Entre immigration massive et politique nataliste, il faut choisir

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De Jean-Frédéric Poisson sur Causeur : Alors que le vieux continent connaît d’innombrables problèmes sociaux, culturels, sécuritaires à la suite d’un demi-siècle d’immigration massive, les simples propos d’un député sur les migrants ont provoqué les cris d’orfraie de toute la classe politique. Dans le même temps, Gérald Darmanin a annoncé […]

 

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Un commentaire

  1. Posté par miranda le

    On dirait que nos dirigeants n’ont surtout pas envie d’aider l’autochtone à avoir plus d’enfants.
    Ils semblent lassés de l’autochtone. Et puis des autochtones ayant le même état d’esprit, c’est gênant, car ça crée de la cohésion. Notamment dans les luttes pour avoir une vie décente.

    Donc pour ces dirigeants c’est tellement mieux d’introduire de la diversité et surtout une diversité que l’on pourra le moment venu, (après un temps de séduction -protection sociale payé par le contribuable), transformer en travailleur docile ou esclave. Et puis toutes ces diversités, avant de devenir conscientes qu’on les exploite et d’être capables de s’unir, prendront “leur temps”. Leur éveil peut prendre au moins des dizaines d’années ou plus.

    Nous semblons impuissants face au rouleau compresseur de milliers et milliers de migrants qui arrivent et qui nous est imposé par les dirigeants mondialistes. Pour le moment, il est impossible de régler cette situation. Cela ne veut pas dire qu’elle soit inéluctable.

    Mais pensons d’abord à nous, à la façon dont nous allons nous organiser en fraternité autochtone pour assurer notre survie dans ce chaos et surtout lutter contre toutes les atteintes à nos libertés..

    L’essentiel sera de voir comment les autochtones sauront s’unir, se protéger mutuellement dans ce chaos organisé. Car l’autochtone a connu l’individualisme et n’est pas près de le quitter. il devra prendre conscience que l’on ne peut plus faire confiance à “un état protecteur” et devra créer ces propres organismes de sécurité sociale, de retraite et autres.

    Il suffit de se rendre dans les communautés qui depuis longtemps ont organisé leur propre protection. Un petit séjour à Seattle peut nous instruire. Sans pour autant construire une union religieuse comme c’est la cas dans cette ville, base des mormons.

    Nous sommes obligés de faire cesser la plainte, notre plainte qui risque de nous bloquer dans la construction d’une fraternité autochtone VITALE. Elle doit commencer par les quartiers, les villages, les arrondissements etc… Et face à ce qui vient une HYPER INFLATION qui peut durer dix ans (dit par Michel Edouard Leclerc) qui risque d’empêcher les gens de se nourrir correctement, nous devons mettre en place des espaces de cultures potagères dans les campagnes et aussi dans les villes. iL y tant de choses à construire.

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