ses “dépenses”et un jour, une troïka lui est tombée dessus la menant vers les portes de l’enfer.
La conséquence est qu’aujourd’hui, l’état grec se transforme en état dévoreur envers le citoyen, le dépouillant, l’appauvrissant de tous côtés.
https://reseauinternational.net/la-grece-lance-un-sos/#comment-1249322
Allons nous tous subir le même sort ou aurons nous l’intelligence de la réformer cette U.E., donc de décider déjà que la commission doit être ELUE tout en présentant un cadre de lois, permettant de retrouver LA DEMOCRATIE.
Le talon d’Achille de l’Européen est qu’il loin de l’U.E. et qu’il est très peu informé de ce qui se décide pour lui.
Si l’U.E était vraiment démocratique, chaque jour, le journal télévisé nous informerait de chaque nouvelle loi ou initiave nous concernant. Cela n’est déjà pas pratiqué par l’état, alors l’U.E par sa distance se sent très à l’aise pour décider de notre sort.
Nombreux sont les états que l’on a laissés aller vers des dépenses ou endettement illimités. Et puis un jour, les citoyens découvre que leur pays est dépecé, se tiers-mondise et que ses élites prennent la voie la”plus facile, celle de l’autoritarisme et du droit à se rassasier sur ce qu’il reste..