Des mariages forcés célébrés dans la mosquée de la Maison des religions à Berne
On relit le titre. Oui, on parle de mariages forcés dans une mosquée. C’est le quotidien Arcinfo, d’ordinaire très indulgent avec la religion d’amour et de paix qui en parle. Il faut donc que le cas soit grave. Il est question d’un imam qui n’aurait pas vérifié dans tous les cas si toutes les conditions étaient remplies pour un mariage religieux. C’est con.
Il est vrai qu’avec toutes ces chicanes administratives, on s’y perd un peu, la tentation est grande d’aller à l’essentiel. Devrait-on faire attendre deux êtres qui s’aiment sous prétexte qu’il manque un formulaire ? Que nenni, place à l’Amour ! Mais la Maison des religions ne se contente pas de telles explications, elle constate que l’association musulmane des lieux n'est pas suffisamment au courant des bases légales. Nul n’est pourtant censé ignorer la loi mais que peut bien peser la loi des hommes, pire, des mécréants face aux commandements d’Allah ? Que pouic manifestement.
On attend maintenant avec impatience les grands cris que ne manqueront pas de pousser les mégères en violet confrontées à la soumission ultime de la femme face à l’homme. Ah non, suis-je bête, ces mariages forcés ont été célébrés dans une mosquée. Les drôlesses n’y trouveront donc rien à dire.
Yvan Perrin, 16.11.2022
Islam ne signifie-il pas soumission ?
La réalité emerge tranquillement et on peut aussi parler de la corrée du sud ou des habitants sud corréens doivent maintenant supporter une mosquée avec minaret et appel a la prière alors que au début dans ce quartier résidentiel du Nord de séoul les paquistanais qui sont arrivés il y a 5 avaient renoncé a la construction de la dite mosquée que neni ils ont acheté un terrain dès qu’ils ont pu et hop resulat des courses ils sont installés et les sud corréens qui vivaient dans ce quartier autrefois si calme ne peuvent plus rien faire 😡😡😡😡
Les gorgones du féminisme encouragent les hommes, excepté le Blanc, à commettre toutes sortes d’abus sur les femmes. Toutes les femmes, les vraies comme les incluses.