Pour Olivier Marchal, la ligne blanche a été franchie… Le réalisateur du polar 36 quai des Orfèvres (2004) se refuse désormais à descendre dans l’arène pour défendre les policiers. Ses prises de position lui ont valu de lourds problèmes personnels, comme il le confie cette semaine dans les colonnes du magazine Voici. « J’ai toujours pris parti, mais, maintenant, je ne le fais plus parce que ce sont mes enfants qui sont menacés de mort », explique-t-il.
« Quand j’ai pris parti pour les policiers, c’est allé très loin », poursuit-il, sans entrer dans les détails – Olivier Marchal est père de quatre enfants âgés de 13 à 28 ans. « Moi, j’ai fait ma vie, je suis allé au bout de mes rêves. C’est juste que j’ai des enfants et j’ai les jetons pour eux. »
Il y a deux ans, le cinéaste publiait une tribune, « Larmes de flic », dans laquelle il dénonçait les attaques continuelles envers les policiers, « des types ordinaires, avec des salaires de merde, au service des citoyens, qui continuent de faire leur job dans des conditions lamentables ». Il critiquait notamment les artistes qui « vomissaient » ceux qu’ils « acclamaient » il y a peu encore « parce qu’ils avaient risqué ou donné leur vie pour protéger leur « vie de citoyen privilégié du terrorisme ».
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Extrait de: Source et auteur
Tous les moyens sont bons pour atteindre le but de l’islamisme. Menaces, extorsions, chantages, viols, acides, on ne recule devant aucune ignominie et si vous ne nous soumettez pas on vous tuera, vous et vos proches. C’est ça l’islam et c’est sans aucun risque.